• 17. Compte rendu critique sur «Marguerite de Valois: La reine Margot» d’Éliane Viennot (22/11/11)

     

    I.                    Introduction

    Marguerite de Valois est un personnage historique qui a toujours semé la controverse, de son vivant jusqu’à nos jours, parmi ses contemporains autant que parmi les historiens, dans les pièces de théâtre autant que dans les adaptations cinématographiques. Pour les uns, comme le dit Mathieu de Morgues lors de son discours funèbre, «la princesse a montré qu’il y avait des femmes et des reines, lesquelles surpassaient beaucoup d’hommes et de rois.»[1], pour les autres «tout son fait n’est qu’apparence et ostentation, sans aucune étincelle de dévotion ni de piété.» comme on peut lire dans le pamphlet «Le Divorce Satyrique ou les Amours de la Rein Marguerite» attribué à Pierre-Victor Palma-Cayet.[2]

    Le présent travail porte sur une des recherches les plus récentes à ce sujet qui fut effectuée par Éliane Viennot de l’université de Saint-Étienne, finalisée en 1993, publiée pour une première fois en 1995 et rééditée en 2005 pour «Tempus», une collection des Éditions Perrin sous le titre de «Marguerite de Valois. „La reine Margot». Ce livre cherche à rétablir le personnage historique qui «montre un appétit d’ogre pour les affaires de ce monde et s’impose comme femme politique, érudite, mécène, polémiste, féministe et enfin mémorialiste» comme il est écrit sur l’endos de l’œuvre. En même temps, l’auteure cherche à défaire les mythes autour de «La reine Margot», imaginé par l’écrivain français Alexandre Dumas qui s’appuie sur un bon nombre de sources historiques et qui a lui-même inspiré des études historiques redoutables du dix-neuvième et vingtième siècle.

    Le travail de session cherche à appuyer cette thèse d’Éliane Viennot, sous quelques réserves, en débutant avec une analyse critique des principales sources citées par l’auteure avant de reprendre et analyser chaque terme évoqué – l’imposition de Marguerite de Valois comme femme politique, érudite, mécène, polémiste, féministe et mémorialiste.

     

    II.                 Analyse critique des sources

                Commençons donc par une analyse des principales sources citées par l’auteure qui sont peut-être les seules faiblesses de sa dissertation. Elle s’appuie notamment sur les mémoires de Marguerite de Valois qui contiennent de nombreux passages manquants, qu’ils soient disparus au fils des temps, enlevés par les autorités d’époque ou simplement négligés par Marguerite de Valois elle-même. Même si de Valois écrit beaucoup de passages de ses mémoires avec un recul temporaire et sentimental en essayant de rester le plus neutre et détaillé possible, ces mémoires restent néanmoins très subjectives et même nébuleuses à certains égards (par exemple en ce qui concerne les amours de la reine) et sont à traiter avec une distance critique.

    Cela s’applique encore davantage aux autres sources contemporaines. Marguerite de Valois fut justifiée, approuvée et même louée par certains de ses contemporains et souvent des  poètes dont elle fut des fois le mécène ou au moins une source d’inspiration importante. Citons notamment le poète Claude Garnier s’adressant à Desportes en 1605, ou encore Honoré d’Urfé, l’auteur du premier roman-fleuve de la littérature française, «L’Astrée», qui met en scène la reine dans le personnage de Galathée en 1607, mais aussi le père jésuite Loryot avec «Les Fleurs des secrets moraux» en 1614. Ces témoignages sont souvent d’une grande valeur littéraire et poétique, certes, mais largement biaisés en dressant l’image d’une reine des plus belles et des plus intelligentes ayant un statut presque divin. Il est certain qu’il y a des intérêts multiples derrière ces écrits: que ce soit pour des intérêts personnels, culturels ou financiers. Cela s’applique aussi pour le côté adverse. Marguerite de Valois fut largement critiquée par le magistrat et historien Jacques-Auguste de Thou dans son «Histoire universelle depuis 1543 jusqu’en 1607», ensuite par l’écrivain et poète Théodore Agrippa d’Aubigné, impliqué dans la rédaction de «Le Divorce Satyrique» et enfin aussi par le mémorialiste Pierre de L’Estoile dans certaines parties de ses «Registres Journaux» de 1574 à 1611. Ces écrits furent influencés par des antipathies personnelles, des aspirations opposées à celles de Marguerite de Valois et des courants politiques et religieux très changeants tout au long de la vie de Marguerite de Valois. Le premier cite des suppositions fort douteuses comme celle que la reine serait nymphomane ou qu’elle aurait emporté la tête décapitée de son supposé amant La Môle pour le faire enterrer ce qui crée une image superficielle, égoïste et dévergondée du personnage historique.

    Éliane Viennot cite largement les deux côtés et peut-être même trop les références de «Le Divorce Satyrique» et les «Registres Journaux», mais elle les utilise à son avantage en appuyant sa thèse et n’est souvent pas des plus neutres. Elle aurait dû citer davantage des sources scientifiques plus contemporaines et ne fait souvent que suivre une tendance féministe dans la recherche historique contemporaine menant à une conclusion finale un peu trop patriotique à mon égard. Après tant de travaux historiques cherchant à justifier l’exclusion des femmes du pouvoir perpétrée pendant la Révolution et maintenue par tous les régimes jusqu’en 1944, année confirmant le droit de vote aux femmes, il est sans le moindre doute important d’avoir un contre-courant scientifique qui met la balance à la bonne place. Il est certain qu’Éliane Viennot est plus neutre et ainsi plus proche de la réalité que les historiens des deux siècles avant elle, mais son travail n’est pas sans lacunes. Il ne faut pas commettre l’erreur de tomber dans l’autre extrême et faire de Marguerite de Valois une révolutionnaire du mouvement féministe ce que Viennot fait rarement. Mais ces passages existent où l’auteure se laisse trop emporter par sa passion pour le sujet. La vérité se trouve quelque part entre les deux extrêmes et avec un peu de chance, les historiens du monde trouveront à travers d’autres recherches un consensus au courant de ce jeune siècle.

    III.               Marguerite de Valois comme femme politique

                Allons voir plus en détail le rôle de femme politique de Marguerite de Valois. Tout au long de sa jeunesse et durant ses années de jeune mariée, elle a été largement manipulée par l’ensemble de son entourage au point de «rendre sa vie misérable».[3]

    Premièrement, il y avait sa mère Catherine de Médicis, exerçant un contrôle permanent sur sa fille qui lui ressemblait beaucoup en ce qui concerne son statut de mécène, son éducation et son talent de diplomatie. Pourtant, Marguerite de Valois n’a jamais pu accumuler autant de pouvoir politique, autant de flexibilité diplomatique et autant de persévérance que sa mère, même si celle-ci était des plus brutales et sera irrémédiablement attachés aux guerres de Religion. Sa mère, une des plus grandes reines de France, a donc amorcé un travail pionnier que sa fille n’a fait que poursuivre, notamment en ce qui concerne le domaine des arts. Marguerite de Valois n’était donc pas si innovatrice, exceptionnelle et couronnée de succès que sa mère.

    Elle était également mise sous la tutelle de ses trois frères qui sont devenus rois de France, notamment sous celle d’Henri III, un souverain colérique qui a utilisé sa sœur à maintes reprises pour manifester son pouvoir, mais qui la chassa plus tard de sa cour lorsque Marguerite de Valois tentait ses premiers pas vers une émancipation politique en appuyant son frère François de France lors du complot des Malcontents. Durant son temps en exil, Marguerite de Valois, étant dans une situation des plus indignes, est économiquement et politiquement fort dépendante du soutien de divers alliés qui s’entre-changent souvent rapidement.

    Ce n’est qu’après la mort de Catherine de Médicis et d’Henri III en 1589 que Marguerite de Valois a véritablement su s’émanciper politiquement, seulement restreinte par son lien de mariage avec Henri III de Navarre, plus tard Henri IV de France.[4] Marguerite de Valois a pu exercer son pouvoir politique lors de ces dernières années en cherchant la réconciliation avec son mari qui divorcera d’elle et mariera Marie de Médicis. Elle stabilisait son rôle en retournant à Paris où elle, la dernière des Valois, transmet aux Bourbons leur héritage spirituel en adoptant le dauphin qui deviendra Louis XIII et en donnant ainsi un brevet de légitimité au nouveau mariage du roi.[5] Éliane Viennot a donc partiellement, mais pas entièrement raison de dire que Marguerite de Valois s’impose généralement comme femme politique.

    IV.               Marguerite de Valois comme femme érudite

    En ce qui concerne son statut de femme érudite, Marguerite de Valois s’impose pourtant davantage. Ses lectures et souvent même commentaires écrits durant son temps en exil, ses nombreuses lettres avec Jacques de Harlay, seigneur de Champvallon sur sa conception d’amour empreinte de néoplatonisme et sa passion pour presque toutes les formes d’art qu’elle rétablie à la cour royale de Paris vers la fin de sa vie en témoignent. Lorsqu’elle trépasse en 1615, elle est déjà «héroïne de théâtre et de roman, personnage de l’Histoire, cible de pamphlétaires».[6]

    V.                 Marguerite de Valois comme femme mécène

    Durant les dix dernières années de sa vie, Marguerite de Valois investit des sommes énormes en sa résidence près de la cour royale qui devient un centre culturel où passent poètes littéraires, acteurs de théâtre, musiciens, chanteurs et même philosophes.[7] En plus de soutenir économiquement un bon nombre de ses invités, elle fait «obtenir au frère François Amiot, religieux ermite de Saint-Augustin, et prédicateur de ladite reine, un brevet qui lui permet de recevoir et occuper tous biens, héritages et possessions, et bâtir couvents de son Ordre, en tous lieux et endroits de son royaume.»[8], suite à un vœu prononcé à Usson quelques années auparavant lors de la révolte de sa garnison qu’elle avait survécu dans ses temps les plus dures.[9] Il ne faut pas non plus négliger ses biens et possessions qu’elle transmet au dauphin. Marguerite de Valois s’inscrit ici dans une longue tradition familiale de mécénat qui avait débuté avec Laurent de Médicis, dit Laurent le Magnifique, dirigeant de facto de la république florentine durant la Renaissance italienne.[10] Vu son intérêt accentué pour les arts, on pourrait appeler Marguerite de Valois une des premières ou du moins des plus importantes «bourgeoises gentilles femmes», pour utiliser un pléonasme.

    VI.               Marguerite de Valois comme femme polémiste

    La reine Marguerite de Valois est polémiste sur plusieurs aspects. Premièrement, il y a l’aspect politique. Soumise à sa famille royale, elle cherche vite à profiter de son statut pour monter sa propre puissance politique, par exemple à travers sa relation avec la reine mère de France, en insistant sur ce détail dans certaines lettres ou en soulignant sa relation avec son époux, le roi de France Henri IV car ce qui est la volonté de sa femme doit aussi être celle du mari et donc de la royauté française.[11] D’un point de vue rhétorique et diplomatique, Marguerite de Valois est munie d’un grand potentiel ce qui garantit sa survie en des temps mouvementés. On peut également beaucoup lire entre les lignes en analysant sa plume car elle parle de Catherine de Médicis souvent de «la reine ma mère» et de son frère Henri III simplement de «mon roi», «il» ou «lui» la plupart du temps. Catherine de Médicis est donc pour elle reine avant tout et mère en second rôle tandis qu’Henri III n’est plus réellement considéré comme son frère après qu’elle ait été chassée de la cour à moins que cette mention soit utile pour arriver à ses fins.

    Ensuite, il y a aussi l’aspect coutumier. Marguerite a refusé à sa mère de se démarier d’Henri IV et de retourner à Paris sous la tutelle de sa mère et de son frère pour garder le peu de liberté qu’elle possède. Elle justifie sa décision par le lien qui unit son mari et elle et en évoquant le caractère religieux et symbolique du mariage et réussit de sortir quasiment indemne de ce dilemme. Son estime de soi grandit jusqu’à une certaine mégalomanie impliquant sa relation presque ouverte avec Champvallon et son appui continue de François d’Alençon qui provoquent deux scandales à la cour de laquelle elle est chasée. C’était la seule fois qu’elle est allée trop loin et a risqué de tout perdre.

    La progression va vers une polémique sociale plus réfléchie. Plus tard dans sa vie, elle ne vit pas le rôle classique de la femme qui est d’abord épouse, mère, gérante sage de la maison et donc inférieur aux hommes au XVIe siècle.[12] Elle vit en toute paix et liberté tout en étant rétablie à la cour royale en y jouant un rôle politique, économique et artistique des plus importants.

    VII.            Marguerite de Valois comme femme féministe

    Aussi longtemps qu’elle était soumise à sa mère distante Catherine de Médicis, son frère cholérique Henri III et son mari ignorant Henri IV, Marguerite de Valois ne se sentait pas comme une femme. Plusieurs de ses lettres témoignent qu’elle se comparait souvent à des personnages historiques masculins. Son rôle de femme féministe est donc progressif et est décrit de manière très juste par Éliane Viennot. À travers le temps, en lisant des textes féministes de Mademoiselle de Gournay ou de Cornélius Agrippa, ce sentiment réprimé en Marguerite de Valois avait trouvé son chemin et débouché à certaines occasions. Plus tard, les handicaps pesant sur son sexe sont plutôt assumés que niés. Elle y trouvera même à la fois une place personnelle et une place au sein de la communauté.[13] Elle allait même jusqu’à ébranler les convictions ecclésiastiques auxquelles elle tenait tant en critiquant le père jésuite Loryot pour certains propos qu’elle jugeait misogynes dans un ouvrage moral.[14]

    VIII.          Marguerite de Valois comme femme mémorialiste

    La décision d’écrire ses mémoires par elle-même fut à l’époque une chose peu commune qui peut être bien élucidée comme suit: «En insistant comment elle s’apercevait elle-même et comment elle fut dépeinte dans l’essai de Brantôme, la lettre de Valois adressée à lui touche le cœur de l’acte autobiographique. Ceci marqua aussi un point tournant dans l’histoire de la littérature féminine: ce fut le moment quand une femme rejeta explicitement la représentation d’elle écrite par un homme et insista à se représenter par elle-même.»[15] Ne voulant corriger que quelques erreurs et détails du travail de son admirateur Brantôme au début, l’idée d’écrire des confidences périodiques plus intimes ne se développait qu’au fur et à mesure qu’elle s’habituait au plaisir d’écrire. Elle voulait donc seulement laisser le soin à Brantôme de remplir les trous chronologiques et sauts dans le temps laissés dans ses récits. Mais cette procédure ne s’est pratiquement pas réalisée. Marguerite de Valois avait décidé au fur et à mesure de prendre le contrôle complet de la rédaction de ses mémoires.[16]

    Ses mémoires vont dans le même sens que les dernières dix années de sa vie et contribuent à une renommée posthume malgré certaines déformations qui seront vite infligées sous l’influence d’une historiographie à la solde du pouvoir et des mœurs de l’époque.[17] Le genre littéraire des mémoires connaît un véritable essor à la Renaissance et les mémoires de Marguerite de Valois sont considérés comme une heure de gloire, une œuvre qui réunit la force et le naturel, mais aussi la rapidité et l’émotion.[18] Bref, il s’agit d’une œuvre qui est par-dessus authentique, même si elle n’est pas complète. Cette reconnaissance n’est oubliée et modifiée vers la fin du dix-septième siècle et notamment dans les deux siècles à suivre.

    IX.               Conclusion

    Pour en terminer, Éliane Viennot a rédigé un ouvrage détaillé, précis et passionné et sait prouver aisément que Marguerite de Valois était une femme érudite, polémiste et mémorialiste des plus importantes de son époque.

    En ce qui concerne les termes de femme politique, mécène et féministe, il y a quelques réserves. Le pouvoir politique de Marguerite de Valois avait longtemps été étouffé. Avant d’être mécène, c’était elle qui avait besoin de soutien monétaire et accumulait des dettes, notamment lors de son exil. Acceptant son rôle de femme après la mort de Catherine de Médicis et d’Henri III et le divorce d’Henri IV, Marguerite de Valois était tout sauf féministe avant. Notons que ce sont des détails importants, mais je suis généralement  en accord avec les thèses d’Éliane Viennot.

    Concernant les sources, l’auteure a souvent choisi des documents contemporains plutôt que des travaux scientifiques récents. Au lieu d’évoquer d’innombrables témoignages et opinions biaisés, elle aurait dû cerner les plus scientifiques, réalistes et neutres pour appuyer efficacement sa thèse initiale. Son approche se défend par contre et nous met plus dans le contexte historique diversifié, certes, mais on nous confronte à des images fautives, des stéréotypes de l’époque et des récits personnels souvent contradictoires et expliqués de manière trop spéculative. Ces éléments montrent de nombreuses facettes du personnage historique sans pourtant aller au fond de la question la plus importante: qui était Marguerite de Valois véritablement? Les mystères qui restent autour de ce personnage historique justifient donc d’autres recherches futures.



    [1] Viennot, Éliane, «Marguerite de Valois. „La reine Margot“», Paris, Tempus, Éditions Perrin, 2005, p. 335 (683 pages)

    [2] Idem, p. 321

    [3] Garrisson, Janine, Marguerite de Valois, Paris, Éditions Fayard, 1994, préface (373 pages)

    [4] Op. cit., Viennot, Éliane, p. 25

    [5] Bertière, Simone, Les reines de France (tome II) au temps des Valois: Les années sanglantes, Paris, Éditions de Fallois, 1994, p. 449 (496 pages)

    [6] Op. cit., Viennot, Éliane, p. 335

    [7] Idem, p. 290

    [8] Idem, p. 287 

    [9] Idem, p. 238 

    [10] Fabroni, Angelo, Vie de Laurent Médicis, dit le Magnifique, Pise / Florence, 1791, p. 6 (278 pages)

    [11] Branton-Deris, Jenifer Ann, À la découverte d’une perle française: l’Identité de Marguerite de Valois définie par son choix de références, B.A. Lock Haven University of Pennsylvania, 1996, p. 45 pp. (179 pages)

    [12] Guillerm, Jean-Pierre & Luce & Hordoir, Laurence & Piéjus, Marie-Françoise, Le miroir des femmes 1: Moralistes et polémistes au XVIe siècle, Lille, Presses Universitaires du Septentrion, 1983, p. 3 (233 pages)  

    [13] Op. cit., Viennot, Éliane, p. 291

    [14]Idem, p. 301

    [15] Cholakian, Patricia Francis, Women and the politics of self-representation in seventeenth-century France, Newark, University of Delaware Press, 2000, p. 19 (219 pages)

    [16] Viennot, Éliane, Marguerite de Valois, Mémoires et discours, Publications de l’Université de Saint-Étienne, 2004, p. 24 (228 pages)

    [17] Op. cit., Viennot, Éliane, «Marguerite de Valois. „La reine Margot“», p. 337

    [18] Flamerion Thomas, Les Mémoires: Histoire d’un genre – Vies majuscules, Paris, Evene / Groupe Figaro, octobre 2008


     

    Bibliographie en ordre alphabétique 

     

    1.)    Bertière, Simone, Les reines de France (tome II) au temps des Valois: Les années sanglantes, Paris, Éditions de Fallois, 1994, 496 pages (page cité: 449)

    2.)    Branton-Deris, Jenifer Ann, À la découverte d’une perle française: l’Identité de Marguerite de Valois définie par son choix de références, B.A. Lock Haven University of Pennsylvania, 1996, 179 pages (pages citées: 45 pp.)

    3.)    Cholakian, Patricia Francis, Women and the politics of self-representation in seventeenth-century France, Newark, University of Delaware Press, 2000, 219 pages (page citée: 19)

    4.)    Fabroni, Angelo, Vie de Laurent Médicis, dit le Magnifique, Pise / Florence, 1791, 278 pages (page citée: 6)

    5.)    Flamerion Thomas, Les Mémoires: Histoire d’un genre – Vies majuscules, Paris, Evene / Groupe Figaro, octobre 2008

    6.)    Garrisson, Janine, Marguerite de Valois, Paris, Éditions Fayard, 1994, 373 pages (partie citée: préface)

    7.)    Guillerm, Jean-Pierre & Luce & Hordoir, Laurence & Piéjus, Marie-Françoise, Le miroir des femmes 1: Moralistes et polémistes au XVIe siècle, Lille, Presses Universitaires du Septentrion, 1983, 233 pages (page citée: 3) 

    8.)    Viennot, Éliane, «Marguerite de Valois. „La reine Margot“», Paris, Tempus, Éditions Perrin, 2005, 683 pages (pages citées: 25, 238, 287, 290, 291, 301, 321, 335, 337)

    9.)    Viennot, Éliane, Marguerite de Valois, Mémoires et discours, Publications de l’Université de Saint-Étienne, 2004, 228 pages (page citée: 24)

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