• Chernobyl Diaries (2012)

     

    As a matter of fact, Chernobyl Diaries is another rather generic horror movie with only a few truly shocking scenes and a quite predictable ending.

    The only thing that makes this release a little bit more special than other horror movies of the same kind are the exotic locations in the ghost cities Prypiat and Chernobyl, the intriguing historic background and the constantly solid dark atmosphere of the movie. The movie somehow feels more like a computer game than a real movie at some points but is quite well directed.

    The acting is not outstanding but still better than many other films of the same kind. The characters are credible and show some great emotions but they could have been more developed and more profound.

    The movie had the potential for more than just ninety minutes in my humble opinion and especially the ending comes too quickly and is rather disappointing after all.

    In the end, I would recommend you to watch this flick at your local movie theatre if you show some interest for the history of Chernobyl and its nuclear disaster and if you are a fan of horror movies. I would not recommend a purchase of the movie and I wouldn't suggest anybody who doesn't like horror movies that much to watch it, too. This movie won't get you converted to this genre. It's a solid one and I had some pleasure to watch it but it's definitely nothing extraordinary after all.

     

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    Après avoir parlé de mon arrivée à Sept-Îles, de mes six groupes et de la valeur de la conséquence en enseignement, la dernière partie de ma série d’articles concernant mon stage en troisième secondaire en histoire et éducation à la citoyenneté à Sept-Îles sera dédiée à la diversité enrichissante du métier ou de la vocation de l’enseignement au Québec.

    En ce qui concerne maintenant ce qui s’est passé en dehors de l’enseignement en classe, j’ai préparé des cours chargés en exercices diversifiés en me servant par exemple de différents manuels, du cahier d’activités, de cartes géographiques, d’extraits de documentaires, de présentations de diapositives, de travaux individuels et en équipe, de recherches guidés ou de cours magistraux. Ces préparations demandaient beaucoup de concertations avec mon enseignants associé, beaucoup de lectures de manuels historiques et pédagogiques et beaucoup de recherches à la maison afin d’offrir des situations d’enseignement-apprentissage diversifiées aux élèves.

    Une autre grande tâche était celle de la collaboration avec l’équipe-école, par exemple lors de rencontres durant des journées pédagogiques pour discuter des manuels scolaires avec un représentant de la maison d’édition, en planifiant et donnant des cours d’allemand sur l’heure du midi à une quinzaine d’élève avec une enseignante en sciences naturelles ou en suivant tout simplement des petites formations ou en s’échangeant sur de différentes situations en classe.

    À part des confrères et des consœurs de travail, il fallait travailler de concert avec les intervenantes sociales de l’école pour intervenir adéquatement envers des élèves qui avaient posé un mauvais geste en classe et qui allaient avoir des conséquences diverses. Même des discussions avec des directeurs adjoints ou encore les concierges pouvaient être très enrichissantes dans certaines situations. J’ai tenté de connaître le plus de personnes possibles afin de m’intégrer le plus rapidement et afin de me renseigner sur toutes les ressources humaines et matérielles.

    Sinon, la collaboration avec les parents était une tâche très diversifiée qui demandait une très bonne préparation, beaucoup de patience et l’établissement subtil d’un climat de respect mutuel face à diverses situations lors des appels à la maison pour différentes raisons. Souvent, il fallait être très concentré, diplomatique et structuré pour convaincre les parents d’une intervention faite en classe tout en restant poli, mais décidé et ferme.

    Tous ces exemples dont je pourrais encore parler pendant des heures démontrent la diversité de la tâche d’enseignement au Québec de nos jours. Il s’agit d’un métier qui est en développement perpétuel et dans lequel il faut toujours continuer à se mettre en question, à essayer de nouvelles approches académiques, pédagogiques et techniques et à créer des liens forts avec un entourage complexe qui se modifie profondément à chaque année. C’est un métier dynamique et passionnant, mais il demande beaucoup d’énergie et de persévérance. Sans la collaboration essentielle avec les différents acteurs qui gravitent autour de l’école, la réussite de mon stage n’aurait pas été possible.

    Après tout, j’ai pu approfondir beaucoup de théories apprises à l’université et apprendre beaucoup de nouvelles formules pédagogiques, de styles de gestion et d’interventions en classe et d’approches différentes envers une clientèle très diversifiée et très différente durant ces cinq semaines et demie, tout en réalisant une autre fois que la réalité de l’enseignement ne se vit pas que durant les stages. Le fait de passer ce stage dans une région périphérique pittoresque et dans un milieu plus difficile était excessivement enrichissant. Je pense que j’ai pu créer des liens profonds au niveau personnel et professionnel avec mon enseignant associé, avec ma conseillère de stage, avec une partie de l’équipe-école et après tout aussi avec un certain nombre d’élèves. J’ai eu beaucoup de plaisir d’être en classe avec tous mes groupes attachants et différents qui m’ont posé beaucoup de défis que j’ai su relever avec beaucoup d’acharnement.

    Je ne peux que conseiller à tous ceux et celles qui auront des stages en enseignement à faire, d’en réaliser au moins un en dehors de leur région natale et d’avoir le courage de voir plus loin que leur propre horizon. J’ai l’impression que j’ai une idée beaucoup plus complexe et également complète des réalités de l’enseignement suite à ce stage. Je pourrais également bien m’imaginer d’enseigner dans des régions différentes au lieu d’être limité à une seule place. J’ai hâte de voir où mon chemin m’amènera et ce stage m’a inspiré beaucoup de réflexions critiques, mais aussi de confiance et d’ouverture d’esprit. En quittant la ville de Sept-Îles par autobus, il y a maintenant presque un mois, j’ai su que j’étais tombé en amour avec la région et que mon stage n’avait sûrement pas été ma dernière occasion d’y faire un tour.

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  • Herzliche Grüße an alle interessierten Leserinnen und Leser meines Blogs!

     

    Seit dem letzten Wochenende bin ich nun wieder für einen kurzen Zeitraum in Deutschland. Diese Freizeit und Zeitspanne nutze ich dieses mal auch dazu, um meinen Blog zu aktualisieren und kompletter denn je zu gestalten. Beginnen werde ich mit den Artikeln, die ich zwischen 2007 und 2010 für die "Jungen Zeiten" des Leverkusener Anzeigers, beziehungsweise des Kölner Stadt-Anzeigers, geschrieben habe. Diese Aktualisierungen werden sich noch über die nächsten Tage hin ziehen.

    Beim Durchlesen meiner zahlreichen Artikel bin ich auf eine schier uenrschöpfliche Quelle an Vielseitigkeit gestoßen. So geht es mal um Gesellschaftsprobleme, um Film, Litteratur und Musik, dann um regionale oder europäische Politik, aber durchaus auch um Reiseberichte, um das Schulwesen, um diverse Sitten und Bräuche verschiedenster Länder oder um Sport. Mal handelt es sich um Erfahrungsberichte, dann um Meinungsartikel oder auch um ausführliche Reportagen. Es sind auch Glossen, Interviews und Rezensionen dabei. Jeder sollte also etwas finden, womit er oder sie etwas anfangen kann. Wer beim eifrigen Durchlesen etwas aus dem Zusammenhang heraus nicht ganz versteht, der kann mir gerne einige Fragen stellen.

    Ich möchte darauf hinweisen, dass ich meine ersten Artikel im Alter von achtzehn jahren geschrieben habe und meine letzten im Alter von zwanzig Jahren. manche Meinungen würde ich heute nicht mehr exakt so ausdrücken oder vertreten, wie ich sie vor Jahren geäußert habe, aber im Grunde hat sich nicht wirklich viel geändert. Ich habe mit diesem Nebenjob damals einer großen Leidenschaft gefrönt, welche der Journalismus jeglicher Art nun einmal ist (ich erinnere mich auch gerne an mein Praktikum beim WDR 5  im Jahr 2005, wo ich die Sendungen "Lilipuz" und "Bärenbude" betreut habe) und auch mein Taschengeld aufgebessert. Ich bin dadurch zeitweise zu einem Stadtgespräch geworden und wurde oft auf meine Artikel angesprochen. Heute schreibe ich weiterhin, allerdings an meiner kanadischen Universität in Québec für deren Blog und deren Universitätszeitung. Ganz aufgeben möchte ich das Schreiben nie und hege die Hoffnung, dass ich auch eines Tages wenigstens eines meiner Bücher veröffentlichen könnte. Vielleicht treffe ich ja eines Tages eine charmante Person, die ihren ganz eigenen Verlag gründen möchte - ich wäre vermutlich dabei!

    In dem Sinne wünsche ich euch aber zunächst einmal viel Spaß beim Stöbern und Entdecken. Bleibt meinem Blog treu gesonnen und bis bald!

    Euer Sebastian

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  • Der Traum vom Job bei der UN

     

    Von Sebastian Kluth, 25.03.09, 19:43h, aktualisiert 26.03.09, 10:22h

     

    Die 21-jährige Sarah Herweg aus Leverkusen möchte sich in einem Master-Studiengang auf Internationale Beziehungen spezialisieren. Sie nimmt in New York an einer simulierten Sitzung der Vereinten Nationen teil.

     

    Sarah Herweg
     
    Die Leverkusenerin Sarah Herweg studiert in Bonn Politik. Sie möchte sich später auf Internationale Beziehungen spezialisieren, um vielleicht beim Auswärtigen Amt oder den Vereinten Nationen arbeiten zu können. (Bild: Ralf Krieger)

     
    Sarah Herweg ist 21 Jahre jung und kommt aus Leverkusen. Derzeit studiert sie in Bonn den Bachelorstudiengang Politik und Gesellschaft. Ihr großer Traum ist, falls sie sich in einem Master-Studiengang auf Internationale Beziehungen spezialisieren könnte, eines Tages vielleicht im Auswärtigen Amt oder bei den Vereinten Nationen (UNO) oder der Europäischen Union (EU) arbeiten zu können. 

     

     

    Über das Deutsche „Youth for Understanding Komitee“ (YFU = Internationaler Jugendaustausch), das ihr bereits ein Auslandsjahr in Chile ermöglicht hat, wird sie im April in New York mit elf anderen Personen in einer Delegation an der National Model United Nations Conference (NMUN) teilnehmen. Das ist die weltweit größte, jährlich stattfindende Simulation der Vereinten Nationen. Simuliert wird nicht nur die UNO-Vollversammlung, sondern auch der Sicherheitsrat oder die UNESCO. Insgesamt handelt es sich um 24 verschiedene Organe.

    Meinungen recherchieren

    Dabei werden die Teilnehmer sowohl in direkten Kontakt mit politischen Entscheidungsträgern treten, als auch die dortige deutsche Vertretung besuchen. Der Clou des Programms liegt darin, dass die Delegierten nicht etwa ihr eigenes Land vertreten, sondern ein ihnen fremdes. Sie müssen sich in die Ansichten dieses Landes hineindenken, Meinungen recherchieren und mit der zu vertretenden Kultur verschmelzen, denn in der Simulation gilt es nicht etwa persönliche Ansichten kundzutun, sondern viel mehr „sein“ Land realistisch zu vertreten. Diese Vorbereitung begann bereits im vergangenen Sommer. Da lernten sich die Delegierten zunächst auf elektronischem Weg, dann bei insgesamt vier Treffen persönlich kennen. Gemeinsam wurde an der Rhetorik gefeilt und es wurden so genannte „position papers“ erarbeitet. Sarah Herweg berichtet von der Entwicklung einer gewissen Gruppendynamik: „Anfangs war man natürlich ein wenig nervös, weil man sich gar nicht kannte, aber das erste Treffen war dann sehr positiv und motivierend. Mittlerweile sind wir ein eingespieltes Team, in dem jeder seine Stärken zeigen kann. Wir sind quasi Freunde geworden.“ Dabei besteht die Delegation auch aus zwei Hauptdelegierten, die aus rund dreißig Bewerbungen zehn Leute auswählen mussten, die besonders tauglich für das Projekt erschienen und erste organisatorische Dinge konzipieren und Erfahrungen vermitteln sollen. Es ergab sich eine bunte Mischung. Im Gegensatz zur allgemeinen Annahme sind nur zwei Politikstudenten im Team. Das Programm richtet sich gerade auch an Studenten mit anderen Schwerpunkten. Eine Teilnehmerin in der Gruppierung befindet sich noch in der zwölften Schulklasse. Sarah Herweg erklärt dies: „Prinzipiell kann sich jeder bewerben, er muss nicht einmal beim Komitee YFU sein. Ich habe allerdings durch deren Newsletter davon erfahren, weil ich seit meinem Auslandsjahr für die Organisation Treffen mitorganisiere und ausländischen Gastschülern bei der Integration helfe.“ Dennoch startet die Leverkusenerin keineswegs unerfahren in das Projekt. Sie hat bereits an einer kleineren Simulation der Vereinten Nationen in Bonn (das Projekt heißt BIMUN) teilgenommen. In fast jeder Universitätsstadt gibt es solche Programme. In Bonn dauerte es fünf Tage und es gab 180 Teilnehmer verschiedener Nationen. „Wir wurden vom Bürgermeister begrüßt und es gab auch Gastvorträge von UN-Mitarbeitern“, erzählt die 21-Jährige. Sie habe Costa Rica im Sicherheitsrat vertreten. Ihr sei dabei schnell klar geworden, wie handlungsunfähig die UNO manchmal sein könne und warum bestimmte Resolutionen immer so lange dauern würden.

    „Diese Resolutionen müssen oft sehr allgemein formuliert werden, denn bei den 15 „Ländern“, die wir im Sicherheitsrat in Bonn vertreten haben, mussten mindestens neun für die Resolution stimmen und keine der fünf Vetomächte durfte dagegen sein. Das war manchmal nur sehr schwer machbar“, wie Sarah Herweg anmerkt. Bevor nun im April in New York überhaupt mit den richtigen Themen angefangen werden kann, muss ein genauer Ablauf besprochen werden. Auf Grund der verschiedenen Interessen der Länder kann sich schon dieser erste Punkt sehr lange hinziehen.

    Wettrüsten

    Nachdem in den letzten Jahren in New York Länder wie Island oder Ecuador vertreten wurden, fiel dieses Jahr die Wahl auf Israel. „Die besonderen Entstehungsbedingungen und die aktuelle Situation des Landes machen die Arbeit sehr interessant. Vor allem wir als Deutsche sehen darin eine besondere Aufgabe. Früher war Israel einfach ein Land von vielen, heute würde ich sehr gerne einmal dorthin reisen“, meinte die Studentin. Bei der Konferenz werden 24 x 3 Themen besprochen. Sarah Herweg hat sich mit dem Thema Sicherheit zu beschäftigen. Damit ist der Komplex Kriegsgefangenschaft gemeint, dazu das Wettrüsten im Weltraum und das Weiterleiten von nuklearem Material. Bei den anderen Komitees geht es meist um Wirtschaft und Humanitäres. Ziel ist es, Resolutionen zu kreieren und zu verabschieden. „Ich denke, dass mir dieses Projekt schon jetzt eine tiefere Einsicht in das Land Israel gegeben hat, zudem werde ich meine Teamarbeit perfektionieren und auch mehr Sicherheit in meinem Auftreten gewinnen“, nennt Sarah Herweg ihre Ziele. Später wolle sie in diesem Bereich einen Job suchen. Daher mache sich so eine Teilnahme natürlich auf dem Lebenslauf besonders gut.

    Unterstützung ist wichtig

    Sarah Herweg hat aber auch vor, künftig in Bonn bei der Organisation der „International Model United Nations-Konferenz“ (BIMUN) mitzuarbeiten und dieses spannende Projekt am Leben zu erhalten. Sie betont, dass trotz all des Engagements dieses Projekt ohne die Unterstützung von Sponsoren nie geglückt wäre und „möchte an dieser Stelle den Geldgebern ebenso ihren Dank aussprechen wie dem Leverkusener Oberbürgermeister Ernst Küchler.“ Natürlich seien weitere Spenden erwünscht, um das Fortbestehen von BIMUN zu gewährleisten.

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  • Begegnungen mit der großen Politik


    Ein Tag als Europaabgeordneter

     

    Mitte Oktober hatte ein Junge-Zeiten-Mitglied Gelegenheit, an dem Projekt "Euroscola" des Europäischen Parlaments in Straßburg teilzunehmen.

     

    Dieses Projekt richtet sich seit dessen Einführung 1989 hauptsächlich an Schulklassen der gymnasialen Oberstufe in Deutschland und entsprechende Schulformen in den Mitgliedstaaten der Europäischen Union und dient dem Zweck, den Jugendlichen den europäischen Gedanken des Zusammenhalts zu vermitteln, sowie gemeinsam über die EU und ihre Projekte zu diskutieren. Zudem sollen durch direkte Gespräche mit Abgeordneten Grundkenntnisse über die Europäische Integration vermittelt werden.

    Die Teilnehmer aus den Französischkursen der Jahrgangstufen 11 und 12 unserer Schule hatten sich bereits im Voraus mit den einzelnen Themenfeldern des Projektes beschäftigt und bereits im Vorfeld ein interessantes Treffen mit dem Politiker Herbert Reul, einem in Leichlingen lebenden Abgeordneten im Europäischen Parlament, der unter anderem ordentliches Mitglied des Ausschusses für Industrie, Forschung und Energie ist. Er verschaffte uns bereits interessante und authentische Einblicke in seine Arbeit. Da am ersten sowie letzten Tag unseres Aufenthalts die Erkundung der Stadt Straßburg auf dem Programm stand, trafen wir am Donnerstag Morgen am Europäischen Parlament ein.

    Aufgrund der unplanmäßigen Überlänge des Einlasses sowie Frühstückes, hatten wir die Gelegenheit mit Schülern anderer Nationen erste Kontakte zu knüpfen; insbesondere mit den Vertretern unserer Partnerschule Saint Erembert in Saint Germain-en-Laye (nahe Paris), auf deren herzliche Einladung hin wir überhaupt erst zu diesem Programm gestoßen waren.

    Im Anschluss gab es eine Versammlung im großen Plenarsaal, bei der ich die Ehre hatte, meine Schule vor versammelter Mannschaft kurz zu präsentieren. Im Anschluss an die Präsentation wurde der Aufbau und die Funktion des Europäischen Parlamentes von einigen Abgeordneten erklärt und es durften Zwischenfragen gestellt werden. Die Politiker antworteten zumeist knapp und verständlich, wobei die Frage nach der Trennung der Sitze in Brüssel und Straßburg und den damit verbundenen hohen Fahrtkosten der Abgeordneten,  eher auf wenig Gegenliebe stieß und auch nicht wirklich beantwortet wurde. Danach gab es ein kurzes Mittagessen, bei dem ich viele französische Schüler kennen lernte und es kam zu herzlichen und interessanten Gesprächen. Dann nahmen wir alle noch am Spiel „Eurogame“ mit diversen Fragen bezüglich Politik und Geographie teil, wobei die Nationen in Vierergruppen vertreten sein mussten und erneut der französisch-deutsche Kontakt intensiviert wurde. Im Anschluss an den ersten Teil des Spiels ging es aber zunächst zurück in den Plenarsaal, wo die Schüler in sechs Themengruppen unterteilt wurden.

    Themenvielfalt

    Ich beschäftigte mich vor allem mit dem Thema der Dynamisierung Europas, weitere Themen waren Demokratie und Zukunft Europas, Umwelt, Transport und Energie, Kultur, Sozialpolitik und Arbeitsplätze. Ich wurde in meiner Gruppe sogar zum "Präsidenten" gewählt, leitete die Diskussion ein, nahm Wortmeldungen entgegen und musste einige Male all zu abschweifende Einwürfe unterbrechen, um auf das eigentliche Thema zurück zu kommen. Ein weiterer französischer Schüler hielt die Ergebnisse der Debatte schriftlich fest. Nach rund anderthalb Stunden präsentierten die Gruppen im Plenum ihre Ergebnisse, wobei der jeweils gewählte "Präsident" kurz in das Thema einführte und der Assistent oder Berichterstatter die konkreten Ergebnisse vortrug. Der jeweilige "Präsident" musste auch auf Fragen, Anregungen oder Kritik des Publikums antworten, und im Anschluss wurde für oder gegen die erläuterten Vorschläge und Ideen abgestimmt.

    Diese Erfahrung, für einen Tag Abgeordneter im Europäischen Parlament zu sein, war enorm aufschlussreich und interessant. Gegen Ende bekamen wir, leider etwas unpersönlich, ein „Euroscola-Diplom“ überreicht, in welches wir unseren Namen selbst eintragen mussten. Umso herzlicher war jedoch der Abschied von unserer französischen Partnerschule, mit der wir versuchen werden, im nächsten Jahr einen Schüleraustausch zu organisieren. Insgesamt war das "Euroscola"-Programm sehr gelungen. Ich kann den zukünftigen Schülergenerationen nur wünschen, dass sie das Privileg haben werden, in einigen Jahren selbst an der nächsten Ausgabe dieses horizonterweiternden Projekts teilzunehmen.  

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