• Le cercle des sept malédictions

     

     

    Une conte de fée écrit par Sebastian Kluth











    Le premier livre:


    La recherche aventureuse de la croix d’Ézéchiel et du livre des sept cachets

     

     

     

     

     

    Le cercle des sept malédictions

    Une conte de fée écrit par Sebastian Kluth

     

    Dédié à Joanie Munger

     

     

    Premier livre: La recherche aventureuse de la croix d’Ézéchiel et du livre des sept cachets

     

    Avant-propos de l’auteur
    Prologue

     

    Allemagne: 1999

    Première partie:                                    La prophétie

    Turquie : 2004

    Deuxième partie:                          L’attaque des esprits de la maladie

    Allemagne: 2004

    Troisième partie:                          La cathédrale

    Quatrième partie:                          Le Graal

    Cinquième partie:                          Le secret des catacombes

    Belgique: 2005

    Sixième partie:                          Le magicien de Bruges

    Septième partie:                          La croix d’Ézéchiel

    France: 2005

    Huitième partie:                                    La salle des secrets

    Neuvième partie:                          Le signe du marteau

    Dixième partie:                         Le colisée souterrain de Quetzalcoatl

    Onzième partie:                                    Excalibur 

    Douzième partie:                          L’attaque des espadons

    Treizième partie:                          Le labyrinthe d’eau

    Quatorzième partie:                          L’esprit de la princesse

    Quinzième partie:                          Les deux obélisques

    Seizième partie:                                    Le tremblement de terre

    Dix-septième partie:                          Le livre des sept cachets

    Dix-huitième partie:                          Babylone

    Dix-neuvième partie:                          Le policier

    Vingtième partie:                          La maîtresse en noir

    Vingt-et-unième partie:               Vampires dans le métro

    Vingt-deuxième partie:               La bibliothèque

    Suisse: 2005

    Vingt-troisième partie:               Au plein milieu du no man’s land

    Vingt-quatrième partie:               L’auberge

    Vingt-cinquième partie:               L’histoire de l’étranger

    Vingt-sixième partie:                          La forêt brumeuse

    Vingt-septième partie:               Le corbeau

    Vingt-huitième partie:               Sainte Marie du Lac         

    Vingt-neuvième partie:               Le gardien du château

    Trentième partie:                          Le trône noir           

    Trente et unième partie:               La reine des vampires

    Trente-deuxième partie:               La grande bataille dans la maison du diable

    Trente-troisième partie:                        L’apparence du clairvoyant légendaire et le signe des    

                                                               quatre archanges

    Trente-quatrième partie:               Une fuite mortelle

    Trente-cinquième partie:               Interrogatoire avec un vampire

    Trente-sixième partie:               La descente de la rivière 

    Autriche 2005:

    Trente-septième partie:                        Attentat dans une boulangerie                    

    Trente-huitième partie:               Raisons et conséquences d’un crime

    Liechtenstein 2005:

    Trente-neuvième partie:               Le monastère au Liechtenstein

    Quarantième partie:                          Le journal intime de Sydney Leoni

    Quarante-et-unième partie:               Le portier

    Quarante-deuxième partie:               Le journal intime de Sydney Leoni – Découvertes et

                                                               dangers 

    Quarante-troisième partie:                        L’escalade de la tour

    Quarante-quatrième partie:               Recherches surprenantes

    Quarante-cinquième partie:               Le cercle des sept malédictions et une attaque inattendue

    Quarante-sixième partie:              La descendante de Tristania

    Quarante-septième partie:                        L’invasion

    Quarante-huitième partie:             Le massacre dans les catacombes

    Quarante-neuvième partie:               Changements sentimentales

    Cinquantième partie:                          Le duel avec le couple de l’enfer

     

    Épilogue

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


     

    Avant-propos de l’auteur


    Leverkusen, le 20 janvier2008


    Je m’appelle Sebastian Kluth et je suis maintenant un jeune adulte âgé de dix-huit ans qui vit actuellement à Leverkusen, dans l’ouest de l’Allemagne.

    Le manuscrit que vous lisez ici, est la version originale et plusieurs d’entre vous se demanderaient maintenant, pourquoi un jeune Allemand écrit un livre entier en francais dans son libre-temps. Cela a plusieurs raisons principales.

    Quand j’avais seize ans, je me suis réalisé un de mes rêves les plus grands d’enfance: J’avais eu la possibilité de vivre à l’étranger pendant une année au complet afin d’y fréquenter une école polyvalente. Ma première langue étrangère était le français et non l’anglais, donc je voulais toujours aller dans un pays francophone. Lors de ma carrière scolaire dans une classe bilingue française en Allemagne, j’avais fait plusieurs échanges culturelles en France, par exemple à Saint Germain-en-Laye, proche de Paris, et à Villeneuve d’Ascq, proche de Lille. Cela étaient deux expériences enrichissantes qui ont encore augmenté mon amour envers la langue francaise et la culture francophone. La raison pour laquelle je suis enfin parti au Québec était assez simple: Je voulais vivre dans un pays francophone autre que la France, car je voulais découvrir quelque chose de nouveau. La nature et la culture canadienne m’avaient toujours fascinées, je rêvais des véritables hivers, d’une grande nature magnifique, d’un pays d’immigrants qui avait gardé son ancien charme dans un monde de plus en plus moderne. Mes expériences au Québec ont encore surmonté tout mes rêves et désirs. C’était une année inoubliable et j’y ai fait la rencontre de plein de personnes gentilles et je suis devenu un vrai Québécois qui mange du pâté chinois et de la poutine, qui adore faire de la raquette et de conduire une belle moto-neige et qui est devenu un vrai séparatiste, car je crois en mes rêves et en la liberté. Pendant mon séjour dans ce pays, j’ai fait la connaissance de ma future petite amie, une sœur à mon meilleur ami au Québec avec lequel je partageais ma passion pour des jeux d’ordinateur, des jeux de société, le Moyen Âge, les belles filles et le heavy metal. Après lusieurs échecs un peu décevants en ce qui concerne l’amour, je suis donc tombé de plus en plus amoureux de sa sœur. J’ai fait des efforts énormes afin de gagner sa confiance et finalement son amour. J’ai essayé de l’inviter à des soirées au théâtre, à faire du shopping en ville ou à une soirée DVD avec moi. Elle avait réfusé mes invitations, mais je n’ai pas abandonné et finalement, je lui avait avoué mon amour et mes espérances étaient devenues réalités: Elle ressentait les mêmes choses pour moi.

    Qu’est-ce que j’ai tant aimé concernant cette fille ? Premièrement, elle était deux ans plus jeune que moi, mais déjà énormément mature. Elle n’était pas comme les autres filles qui se maquillent trop, qui tombent en amour avec des acteurs à la télévision ou leur professeur d’anglais et qui exigent d’être traitées comme des véritables princesses et qui s’enfouent de l’opinion de leur petit ami.

    Cette fille-là était serviable, gentille, très studieuse comme moi et avait beaucop moins de changements d’humeur rapides. En plus, elle était toujours optimiste, un trait de caractère rare à trouver dans le monde moderne, rempli d’une grande criminalité de jeunes qui adressent une violence incroyable envers la société aveugle pour leurs problèmes. En plus, elle était une fille d’une beauté douce et naturelle qui m’avait fasciné dès notre première rencontre.

    C’était pour elle, que j’avais commencé à écrire cette histoire. Au début, j’avais planifié d’écrire une petite conte de fée d’une quinzaine de pages. Je voulais lui présenter ma vie un peu et les endroits que j’avais visité, comme la Turquie, la Belgique ou la France qui apparaissent tous dans le premier tôme de mon histoire. Je voulais finir ma conte de fée avec mon voyage au Québec et notre rencontre et laisser la fin ouverte. J’ai commencé à écrire cette histoire en décembre 2006, mais je me suis vite rendu compte, que j’avais de plus en plus d’idées à ajouter à l’histoire et j’avais tout à coup une vision complexe. J’ai écrit un petit scénario, malgré que l’histoire était seulement planifiée comme une petite esquizze. J’ai souvent ajouté ou transformé des événements (par exmple l’apparence d’un archéologue en conclusion avec l’attentat ou l’apparence d’une descendante de Tristania) ou modifié certaines parties (le début) et perfectionné les détails enfin (le prologue et l’épilogue).

    En ce qui concerne ma petite amie, je lui ai toujours envoyé des nouvelles pages de mon histoire et on les a lues ensembles. Notre relation s’est approfondie de plus en plus et cette illusion, cette histoire dont je parlais au début seulement dans mon histoire est devenue une réalité: Nous sommes encore un couple très heureux aujourd’hui et sont en train de planifier notre vie ensemble. Elle est déjà venue me voir en Allemagne et je lui ai présenté ma région et mon pays et moi, je vais souvent au Québec durant les vacances d’été et je m’y suis inscrit pour mes études à l’université afin d’y travailler et immigrer un jour. Je suis très chanceux d’avoir rencontré cette fille dans un pays étranger, cela me paraît comme un miracle desfois. Peut-être que c’était vraiment mon destin?

    J’ai finalement décidé de diviser l’histoire en trois parties, car mes explications et événements sont devenus de plus en plus complexes. J’imagine que mon style d’écriture s’est encore développé depuis le début du premier livre que j’avais commencé d’écrire en décembre 2006 et sa fin en janvier 2008. J’ai décidé que le premier tôme sera comme une entrée: À part de la princesse, le personnage principal rencontra ses compagnons, venant de chaque continent, ce qui symbolise l’ouverture d’esprit, un signe contre le racisme et qe l’on ne réussit rien tout seul. Il recontra ainsi des ennemis dont il découvre de plus en plus. En même temps, le personnage principal trouvera des armes importantes pour la suite et la fin de l’histoire, comme l’épée « Excalibur », la croix d’Ézéchiel ou aussi le livre des sept cachets qui jouent tous un rôle important. Le deuxiéme livre parlera de la véritable bataille contre chaque membre du cercle des sept malédictions et même de la rencontre de la belle princesse vers sa fin. J’ai déjà des idées concrètes comment l’histoire finira et ce qu’il se passera encore.

    Mais le meilleur truc pour écrire et créer un tel livre est le moment de la spontanité C’est cela qui rend une histoire vivante et surprenante.. Évidemment, j’ai fait attention à ne pas perdre le fil rouge de l’histoire et j’ai rélu mon livre plusieurs fois. Une autre grande inspiration est la relation avec ma petite amie québécoise, naturellement.

    Je vais vous expliquer encore brièvement quelques intentions et inspirations par rapport avec ce premier tôme. Ce livre n’est pas le premier que j’écris. J’avais déjà écrit une histoire de crime quand j’avais neuf ou dix ans et je l’avais envoyé à une maison d’édition. C’était mon propre idée de le faire et mes parents n’avaient aucune influence sur cette affaire. Évidemment, mon histoire en allemand n’a pas encore été acceptée et publiée. J’ai quand-même continué et écrit d’autres histoires, cette fois-ci dans la domaine phantastique, ressemblant à une histopire dans un pays imaginaire, peut-être comme « Le seigneur des anneaux » de Tolkien ou la trilogie de « Neschan » de l’auteur allemand qui s’appelle Ralf Isau. Ces histoires n’ont pas été publiées non plus. Par la suite, j’avais commencé à écrire plusieurs histoires, comme un livre d’horreur qui ressemble peut-être à l’histoire dans le grand musical « Rocky Horror Show » de Richard O’Brien et après un livre sur une histoire de mafia qui ressemble aux films « Le parrain » ou le jeu d’ordinateur « Mafia ». Malheureusement, je n’avais ni le temps, ni le goût de finalsier ces livres. Ensuite, j’ai commencé á écrire ce livre ici, « La princesse de Shipshaw ». Je voulais y intégrer des éléments autobiographiques évidemment, ainsi que mes sources d’inspirations et je voualis créer des caractères plus profonds, plus clairs à saisir que dans mes autres histoires. Je suis fier d’avoir créé un tel livre dans une langue étrangère et j’y ai investi de nombreuses heures de travail pendant presque deux ans au complet. J’ai trouvé mon propre style diversifié à travers ce travail.

    Mes sources d’inspiration se laissent diviser en plusieurs parties :

     

    1.)   L’histoire:

    L’histoire est probablement ma matière préférée à l’école. Malgré des professeurs desfois ennuyeux ou des sujets trop répetés (La Révolution francaise), j’ai toujours adoré certains trucs. J’ai déjà joué avec la pensée d’écrire un livre sur Alexandre le Grand. En tout cas, ce qui m’a isnpiré pour ce livre ici était surtout l’histoire de l’ordre du Temple, surtout sa relation avec le Vatican et le roi de France, ce qui m’a inspiré à ajouter le personnage de Jacques de Molay. Les passages qui traitent de lui sont à moitié réelles (sa mort, son conflit avec le roi et le Pape) et à moitié imaginaires. L’histoire d’Excalibur est basée sur une légende historique et imaginaire aussi. Un autre sujet lié avec l’histoire est le sujet de la religion: Le Graal (un autre truc mi-invité), la croix d’Ézéchiel (encore invité), les allusions à Jésus Christ (moi, je dirais que c’est réel, mais les athéistes ne seraient peut-être pas d’accord) ou le livre des sept cachets (citation dans la Bible). 


    2.)   Les livres et les jeux:

    Sincèrement, je ne pourrais pas nommer tout les livres qui m’ont inspiré directement ou indirectement. J’ai essayé d’éviter de copier d’autres auteurs et d’inventer une histoire à mon propre style. Évidemment, on reconnaîtra peut-être des éléments de romans d’aventures diversifiés (par exemple des auteurs comme Isau (« Trilogie de Neschan ») ou Jo Zybell (« Maddrax ») ou même Tolkien (« Le seigneur des anneaux »)) ainsi que des romans d’horreurs (comme par exemple Vlcek/Davenport (Dorian Hunter), Jason Dark (John Sinclair)) ou des romans archéologiques (des auteurs comme Thomas Thiemayer (« Medusa »), Haensel, de Vries (avec leur série allemande « Die Abenteurer »)) et même la Bible, malgré que ce livre n’est pas explicitement adressé à un public religieux, car le moyen de la religion dans mon histoire est utilisé d’une façon imaginaire, historique ou neutre. En ce qui concerne les jeux d’ordinateurs, je dirais que plusieurs aventures de « Tomb Raider », « Prince of Persia » et « Indiana Jones » m’ont surtout inspiré, par exemple en décrivant les événements dans la salle des secrets.

     

    3.)   Mes propres expériences et goûts:

    Je vous parlais déjá de mon séjour au Québec et de mes séjours en France, Belgique, Turquie. Un autre pays qui m’a fortement inspiré est sûrement la Russie. J’ai visité la ville de Saint Pétersbourg (où jouera le début du deuxiéme livre) et je trouve que c’est la ville la plus belle au monde que je connais. Mon caractère Andrej, un de mes personnages préférés de toute l’histoire, et un hommage à ce pays, sa culture et ses valeurs. Un autre goût qui m’a inspiré pour certaines passages de l’histoire est la musique, surtout mon groupe préféré qui s’appelle « Iron Maiden ». Les textes de leurs chansons ont bien souvent une grande profondeur et parlent occasionnellement d’événements historiques aussi.

     

     

    Pour en conclure, cela m’a fait énormément plaisir d’écrire cette histoire, c’était beaucoup de travail et j’ai dépensé beaucoup de temps et je suis content de voir qu’il y a quelques-uns qui se préparent à lire cette histoire qui s’adresse non seulement aux adolescents, mais aussi aux adultes et personnes de tous les âges. Malgré le fait qu’il s’agit d’une conte de fée originalement, je vous avertis qu’il y a beaucoup d’éléments d’horreur, d’action et de tension inclus. Le sens philosophique est par contre: « Vive l’amour, l’amitié et l’optimisme! Ensemble, on sera fort! »

    Je vous souhaite une très bonne lecture maintenant ! Merci pour votre attention pour ce grand avant-propos.

     

    Votre

    Sebastian Kluth

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  • Le cercle des sept malédictions


    Une conte de fée écrit par Sebastian Kluth


    Prologue


    Au Québec, à Shipshaw, en avril 2005

     

    C’était le printemps. Une saison entre un hiver froid et sombre et un été ensoleillé. La jeune fille de treize ans et demi se réveilla en sueur dans le lit de sa chambre au sous-sol d’une petite maison dans un village chaleureux. Une des dernières tempêtes de l’année, les derniers signes de l’hiver, frotta violemment la petite fenêtre de sa chambre.

    La fille se réveilla et essaya de se souvenir du rêve mystérieux qu’elle avait eu. Elle n’avait jamais eu un rêve comparable à celui-ci. Il lui semblait si réel, si émotionnel. Elle avait vu un jeune garçon beau, mais étranger, chargé d’une mission énorme, un garcon qu’elle n’avait jamais vu auparavant. Elle sentait qu’il y avait quelque chose de mystérieux, quelque chose comme un lien entre elle et l’étranger qui ne venait pas du Québec. Elle sécoua la tête. Ce n’était qu’un rêve bizarre…

       La jeune fille avait une grandeur d’environ un mètre et cinquante-cinq centimètres. Elle avait  des yeux bruns et clairs, un sourire doux et un visage légèrement pâle. Elle portait des lunettes. Elle avait des cheveux plutôt bruns avec quelques mêches blondes. Elle était en pyjama et voulut se réinstaller dans son lit chaud afin de trouver encore un peu de sommeil. Elle regarda les deux chiens qui se trouvèrent en bas de son lit, deux femelles au poil blanc qui dormaient tranquillement. Elle adorait les animaux.

    Elle regarda le petit cadrant à côté de son lit et ses péluches. Il était rendu minuit et demi. Elle avait bizarrement envie de continuer à rêver ce rêve bizarre, car elle avait eu l’impression qu’il ne lui présenta qu’un début. Elle savait que cela parlait d’un monde cruel, remplie de méfiance, terreur et peur et d’un jeune enfant choisi qui avait pour mision de devenir le sauveur, celui qui ménerait la dernière grande bataille contre des forces démoniaques. Elle avait vu une planète menaçante qui ressembla étrangement à son monde, le monde réel.

       Elle se recoucha et le sommeil agréable la contourna bientôt et l’acceuilla étape par étape doucement dans le royaume infini des rêves. Elle se retrouva bientôt dans un rêve plein d’aventures, de dangers et de batailles, mais aussi plein d’espoir, d’amour et de confiance. Ou est-ce que tout cela était peut-être plus qu’un simple rêve? Est-ce qu’il pourrait s’agir d’une véritable prophétie? Est-ce que cet adolescent a vraiment été choisi par le destin ou les forces des cieux afin de sauver la planète et décider la bataille entre le bien et le mal? Quels dangers l’attenderaient? Qui seraient ses compagnons et qui seraient ses amis?

       La tempête frappa encore contre la fenêtre de la chambre où la jeune fille s’éloigna dans un autre pays dans ses rêves, en Europe, où l’histoire prit son début: Il était une fois en Allemagne…

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  • Le cercle des sept malédictions


    Une conte de fée écrit par Sebastian Kluth


    Première partie – La prophétie


    Il était une fois un jeune prince allemand, descendant d’une ancienne dynastie oubliée et arriérée du Moyen Âge, qui était né pendant un été chaud de l’année mil neuf cents quatre-vingts neuf. C’était un enfant qui était né un mois avant que l’on s’en était attendu et il était un enfant précieux et sensible. Son imprudence changeait pendant sa jeunesse en serviabilité et intelligence. Il s’entendait très bien avec ses parents et aimait les plaisirs de la vie.

    Quand il avait obtint un certain âge, il se rendit compte qu’il avait un ort spécial, un destin précieux duquel il n’avait jamais rien entendu. Les forces des cieux décidèrent que le moment de la vérité était devenu quand le jeune prince avait dix ans.

    Durant cette journée décisive qui bouleversa toute sa vie, malgré qu’il n’était pas encore capable de saisir toute limportance de son rôle futur, il se proména dans un château gigantesque et oublié par le monde. Il l’avait trouvé avec ses parents par hasard et ils s’étaient mis à découvrir ses ruines par curiosité. Le jeune prince se proména bouche bée et oublia ses alentours, quand ses pas le menèrent dans une vieille salle gigantesque où il remarqua un miroir magique. Le jeune prince tourna sa tête afin de transmettre sa découverte à ses parents, mais il fut surpris quand il se rendit compte que sa mère et son mère avaient étrangement disparu.

    Il se tourna vers le grand mirroir de bois et de cristal d’une manière insécure et y reconnut une brume étrange. Au delà de la brume qui tourna comme un cercle infini, il aperçut tout à coup le visage d’une femme, entourée de fantômes mystérieux, qui sourit mystérieusement et lui regarda dans ses yeux bleues comme l’infinité du ciel et de l’univers. Elle lui adressa la parole d’une voix douce et gentille. Le jeune adolescent perdit sa méfiance et écouta attentivement ce que la femme aux yeux verts d’un âge indéfinissable et d’une peau fine et blanche lui avait à raconter. Elle se mit à parler d’une grande prophétie et du destin de ce jeune garçon comme les autres qui avait juste une dizaine d’années.

    « C’est ton destin et le destin de tout les enfants de la terre de sauver notre planète terre qui souffre des guerres, de l’hostilité, de l’injustice, du pessimisme et de la pauvreté. Je lis ton destin dans ton âme et dans le livre des grands prophètes et je sais que dans le futur, ton chemin va te rendre dans un pays au Nord, un pays où il existe encore la liberté et l’esprit de la rébellion. »

    Le jeune prince entendait les mots, mais ne les comprenait point. Il s’était toujours rendu compte que le monde était cruel, mais il n’avait jamais cru que la situation était rendue si dangereuse

    « Je vois dans ton cœur la force, la conscience et la capacité à mener le monde vers un meilleur destin, vers un futur sans hostilités et sans préjugés. C’est à toi de te faire des amis et de créer une alliance contre l’ennemi le plus terrible de notre monde, le cercle des sept malédictions. C’est toi seul qui est la personne choisi, mais une personne de chaque continet te soutiendra et t’accompagnera sur ton chemin difficile. Les forces des cieux te soutiendront, car la planète Terre pourrait uniquement être sauvé par un enfant innocent de la race des êtres humains. Nous avons déjà vu deux sauveurs braves et motivés, qui ne portaient pas l’esprit de la jeunesse en eux et ils ont échoué, malgré toutes les bonnes affaires qu’ils ont fait dans leurs deux vies émouvantes. »

    Avec cs mots-là, le visage dans le mirroir disparut et le prince n’y vit plus rien que son visage et deux personnes qui entrèrent dans la salle d’une manière inquiète. Il reconnut ses parents qui l’avaient perdu de vue et qui le recherchaient. Le jeune prince essaya de parler à ses parents de ce qu’il venait de se passer, mais ils ne l’écoutaient pas et pensèrent qu’il avait inventé une belle histoire, influencée par les alentours mystérieux du château.

    Depuis ce jour-là, la vie du garçon commençait à changer.  Il se faisait des amis et étudiait des contes historiques, les langues étrangères et faisait des voyages afin de se faire des amis pour avoir des ambassadeurs dans le monde entier. Il essayait de convaincre le monde de sa philosophie et disait ce qu’il pensait et étonnait les adultes. Mais le cercle des sept malédictions et ses compagnons de l’armée noire se rencontraient, car une clairvoyante leur avait prévu quand grand ennemi se prépara pour une bataille finale entre le bien et le mal. Cette femme transmit des images du jeune adolescent qui se trouva actuellement en vacances afin de se rendre en Turquie et qui ne pensait plus du tout à son destin. Il se souvenait encore de temps en temps de la clairvoyante mystérieuse, mais il était de plus en plus certain que son imagination lui avait joué un tour comme ses parents lui avaient toujours dit.

    Le cercle des sept malédictions ne sousestima pas la prophétie et chaque membre réunit ses forces afin de se concentrer sur l’ennemi et afin de le tuer avant qu’il ne présente un danger pour eux. Les six démons se prirent par les mains, se mirent à parler et prier au dernier membre du cercle, leur grand chef Luciferius, le mal incarné en personne qui surveilla l’univers à partir d’une résidence inconnue Il posséda un corps horrible, un visage déformé avec deux cornes, un nez couvert de cicatrices, des bras comme les griffes d’un tigre, le corps mince comme un insecte et les pieds comme une bête sauvage.

    Chaque memebre avait réussi à prendre en possession le corps d’un être humain et ils vivaient dans des places différentes. Personne ne savait qu’ils étaient des démons méchants, car le monde ne voyait pas les profondeurs de ces personnes, mais juste leurs apparences. À part des noms de leurs victimes, ils s’étaient donnés leurs propres noms.

    L’un s’appelait « Animus nigerus » ce qu’il voulait signifier « âme noir », l’autre  se nommait « Exsecratio mortis » ce qu’il signifia la malédiction de la mort, le nom d’un autre était  « Fulmen malus », ce qu’on peut traduire par «l’éclair funeste », le quatrième était le terrible « Lanius diabolicus », ce qu’il signifie le « bourreau diabolique », un autre fut connu sous le nom « Custos ocassus » ce qui se traduit par le « gardien de la décadence », le sixième s’appelait « Magister pestilentiis », ce qu’i se traduit avec l’expression « maître desépidémies ». Le dernier membre Luciferius était par contre un inconnu d’une cruauté effrayante et d’une puissance universelle. Il commençait de plus en plus de créer un culte autour de lui afin de devenir de plus en plus connu. Et c’était lui qui joint les autres membres, manifesta leurs forces et se prépara avec toutes ses forces diaboliques d’attaquer le jeune prince allemand durant cette réunion funeste...

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    Une conte de fée écrit par Sebastian Kluth

     

    Deuxième partie – L’attaque des esprits de la maladie


    C’était pendant ce temps-là que le jeune prince allemand décida de faire en voyage en Turquie; la première fois qu’il quittait le continent nommé l’Europe. Mais un magicien, vivant dans un temple noir où il donnait des sacrifices au diable, avait reçu les informations du cruel Luciferius et se préparait à envoyer un démon pour tuer le jeune prince. Le prince, qui n’avait aucun moyen pour se défendre, fut une nuit attaqué par le démon qui entrait dans son corps. Mais le démon terrible était attaqué par une force qu’il connaissait point: l’esprit du bonheur et de l’amour qui dormait dans l’âme du jeune prince qui exorcisait donc l’esprit hostile.

    Le lendemain, il était faible à cause de la bataille et tombait malade. La brume et les odeurs de la maladie se situaient dans ses poumons et il restait trois jours dans un hôpital étrange, où les gens parlaient une longue inconnue et essayaient d’exorciser la maladie, mais même les docteurs et magiciens les plus puissants n’étaient pas capable de guérir le jeune. Le prince se souvint juste partiellement de la bataille qui avait eu lieu durant son sommeil, mais il sut automatiquement qu’il s’agissait d’un esprit démoniaque, malgré que ses parents et les médecins parlèrent d’une pneumonie. Les médecins ne réussirent pas à guérir le jeune et celui retourna chez lui à la maison, où il rétablit se forces peu à peu. Les médecins décrirent la guérison comme un miracle.

    Pendant sept semaines, sept jours et sept heures il luttait contre la maladie quand il avait finalement un rêve fébrile, dans lequel il rencontra l’oracle qu’il avait déjà vu dans le château en Bavière quand il avait dix ans. La voix lui ordonnait de se rendre dans la cathédrale de Cologne et c’était l’esprit de la clairvoyante mystérieuse qui guérit l’enfant malade et prit possession de son subconscient. L’enfant voulait se combattre contre cette influence, mais il réalisa qu’elle lui dirigea à une place importante et que la clairvoyante ne lui fit que du bien.

    Durant une nuit éclairée de nombreuses étoiles filantes, l’adolescent quitta tranquillement sa maison sans réveiller ses parents et son animal domestique, un petit lapin blanc. La clairvoyante lui dirigea vers la gare qui ména vers Cologne, une grande ville qui se trouva à environ trente minutes de chez lui. Il y rencontra un clochard pauvre et lui demanda pour l’heure de l’arrivée du prochain train.

    « Mon petit », soupira le vieil homme, « la gare est fermée et il n’arrive aucun train cette nuit. Retourne chez toi, je sens que cette nuit, il y a quelque chose de spécial dans l’air. J’ai vu des hommes habillés aux manteaux noirs qui sont arrivés à côté de la cathédrale de Cologne et se sont préparés pour célebrer une messe noire. Je voyais plusieurs policiers qui voulaient intervenir, mais ces satanistes les ont battus et semblaient être résistants contre leurs armes á feu. Je sais ce que tu penses, que je suis un pauvre clochard saoul qui ne sait pas ce qu’il dit, mais tu te trompes.Ne vas pas à Cologne cette nuit, si la vie t’es précieuse. »

    Le jeune prince n’était pas sûr si le clochard disait la vérité ou s’il était ivre, mais il avait remarqué que la voie de cet homme lui avait parlé d’une manière effrayée et honnête. Il se demanda comment il pourrait atteindre la cathédrale. Il était terrifié et se sentait seul durant ces moments-là. L’apparence de la clairvoyante avait étrangement disparu. Le prince sentit le poids du monde entier sur ses épaules et savait qu’il n’avait pas le choix de retourner chez lui. Le moment de la vérité était venu et il était obligé de se préparer pour la grande mission dont il ne savait rien du tout encore. Il essaya pour un certain temps de réunir ses forces et envoya une prière au ciel. Il pensa au train qui devrait arriver et lui porter à son destin, mais il pensa aussi aux mots du clochard qui avait remarqué qu’il n’y avait plus de train pour aller à Cologne. Le prince se mit á genoux, ferma ses yeux, pensa á sa mission et essaya de rappeller l’esprit mystérieux de la clairvoyante. Il resta dans cette position pendant plusieurs minutes, quand il entendit un bruit presque inattendu.

    « Le train arrive. », murmura-t-il.

    Le clochard laissa tomber sa bouteille de vodka et regarda l’adolescent d’une manière totalement

    surprise et bouche bée: 

    « Tes méditations, le train, les étoiles filantes, les hommes aux manteaux noirs: Ce sont des signes, je le sens!  Les fantômes en noirs sont arrivés pour te chercher. »

    Le jeune prince regardait le clochard qui s’éloigna nerveusement de lui, quand tout à coup, la porte de la salle de la gare fit un bruit et deux ombres noirs et gigantesques entrèrent. Leurs yeux verts montraient une agressivité et résolution qui effrayait le prince qui commença à sentir son cœur battre contre ses cotes, la sueur couler dans ses yeux fatigués. Les deux monstres se préparaient pour l’attaque quand le train s’arrêta. Le prince comprit qu’il n’avait pas les moyens de lutter contre ses deux ennemis à ce moment précis, se tourna, courut vers le train et embarqua avec un saut gigantesque sur le véhicule, qui brilla tout à coup dans toutes les couleurs. Ces lumières attaquèrent les deux monstres comme des étoiles filantes et le jeune prince fut aveuglé et ne sut plus ce qu’il se passa autour de lui. Il réalisa seulement que la clairvoyante lui avait aidé a combattre ses deux ennemis inconnus et que cette rencontre soudaine avait été sa première épreuve et qu’il ne l’avait pas réussi tout seul.

    Les deux ombres noirs, qui portèrent une fourrure sale, s’étaient rapprochés du train et les corps des monstres commençaient à trembler et avec des cris qui exprimaient toutes les douleurs et peurs du monde, les corps se transformaient lentement en poussière quand ils furent touchés par les lumières étranges.

    Le train cependant commença par contre à rouler et quitta l’endroit sombre en laissant un clochard  rendu fou tout seul à la gare. Quand celui vit disparaître le vieux train en rouge dans un virage, il sécoua la tête et ne comprit plus le monde. Sa main chercha sa bouteille de vodka et il vit qu’elle était tombée dans la poussière des deux monstres.

    « Deux loups garous. », murmura-t-il et se mit à rire d’une manière folle.

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    Le cercle des sept malédictions


     

    Une conte de fée écrit par Sebastian Kluth

     


     

    Troisième partie – La cathédrale

     

     

     

    Trente minutes plus tard, le jeune prince arriva à la gare immense de Cologne en traversant sur un pont gigantesque le fleuve nommé le Rhin qui se promenait à travers tout le pays jusqu’à la mer du Nord aux Pays-Bas. Le train s’arrêta et le jeune allemand débarqua du véhicule et se promenait dans la gare où se trouvaient plein de magasins, bijouteries et librairies, mais pendant la nuit les portes étaient barrées et les vitrines étaient souvent vide. Il était presque seul et ne rencontra que quelques jeunes à moitié endormis ou à moitié ivres.

     

    Il quitta la gare et regarda le ciel, où un bâtiment magnifique, qui fut construit il y a plus de sept cent ans, semblait toucher les nuages gris qui cachèrent une pleine lune. Le prince hésita un moment et monta après les grandes escalades et arriva à la porte de l’entrée qui s’ouvrit devant lui avec un grondement tirée par une force magique et invisible. Le jeune prince courageux entra et fut tout de suite fasciné par la grandeur de la cathédrale quand la porte se ferma avec un bruit sec et déterminé.

     

    La grande salle était vide, mais quelques chandelles allumèrent le noir et donnèrent un peu d’espoir au prince. Il regarda les statues magnifiques, les petits bancs de bois où les religieux faisaient leurs prières, mais à cette heure, la salle était vide et silencieuse. Était cela le silence avant une tempête d’événements dangereux? Les yeux du prince touchèrent les grands carreaux, ornés d’images vifs qui représentaient des anges ou la naissance de Jésus.

     

    Pourquoi était-il venu ici? Est-ce que les forces noires l’attendirent dans une maison de Dieu, où est-ce qu’il avait été envoyé par la clairvoyante afin de faire une découverte? Le jeune allemand se sentait incertain et inquiet et avait envie de retourner chez lui et de quitter cette place étrange.

     

    Tout à coup, il entendit un bruit mélodique et hectique. Le grand orgue commença à jouer une mélodie chaleureuse, mais il ne vit aucune personne qui joua l’instrument gigantesque qui se trouva une étage plus haut dans son dos. Le prince se tourna et remarqua un confessionnal à l’autre coté, près de l’autel et il s’y rapprocha en suivant un instinct soudain qu’il ne se pouvait pas expliquer. Il ouvrit la porte et poussa le rideau rouge à droite pour s’asseoir sur une chaise branlante. Il regarda la petite fenêtre grillagé qui était fermé par une barre de bois. Qui se trouva à l’autre côté? Est-ce que c’était la clairvoyante ou juste un piège méchant? Le prince était épuisé et curieux en même temps.

     

    C’était à ce moment là que quelqu’un enleva la barre et une lumière forte éblouit les yeux du prince qui leva sa main pour couvrir son visage. La lumière disparut, le prince rouvrit ses yeux et fixa le visage doux de la clairvoyante qu’il avait vu dans ses rêves et dans le château en Bavière, dans les forêts des Alpes, au-delà des chemins ordinaires et enneigés. La belle femme d’un âge incertain fixa l’enfant et parla lentement, mais avec un sourire chaleureux et confiant.

     

    « Les esprits mauvaises se sont unis, parce qu’ils ont remarqué que l’enfant choisi était en train de devenir de plus en plus fort. Ils ont presque réussi à te tuer, mais les émotions dans ton cœur, la chaleur, l’amour et l’espoir ont sauvé ta peau. Mais je vois que tu n’es pas encore prêt à partir dans le pays du froid où se cache le plus grand ennemi de notre terre : Luciferius! »

     

    Le prince se sentit désespéré et seul. Pourquoi avait-on choisi un jeune enfant innocent pour lutter pour le monde entier contre le malheur et le terreur? Il demanda cela à la clairvoyante, mais elle ne lui répondit pas et sourit d’une manière sage et certaine.

     

    « Tu vas avoir la réponse à toutes tes questions quand tu auras l’âge.  N’oublie jamais que je suis ton ange gardien qui va te sauver et faire attention, mais un jour tu devrais lutter sans moi. L’ennemi n’abandonne jamais et ils vont t’attaquer encore quelques fois, sois toujours attentif. Les choses ne sont jamais ce qu’elles semblent d’être. »

     

    Après cette phrase, la clairvoyante lui demanda de quitter le confessionnal et elle lui mena jusqu’à l’autel. L’ange gardien de l’enfant choisi toucha l’objet saint et activa un mécanisme qui déplaça l’autel vers la droite avec un grondement lourd et craquant. En-dessous se trouva un trou dans

     

    lequel se trouva une calice orné de plusieurs diamants et remplie avec un liquide mauve. La clairvoyante prit la calice précieuse et la donna au prince qui sentait que cet objet devrait contenir quelque chose de très important pour lui.

     

    Il regarda le visage doux de la clairvoyante qui était entièrement habillée en blanc et qui se pencha maintenant vers lui et le jeune prince allemand sentit qu’il pourrait faire confiance à cette clairvoyante et sa nervosité disparut également quand il prit la belle calice entre ses mains.

     

     

     


     

    Quatrième partie – Le Graal

     

     

     

    « Le liquide va te soigner et l’esprit mauvais et donc la maladie vont quitter ton corps. Cette calice est le Graal que Jésus avait utilisé pendant sa dernière Cène et cet objet est très précieux et juste visible pour les magiciens blancs et des personnes qui vont jouer un rôle important en ce qui concerne le destin du monde. La dernière personne qui était capable de voir le Graal s’appelait Nostradamus. »

     

    Le jeune prince regarda la voyante, bouche bée. Il ne pouvait pas croire ce qu’elle était en train de lui dire.  Le prince avait eu sa confirmation à l’église protestante, il y a quelques mois, mais il n’avait jamais cru que la bible disait toujours vérité et il n’avait jamais vraiment cru qu’un Dieu existait vraiment, car il existait trop de mal sur la terre. Maintenant, ses pensées et le monde entier commencèrent à changer pour lui et il regarda les choses d’une autre façon qu’avant. Et il connaissait aussi Nostradamus, un clairvoyant fameux qui avait prévu plein de choses, même si tout le monde croyait toujours qu’il était fou ou même possédé. Quand le prince réalisa qu’il était, en voyant le Graal dans ses mains, au même niveau que ce personnage légendaire, il commença à avoir très peur. Il n’y a avait personne qui serait capable de lui faire confiance et de lui croire s’il parlait de ces évènements-là. Tout le monde croirait qu’il serait fou, même ses parents.

     

    « Je sais ce que tu penses, mon cher. Ne parle à personne de ce que tu as vécu ce soir. Un jour, tu vas rencontrer une fille magnifique, la princesse des glaces qui va te faire confiance et qui va te guider vers la derniére bataille, mais le moment est encore assez loin. Quand tu bois ce liquide, tu vas aussi obtenir certaines capacités magiques, mais c’est à toi-même de les découvrir. »

     

    Le prince ne posa plus de questions et commença à se piquer fortement dans son bras pour vérifier si cela n’était pas juste un rêve niaiseux. Mais il réalisa qu’il vivait dans la réalité et décida donc de boire la potion magique qui se trouva dans le Graal. Le liquide faisait un peu mal dans sa gorge comme de l’alcool, mais produisit une chaleur agréable dans son ventre. Il déposa le Graal quand il avait tout bu et entendit soudainement un bruit inattendu. Un grondement, une détonation, quelque chose qui tambourina contre la porte d’entrée de la cathédrale.

     

    « Ce sont les ennemis, les acolytes du cercle des sept malédictions. Je vais lutter contre eux, mais toi, tu dois t’enfuir par les catacombes de la cathédrale. »

     

    Le prince voulut protester, mais savait qu’il était encore trop faible pour lutter contre ces créatures en se souvenant des loups-garous et de l’esprit qui avait maintenant quitté son corps. Ses poumons ne faisaient plus mal et il respira l’air comme de l’eau, un sentiment fortement agréable et il ne voulut pas encore une fois risquer sa santé et sa vie tout de suite. Mais où se trouva par contre l’entrée aux catacombes?

     

    Pendant que la porte d’entrée s’ouvrit avec un bruit infernal, la clairvoyante lut encore ses pensées etlui adressa la parole pour une dernière fois.

     

    « La seule façon de laquelle tu pourrais trouver l’entrée est ton esprit et ton cœur. Concentre-toi et tu vas trouver l’entrée invisible. »

     

    Le prince était nerveux et ne savait pas quoi faire, mais il essaya de se concentrer. Il fixa les murs autour de lui. Les murs tenaient des lustres antiques et il visa le croix et la bible qui se trouvèrent proche de chez lui. Après il regarda le trou dans lequel on avait caché le Graal. Il vit un signe rond avec des flèches bizarres – une boussole. Mais dans quelle direction devrait-il se rendre?

     

    Il se souvint des choses dont lui et la voyante avaient parlé tantôt et il comprit : Son destin était au nord, donc il se rendit dans la direction qui indiqua la flèche et se trouva devant un lustre qui ressemblait au Graal. Il tira le lustre et le mur à coté de lui commença à bouger et un couloir secret s’ouvrit magiquement en avant de lui. Le prince s’approche de ce couloir noir et plein de poussière et y vit un vieux escalier parsemé avec des fils d’araignée.

     

     

     

    L’adolescent se tourna encore une dernière fois vers la clairvoyante, qui s’était mis au centre de la cathédrale. Elle avait l’air tranquille et méditative et cette absence de nervosité rendit l’enfant

     

    choisi un peu plus confiant qu’elle serait capable de combattre les ennemis qui frappèrent encore contre le grand portale de la cathédrale qu’elle avait sûrement magiquement barré. Par contre, la vieille porte ne serait peut-être pas non plus capable de résister trop longtemps contre les forces militantes du cercle des sept malédictions.

     

    Le jeune prince se tourna et fixa l’escalier. Il se demanda vers où ce chemin pourrait méner. Il sécoua la tête, car il avait encore trop de la misère pour réaliser tout ce qu’il venait de se passer durant cette nuit incroyable. Il envoya une prière aux cieux, car il savait qu’il n’était peut-être pas encore en sécurité et son cœur battit contre ses côtes. L’adolescent s’enleva la sueur de son front, respira profondement et descenda prudemment l’escalier sombre.

     

     

     


     

    Cinquième partie – Le secret des catacombes

     

     

     

    Il descendit l’escalier et jeta encore un dernier coup d’œil sur la scène derrière lui. La clairvoyante avait maintenant prit une épée dans sa main gauche, malgré qu’elle resta encore immobile et ne ressembla pas du tout à une guerrière violente qui pourrait se combattre contre des grands monstres. Dans son autre main elle tint le Graal. Elle se tourna vers le jeune prince et jeta le Graal envers lui. Les yeux verts et ses cheveux blondes flottèrent dans l’air quand elle dit :

     

    «  Cache bien ce Graal dans les catacombes. Quitte maintenant cet endroit, l’entrée secrète va se fermer bientôt. » 

     

    Le prince fit comme elle l’avait dit et ne regarda pas en arrière quand il attrapa le Graal et descendit l’escalier. L’entrée se ferma par un mécanisme magique, mais le prince se trouva déjà dans un long couloir sombre qui ne descendit plus, mais resta sur un niveau plutôt plât et étroit. Il atteignit une bifurcation du chemin et prit le couloir gauche par un instinct soudain et inexplicable. Le prince se sentit comme s’il se trouva dans une trance mystérieuse et imagina que c’était peut-être encore l’influence de la clairvoyante.

     

    Il arriva bientôt dans une salle gigantesques et remarqua tout de suite que cette salle avait quelque chose de spécial. Elle était aménagée en constellation d’une étoile, plusieurs couloirs menèrent de chaque coté dans cette salle. Au milieu, se trouva une tombe sur un podium et en arrière une colonne qui montrait des images d’une femme gracieuse et noble.

     

    Le jeune prince s’approcha du tombeau et remarqua une inscription tailla au ciseau. Il eut des difficultés à lire les lettres et signes, mais réussit finalement:

     

    « Johanna Anglica * Ingelheim 822 Anno Domini + Roma 857 Anno Domini »

     

    Le jeune prince eut soudainement la chair de poule. Il avait déjà entendu ce nom dans un de ses cours d’histoire. Cela était le tombeau de la papesse Jeanne, une légende, une invention, la première et seule dirigeante de l’église catholique. Les scientifiques et l’église avaient toujours nié son existence, était ce tombeau donc une preuve qu’on s’était trompé? Et pourquoi le squelette de la femme légendaire se trouva-t-il dans les catacombes à Cologne? La cathédrale fut construit au treizième siècle et donc presque quatre cent ans après sa mort. Le prince ne comprit plus rien, mais il voulut ouvrir le tombeau pour dévoiler le secret. Il avait perdu son gêne et sa peur et même la présence de ses ennemis dans la salle d’entrée et était captivé dans une toute nouvelle aventure et découverte.

     

    Il se pencha un peu et vit une autre inscription en bas du tombeau, cachée par la boue des siècles. Le jeune prince reconnut la langue étrange, c’était un ancien dialecte du latin que presque personne ne connaissait plus. Il prononça les lettres, puis les mots, puis les sentences et se demanda pourquoi il était capable de lire ces mots-là. Est-ce que cela était déjà une des consciences magiques lesquelles il avait gagné en buvant le liquide du Graal?

     

    Il n’avait plus le temps de se questionner, car la dalle sur le tombeau bougea et tomba sur terre dès qu’il avait prononcé la derniére syllabe de cette inscription. Dans le tombeau ses trouvèrent les os d’une personne qui était morte depuis très longtemps. Le jeune prince n’était pas un archéologue, donc il n’était pas capable de dire, si les os appartinrent à une femme ou un homme. Il décida de mettre le Graal, qu’il tint encore dans ses mains, dans le tombeau et envoya une prière au ciel en espérant qu’il avait trouvé un bon endroit pour cacher la calice magique. Il prit encore une fois tout ses efforts et referma le tombeau avec l’ancienne dalle quand il vit soudainement une lumière dans un des couloirs.

     

    Le jeune Allemand se dirigea donc vers cette direction et se trouva bientôt à coté d’un petit lac souterrain qu’il traversa par un pont noble, orné avec des sculptures de bois qui montrèrent encore des motifs religieux. Après, le prince suivit la lumière qui se trouva maintenant dans un autre couloir et arriva en avant d’une porte vieille, mais très solide. Il réfléchit longtemps pour trouver l’unique solution de l’ouvrir. Il se concentra fort et donna l’ordre à la porte de s’ouvrir en espérant que ses nouvelles capacités magiquent pourraient lui aider encore une derniére fois. Finalement, presque totalement épuisé, il réussit d’ouvrir cette porte magiquement après une bonne demi-heure de temps. Derrière la porte, l’ambiance changea, il suivit des couloirs qui ressemblèrent à un labyrinthe et sut qu’il se trouva au dessous de la gare qui se trouva juste à côté de ce bâtiment légendaire. Le jeune prince allemand poursuivit sion chemin et ne pensa à plus rien. Il était épuisé, mêlé et très fatigué, mais son instinct le ména encore tout droit pendant une dizaine de minutes. Le couloir monta un peu et le jeune Allemand découvrit bientôt un mur brisé et délabré, en arrière duquel se trouva un petit fleuve puant qui signifia qu’il se retriuva dans une branche du grand systéme de canalisation dans la grande ville de Cologne.

     

    Le jeune prince poursuivit son chemin et essaya d’ignorer les odeurs désagréables et était très content de trouver une petite échelle métallique après quelques instants seulement et y grimpa. Quelque part dans la gare, il enleva une bouche d’égout et sortit des enfers secrètes de Cologne. Heureusement, personne ne se trouva dans le petit couloir où il se trouva et le jeune Allemand se dépêcha de quitter les lieux et chercha un des derniers trains nocturnes qui pourraient l’apporter proche de sa maison.

     

    En attendant le train tout seul, il pensa encore à la clairvoyante. La cathédrale de Cologne était très proche de la agre, mais il n’eut plus le courage et la force d’y retourner pour voir, si la bataille avait été gagnée par son ange gardien. Il oublia ses alentours et risqua presque de s’endormir.

     

    C’était pour cette raison-là qu’il ne remarqua plus les deux personnes qui montèrent deux escaliers différents sans s’en rendre compte de l’autre pour atteidre son niveau et attendre le train avec lui en cachette. L’enfant choisi était observé par deux personnes très différentes: La clairvoyante mystérieuse qui avait gagnée la bataille et le surveilla pour une bonne raison et une assistante de Luciferius qui s’appelait Lupina, la reine des loup-garous, qui avait perdu la plupart de ses assistants dans la bataille qui s’était passée dans la cathédrale quand la clairvoyante s’était défendue avec son épée et le Graal..

     

    La reine des loups garous n’avait pas directement assistée à la bagare, car elle avait été certaine de gagner la bataille contre une seule clairvoyante qu’elle avait beaucoup trop sousestimée. Le train du jeune Allemand arriva et Lupina ne risquait pas d’attaquer l’enfant choisi, car elle savait que la clairvoyante était encore présente dans la gare. Quand le train partit, la reie des loups garous sourit d’une manière diabolique et gronda aggressivement. Elle était décidée de se venger le plus tôt que possible et de retrouver ce jeune adversaire n’importe où et de n’importe quelle façon cruelle ou sournoise.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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