•    La princesse de Shipshaw

    Une conte de fée écrit par Sebastian Kluth



    Quarante-huitième chapitre – Le massacre dans les catacombes



    Le jeune prince allemand parcourut le couloir mouillé et noir de ces catacombes affreux et tourna, en plein milieu de vingt loups garous, à gauche dans un virage. Il se retrouva sur une place immense, une caverne d’une longueur approximative d’au moins trente mètres et une largeur de vingt mètres. Dans des grandes niches couchées aux murs gris, il remarqua plusieurs petits appartements et maisons arriérées, sculptés dans les roches. Il ne vit que quelques fenêtres et des ponts suspendus de bois qui menèrent souvent un chemin d’un balcon à l’autre. Il vit plusieurs escaliers sculptés dans les pierres immenses et une grande porte de bois qui signifia l’entrée principale dans le plus grand de ces bâtiments bizarres de cette ville souterraine. Il vit des symboles et ésquisses  qui représentèrent le démon Azazel, ainsi que le diable et Luciferius, le plus grand et monstrueux d’entre eux. Le prince glissa sa vue  vers sa droite, où il vit un balcon et un appartement qui ressembla à une cave, qui était mise en feu. Plusieurs serveurs et vampires y couraient avec des grands seaux d’eau afin d’éteindre les flammes. Il remarqua une scène terrible au déla de la brume et fumée. Une personne, à moitié loup garous et à moitié humain, fut arrêté par plusieurs vampires sur un balcon en dessous de l’appartement. Il était maintenant attaqué par un vampire, dressé complètement en noir, qui léva une grande épée et exécutiona sa proie immédiatement en lui coupant la tête du corps d’un seul coup violent. Le prince réalisa qu’il devrait s’agir de leur complice secret qui avait mis du feu dans ce bâtiment. Il avait essayé d’agir sécrètement, mais il n’avait pas tout à fait réussi et paya avec sa vie pour cette trahison. Tout le monde dans cette grande caverne était choqué, pressé ou irrité. Quelques vampires assistèrent à porter les restes du cadavre tué dans une autre partie du bâtiment, d’autres s’occupèrent du feu en se criant des ordres, d’autres remarquèrent les loups garous et les personnes choisies et voulurent les attaquer, d’autres s’enfuirent pour prévenir leur maître. Pour le moment, le jeune prince ne vit que des adversaires qui étaient des vampires, jusqu’à ce qu’il vit un court couloir au fond droit de la salle énorme qui ména dans une autre section d’où venaient des premiers loups garous afin de les attaquer. Le prince léva son épée magique et eut peur quand il vit que l’adversaire était beaucoup plus nombreux. Il estima une cinquantaine de vampires dans la salle dont deux tiers se préparèrent de les confronter et il compta en plus sept loups garous venant de l’autre partie de cette ville souterraine. Il léva son regard afin de fixer les balcons les plus hauts dans la caverne, jusqu’aux galeries classiques. Il y vit paraître quelques moines qui prirent des arbalètes et se préparèrent pour un probable massacre. Il s’agissait encore une fois d’une dizaine d’adversaires qui se situèrent beaucoup trop hauts et loins pour les confronter directement.

    La scène sembalit être arrêtée ou paralysée pour un court moment décisif. Patricia, qui n’était plus totalement nue, mais portait maintenant un grand manteau de cuir noir et long qu’un servant lui avait probablement apporté, et Andrej avaient levé leurs armes et fixèrent quatre vampires qui les encerclèrent sans essayer de les exécuter immédiatement. Cinq loups garous de leur groupe se tournèrent, menés par leur instinct, envers les loups garous adversaires qui avaient une fourrure plus rougeâtre que celle des loups garous de la descendante de Tristania. Les moines, équipés avce leurs arbalètes regardèrent vers le moine le plus grand qui se trouva au milieu d’un grand balcon et qui avait levé sa main, prête à donner l’ordre d’attaquer. Le prince même, vit les ombres de deux loups garous qui s’étaient cachés en arrière d’eux, jsute à côté de la grande ouverture dans les roches qui marquèrent l’entrée qu’ils avaient pris. Ces loups garous étaient assis sur deux colonnes de bois qui montrèrent des images du démon Asasel, prêts à sauter sur le groupe des loups garous et le jeune prince. Le danger était omniprésent.C’était dans ce moment-là que la bataille commenca. Le prince réspira nerveusement, sentit du mal dans son ventre et de la sueur qui coula sur son front. Il prit son épée magique et se tourna en arrière en même temps que les deux loups garous sautèrent envers lui. Le premier s’approcha, bouche bée, de son visage et le prince remarqua l’énorme agressivité dans ses yeux verts-gris. La salive coulait de ses dents monstrueux, sa queue était élevée, un signe pour sa tension. Le prince fit un coup avec son épée et toucha l’œil droit du loup garous et s’opposa fortement avec son corps au complet contre l’obstacle en forme de la bête volante. Le loup garous cria quand la pointe de l’épée pénétra son cerveau et lui tua immédiatement. Le sang arrosa le visage et les vêtements du jeun prince qui fut poussé par terre à cause du poids lourd de son adversaire attaché à moitié à l’épée. Le prince se le´va immédiatement et tira l’épée afin de l’enlever du cdavare et réussit après avoir opposé son pied contre le visage laid du monstre. Il avait complétement oublié le deuxième loup garous qui fut attaqué par un loup garous de Patricia, mais le monstre essaya de s’approcher du prince et fit un saut gigantesque, la bouche tant ouverte qu’elle aurait été capable de dévorer la tête de l’enfant choisi au complet. Le prince se sentit paralysé et ferma ses yeux en attendant le choc de la collision quand il entendit un son dêgueulasse et un cri bestial. Le prince rouvrit ses yeux et vit le loup garous par terre à deux pas e lui-même. Le bas de son ventre était blessé et touché par un poignard avec une lame d’une longueur d’environ une vingtaine de centimètres. La poignée était assez belle, avec une manche noire, ornée de plusieurs petirtes têtes de loups. La lâme avait un teint doré et avait plusieurs dents tranchants. Le prince tourna sa tête et vit le sourire mystérieux de la blle Patricia qui s’était tournée envers lui et porta dans sa main droite un autre poignard. Le prince remarqua d’autres poignées des poignards cachées dans son manteau noir en cuir. Tout à coup, elle jeta d’un seul mouvement un poignard directement envers le jeune prince qui fut choqué et surpris et n’avait que quelques secondes à réagir. Il fit un saut de carpe vers sa gauche et entra en collision avec un loup garous qui lui fixa d’une aire fachée. Le prince eut peur d’une attaque de cet animal, mais il se rendit compte qu’il s’agit d’une des bêtes de Tristania. Le loup garous tourna son regard vers sa droite et courut après un vampire qui avait prit une épée et abattu un loup garous d’une manière cruelle en lui tranchant la tête en deux morceuax. On voyait du sang et des une grande pièce de son cerveaux gris qui fut visible lors de la coupure immense. Le prince tourna son regard vers un vampire à côté de lui qui avait été tué par le poignard de Patricia et qui s’était trouvé directment en arrière du jeune prince. Le poignard lui avait touché dans le cou et était couvert de sang, dont les derniers rests giclèrent ncore dans l’ait comme un arc-en-ciel avertissant et morbide. Le prince devait sa vie à la reine des loups garous. Celle-ci fut tout à coup attenite par un de elurs servants, un loup garous grand avec du poil nir foncé. Celui porta une grande clé ornée dans sa bouche et la remit à sa maîtresse qui lui remercia en caressant sa bouche et la fourrure dans son cou pour quelques instants. Le prince s’imagina qu’il s’agissait des clés qui ont été cachées dans une câlisse dans la petite cathédrale du monastère. Le loup garous avait donc eu la mission de chercher tout seul les clés en même temps que le reste du groupe s’était approché de cette caverne énorme afin de méner la grande bataille décisive.  Le prince se léva et tint son épée magique dans sa main et vit que son compagnon russe, seulement équipé avec un arbalète, avait de la misère à se défendre contre deux ou trois vampires qui avaient abattu brutalement trois loups garous qui l’avaient encerclé afin de le protéger. Maintenant le russe donna un coup de pied au premier vampire qui fut jeté en arrière et entra en collision avec un de ses compagnons et lui bloqua. Andrej réagit énormément vite, mis une flèche sur son arbalète et tira. Il fit ce mouvement en trois secondes et tira précisement dans lecoeur du vampire qui cria terriblement et se transforma en poussière grise autour de son cœur et tomba par terre. Le deuxième et troisième vampire encerclèrent Andrej maintenant et celui ne savait pas auquel il devrait s’adresser en premier, car il craignit l’attaque de l’autre dans son dos. Le prince accélera ses pas et sauta par dessus quelques cadavres de plusieurs vampires, et sauta dans le dos d’um des vampires qui observaient son ami russe. La lame de son épée perca violemment le dos du vampire et sortit à l’autre côté dans la région de la poitrine droite. Le vampire cria et tomba sur ses genoux et le prince lui donna un coup de pied et retira son arme du corps, mais son adversaire n’était pas encore combattu. Le prince n’avait pas pu percer le cœur du vampire ou lui couper la tête et il s’avait qu’il ne pouvait pas tuer le vampire d’une autre matière, sauf avec des balles de pure argent, sa croix ou de l’eau bénite. Le prince prit déjà sa croix par la chaine autour de son cou, quand il vit que le vampire se transfoma légèrement en poussière et il fut tout à coup aveuglé par une lumière éclairante et blanche et quand il rouvrit les yeux il ne vit que de la poussière en avant de lui, son adversaire n’exista plus. Le prince regarda la lame de son épée et la toucha et remarqua qu’elle était chaude et tressaillit comme s’il se trouverait un cœur battant dedans. L’enfant choisi réalisa dans ces moments que son épée avait des forces miraculeuses et était capable de tuer des démons sans nécessairement être obligé de les blesser au cœur ou à la tête. Le prince était si fasciné en regardant son épée couvert de sang, qu’il remarqua le danger qui s’approcha de lui seulement au dernier moment. Un vampire, qui s’était trouvé sur un pont de bois qui rélia deux balcons, avait pris la décision de sauter dans son dos. Un vampire ne posséda pas d’ombre et c’était pour cette raison que le prince n’avait rien remarqué par sa vue, mais il sentit soudainement une forte vibration dans son épée qui semblait lui vouloir avertir. Le princecomprit dans ces moments à quel point son épée posséda des forces magiques et se sentit un peu plus optimiste dans la bataille contre un adversaire beaucoup plus nombreux.Il se tourna et poussa son épée en haut et le vampire, qui avait une aire agressive et menacante, changea ses traits de visage quand il se rendit compte du danger, mais il ne put plus éviter la lame de l’épée et fut embroché d’un dans le bas de son ventre et ses yeux, largement ouverts à cause du choc inattendu et la douleur, semblèrent vouloir quitter leurs orbites. Le cri du vampire était plus fort que tous les bruizs de la bataille dans la caverne énorme et beaucoup de personnes qui étaient eux-mêmes en train de se combattre, jettèrent un coup d’œil vite sur la scène qui se présenta.Le prince fut poussé par terre quand il était obligé de s’opposer contre le poids qui était tombé contre son épée, mais il réagit d’une manière hectique, se léva en retirant son épée du cadavre qui se transforma déjà en poussière et regarda en avant afin de surveiller les dangers qui se présentèrent et afin de faire un premier bilan de la bataille.Il vit qu’il existèrent encore environ une douzaine de loups garous de Tristania qui avaient survécu le début de la bataille. La première vague de loups garous qui luttèrent au nom de la future reine des loups garous étaient tous morts, amis le prince remarqua une bonne dizaine de nouveaux loups garous qui s’approchèrent d’un couloir dans l’autre côté de la caverne qui ména vers les sièges de la reine et ses partenaires. Le prince remarqua que les moines s’étaient tous réunis au rang le pülus haut de la salle, sur des balcons ou la galerie la plus élevée. Ils attendirent encopre le signal d’attaque de leur maître et étaient maintenant peut-être une quinzaine d’adversaires. Les vampires par contre furent repoussé vers les maison et cavernes dans les roches d’où ils étaient venu et n’avaient pas de moyen effecttif afin de combattre les loups garous qui attaquaient. Patricia, la descendante de Tristania, venait d’éliminer trois vampires avec ses poignards et prit maintenant pour la première fois sa mitraillette quand elle vit un groupe de trois autres vampires qui voulurent l’attaquer de trois côtés différents. Elle était la personne qui se combattait de la manière la plus effective et couronnée de succès. Andrej par contre avait beaucoup de problème à se défendre uniquement avec son arbalète et avait cherché de la sécurité en arrière d’un grand roche et essaya maintenant de viser les moines sur les galeries. Le russeavait en plus piqué une petite épée qu’un des vampires morts avait laissé tombé. Andrej avait de la misère à se concentrer sur des tirs exacts, car d’autres ennemies s’approchèrent déjà de lui. Le jeune prince décida donc d’aider le russe et attaqua le premier vampire et lui blessa avec un coup violent contre son bras droit. Le vampire cria fortement et se tourna vers le jeune allemand et léva son épée avec son bras blessé qunad cellui-ci se transforma en poussière.L’épée tomba par terre en même temps que son ancien possesseur. Le prince n’avait pas le temps de se sentir fier, car le deuxième vampire, qui avait voulu attaquer son compagnon russe, s’approcha maintenant du prince et lui essaya de donner un coup vioent dans son ventre avec son épée. Le prince sautilla avec une agilité étonnante vers la gauche et évita le coup, mais le démon n’abandonna pas et essaya de pousser la lame de son épée dans la jambe gauche du prince qui léva celle-ci et donna un coup de pied dans le ventre de son adversaire qui fut bouscule en arrière et abattu par la flèche de son ami russe qui l’avait tiré dans sa jambe. Le vampire tomba par terre et essaya quand-même de tuer encore le jeune prince . Le vampire voulut toucher la poitrine du prince, mais celui-ci régait une autre fois assez vite, léva son épée et bloqua le coup. Il décida d’aller en attaque pour finaliser ce que son compagnon russe avait voulu faire et amorca un coup envers le cou du vampire, mais son attaque n’était pas assez forte et le vampire put bloquer l’attaque avec son épée, ainsi que le deuxième coup que le prince avait amorcé en haut du vampire pour lui fendre sa tête en deux parties. Le vampire se léva et poussa son épée contre celle du jeune prince et s’y opposa avec tout son poids. Le prince fut surpris par le rétablissement inattendu du vampire et tomba en arrière et sur son dos. Le vampire sourit en se sentant comme gagnant, alors qu’une deuxiéme flèche pénétra son dos. Cette attaque n’était pas assez bien placée pour lui tuer, mais il fut irrité immédiatement et regarda brièvement en arrière et le prince profita de ces secondes décisives en amorcant un saut de carpe envers le vampire. Il lui donna un coup de poing dans son dos et les deux combattants tombèrent par terre. Le vampire voulut léver son épée et amorca un coup violent dans la direction du prince qui se roula vers sa gauche pour éviter l’attaque et entra en collision avec un deuxième vampire qui s’éatit approché des deux. Le prince réagit d’un réflexe énorme, léva son épée et transperca le ventre du vampire qui s’était penché pour quelques secondes. Son ennemies fit un râle et tomba en arrière en se transformant en poussière. Par contre, le deuxième vapire s’était déjà levé et amorca un saut de carpe en lévant son épée afin de tuer le prince qui trouva encore le temps de léver son épée magique. Le corps du monstre tomba sur le sien, les deux lames entrèrent en collision et firent un bruit métallique et et aigu. Le vampire s’opposa avec toutes ses forces contre l’épée du prince qui sentit que son adversaire était plus forte et musclé que lui-même. Il ne vit qu’une seule, léva son genoux et donna un coup de pied violentdans le ventre du vampire, mais celui-ci bougea à peine et ne se laissa pas irriter. Le prince prit sa main gauche et la poussa contre la lame de son épée afin de renforcer la stabilité de son arme, mais il avaiot encore des grands problèmes et sut qu’il ne put plus résister assez longtemps. La lame lui trencha déjà dans la peau de sa main hgauche et il vit des premiers ruisseaux de sang qui coulèrent sur son bras. L’enfant choisi essaya d’ignorer sa douleur. Il chercha anxieusement l’aide d’un de ses compagnons, mais il réalisa qu’ils étaient tous occupés. Andrej était en train de se défendre contre deux nouveau vampires et réussit à tuer le premier avec un tir précis de son arbalète, mais il fut obligé d’utiliser son épée, quand l’autre ennemi sauta envers lui et les deux lames entrèrent violemment en collision. C’était dans ce moment-là que le maître des moines donna un signe avec sa main et cria quelque chose sur la gallerie et ses compagnons amorcèrent la première vague de tirs d’arbalètes qui tombèrent du ciel comme une pluie sanguinaire et dangereuse. Deux des flèches heurtèrent Patricia, qui était en train de se combattre avec deux loups garous de Lorena Dragusz. Patricia cria d’une manière plutôt fachée que douloureuse et utilisa sa mitraillette et réussit à tuer les deux loups garous. Patricia ressembla à un bel ange de vengeance et son manteau était largement ouvert et on vit tous les détails de cette femme fatale et nue en dessous du manteau.  Elle fut maintenat attaqué par un vampire qui sauta en bas d’une galerie plus élevée, mais Patricia sauta vers la gauche, se laissa tomber par terre, fit une roulade élégante et se léva, la mitraillette prête à cracher de la mort et de la violence.Le prince réalisa qu’il était tout seul à se défendre contre se vampire et essaya avec ses dernières forces de lui donner d’autres coups de pied plus effectifs, mais il ne réussit pas à blesser ou irriter son adversaire qui sourit et montra ainsi ses dents longs qu’il voulut approcher du cou mal protégé du jeune prince, les yeux du monstre montrèrent de l’excitation forte et le désir ardent de sang. Le prince tourna son visage vers la gauche et évita u dernier moment le mouvement brusque du vampire et le coup de dent. Le prince eut peur et vit que sa main gauche saigna de plus en plus et sut qu’il ne lui resta pas beaucoup de temps de résistance. Il cria et espéra que quelqu’un se tournerait vers lui, la personne la plus imortante dans la bataille entre le bien et le mal, mais tout le monde sembla lui avoir oublié. Il resta seul.C’était dans ce moment-là qu’une balle d’argent heurta le visage du vampire, du sang et de la poussière arosèrent le visage du prince qui se tourna vers sa droite et fut finalement capable de se libérer du corps délabré. Il reagrda en arrière afin de chercher la personne qui venait de tirer cette balle. Il remarqua Mamadou, le visage déformé par la douleur, qui se trouva proche de l’entrée de la cave et dirigea le pistolet envers le jeune prince et tira une autre foi. Le prince régait trop tard et fut choqué, son cœur battit fortemment contre ses côtes. La balle lui manqua de quelques centimètres et heurta le visage d’un vampire qui s’était approché de lui dans son dos. Le prince fit un signe affirmatif avec sa tête envers Mamadou et enleva la sueur de son front et les cheveux de son visage. Après Patricia, il devait sa vie à l’Africain courageux aussi.Le jeune prince allemand s’approcha maintenant de son ami russe qui tira une flèche en direction d’un des moines et lui heurta dan sl’épaule. Le moine fut surpris, tomba en avant et perdit son équilibre. Il n’exista aucune balustrade qui pouvait lui retenir et il tomba de la galerie en bas et heurta un balcon en bas, où il heurta un vampire qui s’était préparé à sauter en bas afin d’attaquer deux loup garous. Maintenant, il tomba encore en bas, sauf qu’il s’était cassé le cou et était mort immédiatement. Il n’arriva pas au sol par contre, mais tomba sur un pont suspendu qui oscilla fortement. Les autres moines réagirent directement et tirèrent une autre vague de flèches en bas, mais cette fois, ils n’étaient pas assez précis. Andrej et le jeune prince étaient couchés dans l’ombre de la grande roche. Mamadou tua un loup garous qui voulut attaquer l’homme faible et blessé, mais celui-ci amorca un tir de pistolet précis. Deux autres loups garous venaient de remarquer le nouvel ennemi et s’approchèrent de lui de deux côtés différents. Le premier fut arrêté par un des loups garous de Patricia, amis l’autre amorca un saut de carpe envers l’Africain et les deux ennemis heurtèrent le sol et Mamadou laissa tomber son pistolet et prit la gueule du loup garous entre ses deux mains afin d’éviter une morsure. Il suait et avait visiblement de la misère à se défendre contre cette bête et le jeune prince se sentit obligé d’e venir à l’aide de son compagnon. Il se léva et parcourut le champ de bataille qunad la troisième vague de flèches se dirigèrente n bas. Cela fut un miracle que l’enfant choisi ne fut pas touché, car trois loups garous autour de lui, deux qui se combattirent pour Patricia, un qui se combattit au nom de Lorena Dragusz, furent abattus et tombèrent immédiatement par terre.Deux loups garous était morts, le dernier était gravement blessé et s’approcha d’une niche dans les roches afin de se protéger ou cacher. Le prince atteignit son compagnon africain au dernier moment, léva son épée et ne pensa à plus rien. Il n’avait plus de doutes ou peur de ce qu’il faisait, aucun scrupule de tuer cette bête. Dans les dernières journées, le jeune allemand était devenu plus sérieux et adulte que dans toutes les années de sa vie avant. Il était devenu plus courageux et commencs à accepter les choses comme elles étaient, il accepta le grand sort d’être le dernier sauveur de la planète, d’être poursuivi par des nombreux adversaires est de vivre en danger constant.C’était pour cetts raisons que le prince amorca un coup d’épée violent et s´´epara d’un seul essai la tête de la bête de son corps. Mamadou se libéra du corps, découvert de sang et de la poussière et fixa anxieusement la tête du monstre combattu qui roulait envers la sortie de la caverne. L’Africain n’était pas capable de parler, il était quelqu’un de paisible et tranquil et cette atmosphère, cette grande guerre lui fit frisonner. Il reprit son pistolet et regarda le scénario hectique avec l’enfant choisi qui voulut faire un autre bilan. La situation s’était légèrement améliorée pour eux. La plupart des vampires ont été tués, mais un nouveau groupe de loups garous s’approcha du champ de bataille, il s’agissait de sept bêtes qui se combattirent pour al future reine des loups garous. Ils conrontèrent les derniers loups garous de Patricia qui avaient survécu la bataille et ils étaient sept aussi. Les moines étaient les adversaires les plus dangereux, car uniquement Andreja vait un moyen de les tuer avec son arbalète. Il avait réussi à attraper trois ou quatre adversaires par des tirs précis, mais le prince sut qu’ils n’avaient pas de chance à se protéger contre leurs flèches, sauf s’ils étaient capable prendre les cavernes, maisons et la galerie finale d’assaut. Le prince prit la décision folle ou courageuse d’essayer cet assaut. Il vit que ses compagnons étaient tous trop occipé à se combattre contre d’autres ennemies et il sut que Mamadou ne serait pas capable de lui suivre ou aider. Le prince respira, enleva une dernière fois la sueur de son front et toucha sa croix avec ses mains. Il pria silencieusement et pensa à ses parents et sa patrie, sa chambre petite, mais chaleureuse et remplie de pleins d’étagères couvertes par des nombreux livres, la grande table en avant de la fenêtre où se trouva son ordinateur, son grand lit à l’autre côté de la chambre ou la grande commode avec le miroir, dans laquelle se trouvèrent ses vêtements diversifiés et ses affaires de sport, car il pratiqua le badminthon et desfois le soccer ou le volleyball avec ses amis, Il pnsa à toutes ces petites affaires qui n’étaient importantes que pour lui uniquement et ressentit la chaleur dans son cœur et n’eut plus de peur quand il cria fortement pour se libérer du stresse et de la pression et commenca à courir vers une des maisons les plus grandes dont la porte d’entrée était largement ouverte. Le prince parcourut une autre fois le champ de bataille et vit patricia à quelques mètres de lui qui assomma deux vampires avec les balles de sa mitraillette qui fit un bruit énorme. La femme mystérieuse se tourna maintenant pour la première fois vers les moines sur la galerie et essaya de les assommer malgré la grande distance. Elle réussit vraiment de tuer deux moines immédiatement qui tombèrent de la galerie et heurtèrent le toît d’une maison qui s’écroula avec un grand bruit, un nuage de poussière bloqua le champ de vision des moines et d’Andrej et Patricia aussi. La femme fatale courageuse était quand-même obligé d’arrêter de s’occuper des moines, car elle fut attaquée par deux vampires. Le jeune prince léva son épée, changea légèrement a direction et amorca un coup remplie de beaucoup de force envers un des vampires qui bloqua l’attaque au dernier moment et se tourna vers le prince. Cette réaction était fatale, alors que Patricia perfora son corps avec les balles de sa mitraillette. Le prince continua son chemin et évita le contact avec cinq loups garous qui étaient en train de s’attaquer bestialement. Le prince avait même de la misère à reconnaître qui étaient les loups garous de Patricia et qui étaient les loups garous de Lorena Dragusz. Il atteignit l’entrée de la maison en même temps que les moines avaient un melleur champ de vision et tirèrent d’autres flèches en bas et réussirent à assommer un autre loup garous de Patricia. Le prince sauta dans la chambre et vit un vampire qui se trouva en cachet dans l’ombre de la porte. L’enfant choisi léva son épée et réussit à tuer l’adversaire trop surpris d’un seul coup contre le cou. Le prince regarda ses alentours maintenant et vit une grande table sur laquelle se trouvèrent plusieurs papiers et document et il remarqua une commode à moitié brisée, dans laquelle se trouvèrent encore quelques épées et mêmes deux fusils. Il remarqua un escalier qui ména en haut dans l’autre éatge et y vit apparaître un vampire qui tenait un fusil dans ses mains. Le monstre réagit deux secondes trop tard à cause de la surprise de voir un adversaire dans sa maison. La balle heurta le sol où le prince s’était encore trouvé, il y avait quelques secondes. Maintenant, il s’était jeté par terre et chercha un abris improvisé sous la grande tables de bois. La deuxième balle heurta cette table et la transperca. Elle manqua l’enfant choisi de quelques centimètres seulement et celui-ci essaya de s’avancer en bougeant sur ses mains et ses genoux. Le vampire avec le fusil parcourut l’escalier et atteignit la porte d’entrée. Il attendit un deuxième vampire qui lui suivit et qui tint un autre fusil. Ils ne trouvèrent pas immédiatement le jeune prince allemand, mais le deuxième vampire se pencha et découvert le prince sous la grande table. Le monstre cria et tira avec son fusil en même temps que son compagnon. Les deux balles heurtèrent le bois solide de la table et les documents furent poussés en air. Le prince fit une roulade et évita l’attaque, se léva et fit un saut de carpe dans une autre chambre en arrière de la maison, dans laquelle il vit un lit sur lequel se trouva un jeune vampire féminin à moitié nue et seulement couvert d’une petite couverture noire en bas de son ventre.Elle se léva et fixa le prince d’une manière agressive, ses yeux pâles montrèrent sa volonté de tuer cet adversaire. Elle ne ressentit aucune pudeur quand elle se trouva toute nue en avant du prince qui ne put éviter des regards à la va-vite pour cette femme dangeureuse. Il entendit les deux autres vampires qui s’approchèrent de la chambre et le prince regarda ses alentours. Il n’y avait aucune fenêtre ou autre sortie de la chambre et il réalisa qu’ils ne put pas se défendre avec son épée contre trois adversaires dont deux étaient équipés avec des fusils. Pour un moment, il regretta son idée trop courageuse et stupide d’avoir voulu prendre la maison d’assaut tout seul. Il sentit son cœur battre si fort que cela faisait mal. La sueur coula dans ses yeux et l’aveugla, sa main, qui tenait l’épée, tressaillit. C’était dans ce moment que deux balles percèrent les murs de la chambre de l’autre côté et le prince entendit un cri de douleur en même temps qu’il fut poussé par terre par un choc inattendu…

     


    Quarante-neuvième chapitre – Changements sentimentales



    Le jeune prince allemand heurta le sol et entendit encore le sifflement des autres balles qui percèrent les murs de la chambre de cette vampire mystérieuse. Le bruit du craquement des murs et les cris de douleur de la vampire se melangèrent à une symphonie de la mort et du danger. Les balles n’avaient pas touché le prince, mais la femme nue fut blessée par deux balles qui pénétrèrent sa poitrine. C’était elle qui fut poussée contre l’enfant choisi par ce choc mortel et elle lui sauva indirectement la vie, car le jeune allemand, paralysé par la peur et désespération, ne bougea pas du tout. Maintenant, il se retrouva par terre et entendit encore le sifflement des balles qui heurtèrent maintenant le lit, ainsi que les quatres murs de cette chambre sans fenêtre.

    Les vampires arrêtèrent de tirer dans le vide et le prince vit deux ombres qui s’approchèrent de la porte ouverte. Le jeune allemand ne sut pas trop quoi faire, quand il eut l’idée de pouvoir feinter ses adversaires. Il ne bougea plus, tourna son visage vers le sol et essaya de se calmer et respirer plus lentement. Il voulut faire croire les deux vampires agressifs qu’il était mort et profiter du moment de la surprise. Il sut qu’il n’avait pas trop de chances de combattre deux vampires armés d’un fusil avec son épée magique qui se trouva par terre à quelques centimètrees de son corps. Le prince espéra donc qu’il pourrait activer sa croix avec la formule qu’il avait déjà lu dans le parc à Lille. Il craignit par contre qu’il n’avait pas trop de chances de mystifier ses adversaires, car son cœur battit violemment contre ses côtes et il avait de la misère à ralentir sa respiration et la sueur lui coula dans son visage. Sa chemise sale lui colla sur le dos. Ses mains tremblèrent encore légèrement et il était extrêmement nerveux. Est-ce qu’il serait capable de tromper ces dempires pour quelques instants? Est-ce que sa croix pourrait vraiment lui aider?Les deux vampires s’approchèrent lentement des deux corps dans cette chambre sombre et donnèrent un coup de pied léger dans le dos du prince qui ressentit une certaine douleur. Il serra les dents et ne bouea point. Un des vampires se pencha et regarda l’épée magique et la toucha avec sa main en la levant légèrement. Il la laissa tomber par terre avec un cri de douleur et regarda sa main droite, qui devint noir et rougeâtre. Le vampire cria fort et vit que les blessures disparairent après quelques instants et ne laissèrent aucune trace sur sa peau. Le deuxième vampire prit le jeune prince par ses cheveux et léva sa tête violemment. Le prince ne réagit aucunement et son adversaire sourit d’une manière méchante et morbide. Il poussa la tête du prince violemment contre le sol et celui-ci tourna instinctivement sa tête légèrement à droite afin d’éviter de briser son nez par ce mouvement violent. Il arrêta de respirer et craignit que son adversaire avait remarqué cette réaction. Il pensa que les dernières minutes de sa vie soient arrivées. « Je pense qu’on a réussi à le tuer. », dit le premier vampire qui donna encore un coup de pied contre la tête du jeune prince qui se mordu la langue et eut envie de crier et bouger à cause de la douleur. Mais il était encore le maître de ses mouvements et sentiments et réussit à ne pas trahir ses intentions par un faux mouvement. Cela lui prit toute sa maîtrise de soi et il remarqua qu’il ne put plus résister longtemps et espéra que les vampires quitteraient la pièce.« Je n’en suis pas sûr. », remarqua le deuxième vampire qui s’approcha du prince allemand de l’autre côté. L’adolescent sentit les regards suspicieux de son adversiare qui fixa son visage. Le prince eut les yeux fermés, la sueur lui coula sur le front.Tout à coup, le vampire s’approcha de lui et tourna son corps violemment vers la gauche et le prince se retrouva maintenant sur le dos., les yeux encore fermés. Les vampires fixèrent son corps et remarquèrent al vérité.« Il n’y a pas de sang. », cria le deuxième vampire.« Il n’est pas mort. Regarde, il respire encore. », répliqua le premier adversaire.« Il a peut-être perdu sa conscience. », présuma son compagnon après quelques instants.« Qu’est-ce qu’on fait avec lui ? », demanda le premier et se pencha afin de fixer le visage du prince. Il s’approcha de son visage de quelques centimètres seulement et le jeune allemand sentit la respiration de son adversaire sur sa peau. Son haleine pua le sang et la pourriture.  Le jeune prince eut envie de s’évanouir. «  Il faut le tuer ! « , dit le deuxième vampire d’une aire convaincu et agressive.«  Tu ne penses pas qu’on devrait lui faire tuer par notre maître directement ? », demanda l’autre.« Il est dangereux, ce maudit enfant. Il nous fait que des soucis. Il ménace notre future. Notre maître sera fier de nous, si on lui présentait le cadavre de son pire adversaire. Il pourrait nous offrir un poste plus précieux dans le nouveau régime. Peut-être qu’il nous prommettait les vampires femelles les plus belles du royaume. », s’imagina le deuxième vampire.«  Tu penses vraiment ? »« On sera reconnu au monde entier pour notre courage et notre discipline. Ils nous appelleront les sauveurs de l’enfer, les héros au nom de Luciferius. »« On va le tuer ensemble ? »« Il ne faut plus hésiter avant qu’il se réveille. Prends ton fusil et on tira une balle chacun. On va tremporter le succès de notre mission ensemble. » « On va partager les plus belles filles et toute l’honneur du monde entier. »« Vas-y, on va compter jusqu’à trois. »«  Attends, il faut que je récharge mon fusil. »«  Je t’attends. »« Donc, je suis prêt maintenant. »« D’accord, alors on va commencer. On tira sur sa tête moche en même temps. On l’écrasera comme une mouche sale. Je ressens la force de mes ancêtres dans mes pulsations, la fierté de notre maître. On devrait remercier le grand Luciferius d’avoir l’honneur de pouvoir faire l’acte le plus important. » « C’est le destin qui nous a choisi. »« On sera les gagnants éternels. »« Alors, je commence à compter….. un! »Le prince sut qu’il était forcer de réagir maintenat, mais il avait peur de pouvoir provoquer qu’une réaction directe des vampires dès qu’il ouvrirait sa bouche. Deux personnes tiraient sur lui et il seraient sûrement capable de le massacrer avant qu’il soit capable de prononcer la grand eformule au complet. Il décida donc qu’il faudrait combiner le sentence de la formule magique avec un mouvement inattendu afin d’irriter les deux vampires. Il n’avait qu’une seule chance. Il ouvrit légèrement ses yeux et vit qu’il y avait assez de place vers sa gauche et en arrière de lui.    «  Deux ! »D’un moment à l’autre, le prince se poussa en arrière fit un saut vers sa gauche et prononca la formule magique en même temps. Une balle de fusil disperca le silence mortel de la pièce, mais elle ne toucha que le mûr en arrière du jeune prince qui vit les regards étonnés et stupides des deux vampires.« Agere separate, pellere unite…”, cria l’enfant choisi et fit un autre saut de carpe vers sa gauche afin d’éviter deux autres tirs de fusil d’un des vampires qui avait surmonté le moment de la surprise et le choc de l’échappement de son plus garnd adversaire. Le prince heurta le sol, prit la croix dans sa main et la léva en haut.« Terra pestem teneto… »Un des vampires s’approcha de lui à grands pas, jetta son fusil par terre et fit un saut enorme afin d’assommer le prince avec ses propres poings. L’enfant choisi vit le visage menacant, les grands dents de vampires et la folie et agressivité dans yeux pâles et gris. Il savait que c’était trop tard d’éviter l’attaque au complet et il confia maintenant aux réaction de la sentence pour sa croix d’Ézekiel qui lui avait tant aidé pendant les derniers jours.« … Salus hic maneto »Le corps du vampire heurta celui du prince , mais en même temps, une grande lumière blanche et éclairante apparût et aveugla les yeux de l’enfant choisi.  Il ne sentit plus de douleur, mais au contraire, il se sentit léger et libre pour quelques instants minuscules. Il entendit un chant haut et mélodique qui lui sembla être le chants des quatre archanges. Il ferma ses yeux et entendit encore les cris des deux vampires, mais ils sembalient être très loins de lui, comme s’ils étaient dans une autre dimension, dans un autre univers plus cruel et diabolique. Le prince fut anesthésié par les sentiments du bonheur et de la confiance. Il ressentit quelque chose qu’il n’avait pas ressenti depuis plusieurs jours. Il se sentit heureux, tout le stresse, tout les soucis s’effacèrent pendant quelques instants et il oublia sa mission et ne vit que cette lumière blanche. Il vit le visage sage du clairvoyant mystériquex, dont il pensait que c’était Nostradamus. Il vit les visages de ses parents pendant quelques instant minuscules et celui de la fille inconnue, son futur amour. Elle se trouva sur un lit et dormit. Elle avait l’air douce et paisible et elle souria. Le prince espéra qu’elle rêverait de lui. Il se demanda si elle aussi, avait eu des visions de lui. Il se demanda si elle était consciente de sa destination et sa grande bataille contre les forces de l’enfer. Il se demanda, si elle était peut-être la personne choisie d’un autre continet, peut-être de l’Amérique. Il avait pleines de questions et il eut confiance de trouver les reponses un jour.Le jeune adolescent fut rétiré de ces images, la lumière disparût et il rouvra ses yeux. Il se trouva sur le plancher sale et ne vit que trois tas de poussière en proximité de lui. D’un moment á lautre, il vit un ombre qui disparût dans la porte ouverte. Il reconnut le visage pâle et méchant d’un vampire qui tint un fusil dans ses mains et n’hésita pas à viser tranquillement sur l’enfant choisi qui sut que c’était trop tard d’activer la croix magique ou de s’enfuir. Il avait été capable de combattre ses deux derniers adversaire, mais maintenat, il sut qu’il n’avait plus de chances. Il ferma ses yeux et s’attendit à être abattu par une des balles de fusil.Il entendit le tir et les éclats de rire méchants du vampire et ne bougea plus. Il attendit pendant des secondes, mais ne sentit aucun mal. Il se posa la question, s’il était déjà mort. S‘il avait quitté le monde sans aucune douleur. Si le vampire avait mal tiré et se prépara de lui tuer avec une deuxième balle. Ou si un miracle s’était passé.Il rouvrit ses yeux tranuqillement avec une grande nervosité. Il vit encore le vampire à côté de la porte, qui tomba lentement sur ses genaoux, roula les yeux jusqu’à ce qu’on ne vit que le blanc et se transforma en poussière, en commencant avec son visage, qui coula par terre. Le jeune prince allemand réalisa que ce n’était pas le vampire qui avait tiré avec son fusil, mais une autre personne, dont laquelle il vit les ombres dans l’entrée de la chambre et qui s’approcha tranquillement de lui avec un sourire ironique. La personne porta sa mitraillette d’une facon plutôt nonchalente, mais le prince sut qu’elle prit la grande bataille au sérieux, car elle luttait pour son propre futur et son retour dans ce territoire. Évidemment, la personne qui lui avait sauvé la vie, était la belle femme fatale, le loup garous appellé Patricia, descendante de Tristania. Elle s’approcha de lui, prit la main du jeune prince et lui tira en haut avec une force inattendue. Le prince était fasciné par cette femme quis emblait être plutôt petite et fragile, mais qui eut des forces cachées qui étaient probablement supérieures à celles de lui-même. Le prince voulut remercier son nouveau partenaire, mais elle quitta déjà la chambre et il décida de lui suivre, malgré que ses jambes tremblèrent encore après ces dernières minutes en danger extrême.« C’était de la folie. », dit Patricia sans tourner sa tête envers l’enfant choisi.« Je sais. Je n’aurais pas dû y aller tout seul. », avaoua le jeune prince.D’un moment à l’autre, Andrej parût dans l’entrée de cette petite maison, ses bras couvert de sang, ses vêtements déchirés lors des luttes opiniâtres avec les forces de l’enfer. Il tinte ncore son arbalète dans sa main droite, mais il était brisé au milieu. Dans sa main gauche, il tint une épée couverte de sang et poussière qu’il avait pris d’un de ses adversaires. Ses yeux avaient quelque chose de cruel, de dangereux. Il adora son vengeance personel et le jeune prince lui comprit, car les forces démoniaques avaient détruit sa vie en entière. Il eut quand-même peur, quand il remarqua cette expression dans le visage du russe, car il avait peur, qu’il pourrait encore se laisser diriger par ses sentiments et que cela pourrait nuire á sa concentration dans la bataille décisive. « Les adversaires sur la grande place sont tous morts, il ne restent que plusieurs moines sur les galeries et ceux qui se trouvent encore réfugiés dans ces appartements bizarres. », constata-t-il.« Combien de mes loups garous ont survécu ? », demanda Patricia.« Seulement trois, dont un qui est blessés dans le dos. », répliqua Andrej et fixa intensement les yeux de son vis-à-vis qui était en grande colère, car elle avait perdu tant de combattants fidels.« Qu’est-ce qu’il y a avec Mamadou ? », demanda le jeune prince, qui n’eut pas tout de suite l’attention de son compagnon russe qui regarda seulement la femme presque nue avec sa mitraillette, qui ressembla à une amazone mystérieuse. « Il s’est rétiré dans les cavernes. Il a participé au combat, malgré ses douleurs. Sans lui, je serais mort maintenant. », dit Andrej et tourna sa tête légèrement envers son ami. « Nous n’avons pas de temps à perdre. Il faut finaliser ce qu’on vient de commencer. Je vais appeler mes trois combattants pour qu’ils puissent nous accompagner. », ordonna Patricia et s’approcha de la sortie et se retrouva sur un champ de bataille affreux, où e trouvèrent pleines de tâches de sang, pleins de corps en état de transformation en poussière et plusieurs armes et uniformes des vampires. « Attends. Il faudrait laisser un loup garous en bas pour qu’il s’occupe de Mamadou. On ne peut pas lui laisser seul, s’il y en a une nouvelle attaque. », exigea le prince allemand.« On a besoin de tout le monde, si on veut affronter nos ennemies. Ils viendront tous avec moi. »« Tu ne peux pas faire ca ! Mamadou nous a sauvé la vie, comme Andrej vient de le dire. On doit s’occuper de lui. Tu pourrais laisser un de tes combattants avec lui et tu amméneras les autres avec toi. », proposa le prince.« Écoutes-moi, mon petit. C’est moi, la future reine des loups garous. J’ai plus d’expérience que toi et je connais bien mes ennemies. Je sais que cela sera la bataille, la plus dangereuse et difficile de ma vie entière. Je suis sûr qu’on a besoin de tout le monde. On ne peut pas risqur nos vies et notre futur pour un seul homme. », répliqua Patricia et continua de se diriger envers l’ancien champ de bataille, où les trois loups garous lui remarquèrent et s’approchèrent de lui, contents de la voir.« Tu ne peux pas faire ca! », se fâcha le jeune prince et ne sut plus comment il pourrait convaincre cette femme de ses idées. Il luis embla que, n’importe ce qu’il faisait, il n’aurait pas de chance de changer ses idées.« Tu dis cela à moi ? La future reine des loups garous ? », se fâcha Patricia de sa part et se tourna envers lui pour la toute première fois depuis son départ envers le champ de bataille. Les loups garous fixèrent le prince d’une manière menacante et grondèrent légèrement. «  Je suis l’enfant choisi ! », s’écria le jeune prince.« Je m’enfous de la maudite prophétie. Tu es qui ? sans nous, tu serais mort. Je viens de te sauver la vie, alors ferme ta gueule et montre du respect envers moi. Personne ne donne des ordres à la véritable descendante de Tristania ! »  Le jeune prince voulut se défendre, il avait les armes aux yeux, quand il sentit la main de son compagnon russe sur son épaule. Il lui regarda.« Elle a raison. », remarqua Andrej.«  Tu t’opposes contre moi ? Tu t’opposes contre notre mission ? », cria le prince et se distanca de son compagnon russe en secouant la tête.« Je ne m’oppose pas contre toi. C’est parce que je veux qu’on réussisse notre mission, que je suis convaincu qu’on a besoin de chaque loup garous. Mamadou a une arme et est capable de se défendre tout seul. »« Il est blessé, il s’est mêlé dans la bataille, cela lui a coûté ses toutes dernières forces. » « L’autre groupe des loups garous va bientôt arriver et nous suivre. Ils vont s’occuper de Mamadou. », dit Andrej en essayant de calmer son compagnon. « Qu’est-ce qui se passe avec toi, Andrej ? Je l’ai remarqué. Tu es déjà tombé amoureux de cette Patricia. Andrej, elle est un ennemie ! Elle a seulement fait ce pacte avec nous, parce qu’elle désire règner sur le monde des loups garous. Dès que Lorena Dragusz sera morte, c’est elle notre grand ennemie. On ne peut plus lui faire confiance. On est dépendant l’un de l’autre. Je te jures, qu’elle ne sera même pas triste, si tu mourais durant la bataille. Elle est égoiste, ne l’oublies pas. Et comment tu pourrais tomber amoureux d’une telle créature, après que t’as vu ta femme ? Tu étais choqué par sa transformation, on éatit obligé de la tuer. Tu sembles avoir oublié toutes ces affaires. Un loup garous, ce n’est pas mieux qu’un vampire. Si t’étaits dégoûté par l’état de la femme, comment tu peux être tant fasciné par cette femme fatale. N’oublies pas, Andrej, elle est belle, mais cela n’est qu’une masquérade. »  « Ce n’est pas ton affaire ! », s’écria Andrej et s’approcha de son ami allemand qui remarqua le colère dans son visage, sa haine, sa brutalité et il craignit pendant quelques instants qu’il était prêt à frapper son vis-à-vis et se sentit désespéré. Il ne reconnut plus le même Andrej qu’il a connu dans le village perdu en Suisse. C’était encore Patricia, qui interromput le disput des deux, car elle retourna dans la maison, accompagné par deux trois loups garous. Andrej se tourna immédiatement envers elle et lui souria. Patricia posa sa main douce sur la tête du russe et colla sa tête contre sa poitrine pendant quelques instants. Les loups garous grondèrent et creusèrent en grattant avec leurs pattes musculeuses.Le jeune prince allemand décida de ne plus parler de ce sujet, car il savait que les deux étaient contre lui et il voulut plutôt se concentrer sur la grande mission. Il était quand-même choquée et se demanda, si Andrej avait lui frappé pour de vrai, si Patricia n’était venue. Il se sentit isolé et seul et était inquiet, car il ne sut même plus, s’il pourrait faire confiance à ses combattants. Il avait cru connaître son ami russe depuis qu’ils avaient vécu pleines de choses ensemble. Mais il lui sembla qu’Andrej était dans une situation très difficile dans a vie. Il avait de changements d’humeurs bizarres desfois et il ne sembalit plus savoir ce qu’il voulait faire et il ne savait plus qui étaient ses véritables amis. Le jeune allemand dut que cela tournerait mal un jour, si Andrej n’était pas capable de se détacher de Patricia. Un jour, il devrait choisir s’il supportait Patricia et son nouvel empire ou la mission sainte de la prophétie. L’enfant choisi n’était pas sûr de pouvoir gagner la bataille contre le grand Luciferius un jour, sans l’aide de son compagnon russe. Andrej lui avait sauvé la vie, et le prince avait sauvé la sienne. Mais la confiance qui s’était établi entre les deux, semblait être brisée. Le prince eut une idée dont il était inquiet, même terrifié. Il voyait une solution à ses problèmes. Il devrait tuer Patricia pour être sûr de leur victoire. Qu’est-ce que tout cela leur donnait, si le marriage était déjoué et si le fils du seigneur des vampires, ainsi que Lorena Dragusz étaient morts ? Le régime de la terreur sera remplacé par cette femme fatale et dangereuse qui s’opposera un jour contre lui, car elle savait qu’avec la mort de Luciferius, tout les démons de l’univers mouraient au même instant. Le jeune prince eut des soucis et était perdu dans ses pensées sombres, quand il fut bousculé par Andrej qui lui demanda de lui suivre. Le prince n’avait pas fait attention à ce qu’Andrej et Patricia avaient parlé et réalisa qu’ils étaient en train de monter l’escalier. Le prince se souvint de la galerie des moines et suivit les autres en dernier. Ils montèrent l’escalier et se retrouvèrent dans une salle de séjour. Le prince vit une plusieurs canapés et une vieille table, ainsi qu’une cheminée. À gauche se trouva une sortie qui ména à un pont qui relia la maison avec un autre bâtiment. D’un moment à l’autre, un vampire courrut de l’autre côté envers eux, dans ses mains se trouva une grande hache. Le démon bougea assez vite, mais la mitraillette de Patricia arrêta l’adversaire qui fut perforé comme une passoire et tomba sur le côté gauche contre la petite balustrade, perdit son équilibre et tomba en bas dansle champ de bataille. Patricia fit un rire content et courut vers l’autre côté du pont suspendu, accompagné par les deux loups garous qui ne se distancèrent pas d’un seul mètre d’elle.Le prince atteignit l’autre bâtiment, dans lequel il vit seulement une grande chambe assez sombre, dans laquelle se trouvèrent cercueils de bois, l’endroit où dorment les vampires. Ils étaient tous ouverts et tout à coup, un vampire se léva de sa place, cria et fixa les nouveaux arrivés d’une manière agressive. Il ouvrit sa bouche et montra ses dents de vampires longs et affreux. Il essaya de quitter son cercueil, mais Andrej, qui réagit le plus vite, lui coupa la tête d’un seul coup avec l’épée qu’il avait trouvé. Le jeune prince allemand remarqua après qu’il rit de la même facon que Patricia auparavant. Comme s’il trouvait cela plaisant de massacrer ses ennemies. Le jeune adolescent eut des frissons. Il savait qu’Andrej était quelqu’un qui risquait beaucoup et qui détestait ces démons de tout son cœur, mais il ne ‘avait jamais vu réagir d’une telle manière exagérée.  Il avait changé depuis sa rencontre avec Patricia. Le prince remarqua qu’il voulut plaire cette femme fatale et qu’il perdit son véritable caractère de plus en plus. Patricia et Andrej examinèrent les autres cercueils et se convaincurent qu’ils étaient tous vides. Après, il s’approchèrent d’une échelle dans le fond de la salle nocturne et montèrent au premier étage. Le jeune prince allemand vit soudainement apparaître un vampire qui sauta envers patricia qui monta l’échelle en première. Le vampire s’était caché en haut dans une autre chambre et essaya maintenat d’étrangler le cou de son adversaire et de mordre la peau de Patricia avec ses dents affreux. Patricia ne s’était pas attendu à cette attaque et n’avait pas le moyen de se défendreavec sa mitraillette et Andrej était trop loin avec son épée. Patricia risqua de tomber de l’échelle et avait de la misère de repousser le vampire, quand un des loups garous fit soudainement un saut gigantesque et mordit le cou du vampire dans les airs. Le loup garous tomba de l’échelle, heurta le sol en bas, mais il avait réussi à arracher la moitié de la tête du vampire qui tomba de l’échelle en se transformant en poussière durant la chute. Patricia continua son chemin et atteignit l’autre chambre. Les autres lui suivirent et elle remercia le loup garous en lui caressant sa têteet soncou avec des mouvement doux de ses mains fines et fragiles. Les six combattants se retrouvèrent dans un espèce d’entrepot. Ils virent plusieurs cartons et boîtes, remplies d’armes. Ils virent ainsi une collection de récipients dans une armoire, remplie d’un liquide rougeâtre. Le prince avait mal au cœur quand il reconnût la solution dégoûtante. Les récipients étaient remplis de sang humain, dont les vampires avaient besoin pour survivre. Andrej s’approcha de l’armoire et détruit plusieurs récipients avec son épées. Les verres éclatèrent, le sang arrosa les vêtements du Russe, qui ne le remarqua pas dans sa colère. « Arrêtes ! Idiot, tu vas faire tant de bruit que le reste des vampires vont tous envahir ce bâtiment et nous attaquer. », se plaint Patricia.  « Je m’enfous. Je suis prêt à me battre pour toi. », remarqua Andrej.Cette phrase blessa encore le sentiment de la confiance en soi du jeune prince. Son compagnon russe venait de dire qu’il se batterait pour Patricia. Mais l’enfant choisi n’était plus sûr, s’il se battait encore pour lui. Il commenca à perdre de plus en plus sa confiance envers Andrej.Son compagnon russe obéit aux commandes de Patricia, malgré son serment et le jeune prince remarqua le sourire méchant que Patricia fit dans sa direction. Elle était consciente de son pouvoir et voulut mettre de la pression sur le jeune prince qui s’ennuya de la présence de Mamadou qui était beaucoup plus calme, paisible et positif dans sa nature. Il tint la chaîne avec la croix et eut envie d’attaquer Patricia avec cette arme et de voir ce monstre en train de se transformer en poussière. Il pensa à une probable réaction d’Andrej et cela lui fit mal au ventre.Ils montèrent un petit escalier de bois afin d’atteindre le prochain étage qui ressembla à l’autre salle, sauf qu’il y avait une petite sortie vers la gauche qui ména vers un autre pont suspendu. Patricia fit les premiers pas sur ce pont, accompagnées par les trois loups garous loyaux. Elle regarda ses alentour, mais ne vit aucun adversaire. Elle se tourna vers Andrej, qui n’avait pas encore touché le plancher du pont, pendant une petite seconde. C’était une grande faute. D’un moment à l’autre, deux vampires sortirent de la bâtisse de l’autre côté du pont. Ils tirent des grandes haches tranchantes dans leurs mains, mais ils n’attaquaient pas la descendant de Tristania, mais coupèrent avec des tirs rapides les fixations du pont qui se détacha de l’autre côté et s’éffondra directement. Patricia n’avait plus de sol sous ses pieds et vit la distance épeurante envers le sol en bas. C’était environ une dizaine de mètres déjà. Même un loup garousaurait eu de la misère à survivre cette chute mortelle. Patricia n’avait que quelques secondes à réfléchir et fit instinctivement un saut en arrière d’elle-même, entra en collision avec un des autres loups garous et vit qu’elle n’atteignit plus l’autre côté. Elle ferma ses yeux et se prépara à la chute, quand une amin forte prit son poignet et lui tira brusquement en haut. Elle fut poussé dans les airs, sentit tout à coup le sol sur ses pieds et fut poussée sur le côté et tomba par terre.    Deux des loups garous étaient moins chanceux. Ils n’avaient pas réussi à se sauver avec leurs saut énormes et heurèrent violemment le sol en bas. Deux autres cadavres sur le champ de bataille. L’autre loup garous s’était sauvé, mais dans l’autre direction. Il avait fait un saut gigantesque et avait atteint le balcon, où se trouvèrent les deux vampires. Ceux-ci étaient stupéfaits et ne régairent pas assez vite. Le loup garous Fit un saut fort et poussa son premier adversaire par terre. Le vampire poussa un cri de surprise et essaya de se libérer, mais il n’eut aucune chance contre ces forces animales. Le loup garous montra ses dents et dévora la tête pâle du vampire d’une seule morsure violente. Le deuxiéme vampire s’enfuit dans le bâtiment et fut poursuivi par le loup garous qui tint encore la tête coupée de son adversaire dans sa gueule. Il laissa seul le torse du vampire qui se transforma en poussière. Patricia se léva lentement et regarda Andrej qui lui avait sauvé la vie. Pour la toute premièrefois, le jeune prince allemand pensa reconnaître quelque chose de doux et gentil dans les yeux mystérieux de la femme. Ele sembalit vouloir remercier son compagnion russe, voulait dire quelque chose, s’interrompit et sembla être mal à l’aise. Elle regarda le visage du russe, s’approcha de lui et il y avait de l’amour dans l’air. Le jeune prince allemand remarqua bien la magie et la tension entre les deux qui se déchargea d’un moment à l’autre. Patricia avait quelque chose d’honnête dans ses yeux qunad elle embrassa Andrej. Ils fermèrent leurs yeux et semblèrent oublier leurs alentours. Andrej toucha doucement le visage de son vis-à-vis, ses épaules après. Le jeune prince allemand n’était pas trop surpris, mais il se sentait un peu bizarre en regardant le nouveau couple en avant e lui. Il se sentit encore plus seul maintenant, il se sentit perdu. Il ne saviat pas, s’il était jaloux ou inquiet ou quelque chose d’autre, mais il se sentit vide. Dans ses quinze premières années de sa vie, il n’avait jamais réussi à embrasser une fille. Il n#avait connu que l’amour de se parents. Il se demanda si cette relation entre Andrej et patricia était vraiment basée sur l’amour. L’enfant choisi en avait des doutes. Il pensa plutôt qu’Andrej vit en elle l’apparence de son ancienne femme et que Patricia voulut tout simplement l’utiliser afin de réaliser ses propres rêves. Andrej n’était qu’un moyen dans la progression de ses planifications. Mais peut-être que le jeune prince se trompa aussi. Peut-être que c’était le coup de foudre. Il pensa encore á la belle fille dans ses rêves. Est-ce que cela était le coup de foudre ? Est-ce qu’elle était la réalité ou juste une imagination fugitive de ses désirs les plus profonds ? Est-ce qu’il était amoureux d’un image ? La situation entière avait quelque chose de bizarre. Sur leur côté du pont, c’était une scène d’amour, des actions remplies de passion et de magie. Sur l’autre côt, le deuxième loup garous avait réussi à attraper le fugitif et tint la main de sa proie dans sa gueule et traîna le corps en ´tat de transformation envers le torse de sa première victime. Quand le loup garous vt Andrej et s maîtresse, il laissa glisser le bras de sa proie par terre. Il fixa le couple et avait l’air mécontent et sombre. Le jeune prince se dit que ce loup garous avait le même degré de confiance envers Andrej que l’enfant choisi envers Patricia. Il s’agit évidemment de deux ennemies qui s’aimaient, un amour tragique qui n’avait pas de futur, sauf si un des deux décidait de changer les côtés, de trahir ses amis. Le jeune prince eut peur qu’Andrej était plus instable que Patricia. Après quelques secondes, Andrej et Patricia arrêterent de s’embrasser et ses regardèrent dans les yeux sans ses rendre compte des autres. Andrej prit la main de la descendante de Tristania.« Depuis que je t’ai vu pour la première fois, je savais que j’étais amoureux de toi. Je sais que tu devrais être mon ennemie et je sais qu’un jour, un luttera sur des côtés différents. Je sais tout cela, mais je m’enfous. C’était le coup de foudre. Je n’ai jamais vécu quelque chose de même dans ma vie. Notre amour brisera lois et frontières, si tu le veux. Fais-moi confiance. Je t’aime. »Patricia fixa le sol et sembla être en train de réfléchir. Le prince attendit sa réaction avec impatience. Il remarqua que le loup garous de l’autre côté avait hoché sa tête attentivement. Patricia se tourna vers Andrej t lui regarda dans les yeux.« Moi aussi, je taime. »C’était le silence absolu. Personne ne dit rien. Personne ne bougea. Le temps sembalit être arrêté. Les sables du temps emportés par les vents du changement. Le jeune prince se demanda, si Patricia était honnête avec Andrej. Il fixa son visage et vt une alrme dans les yeux de la descendante fière et forte. Le prince fut surpris. Ses sentiments n’étaient pas joués. Elle avait laissé tomber son masquerade. Elle avait dit la vérité. Un instant d’amour dans l’endroit le plus dangereux et sombre qu’ils n’avaient jamais vu. Maintenant, il y avait de l’espoir. Le jeune prince se sentit encore irrité, mais il sut que cet aveu leurs donnait tous de l’espoir, de la confiance. Les disputs étaient oubliés. Le charge énorme avait disparu. Mais par contre, il restèrent encore des soucis dans les pensées du jeune prince. Le futur serait l’épreuve la plus grande de ce nouvel amour. La confiance entre le jeun adolscent allemand et son compagnon russe n’était pas encore rétabli. Ils avaient besoin de discuter. Maintenant, ce n’était pas le bon moment, par contre.« Je vais chercher l’échelle dans le bâtiment avec l’entrepot. On va l’utiliser afin de traverser ce trou. », proposa Andrej et quitta les lieux et laissa seul le jeune prince et Patricia. Celle-ci s’adressa à l’enfant choisi.« J’avais remarqué votre disput. Je te dis que les sentiments d’Andrej étaient mêlés. Ils sentit de la douleur, de la peur et de la haine envers ses nnemi qui avaient détruit sa vie. Il était mêlé lorsqu’il m’avait rencontré. Tu devrais lui pardonner. Sa situation est devenue plus claire. Ilétait nerveux et ma réponse positive lui avait donné du nouvel espoir. Ne doute jamais de sa loyalité. Il va supporter votre mission. Mais il a besoin de se calmer bientôt, de se reposer et d’avoir assez e temps pour réfléchir de sa vie. Sois indulgent avec lui. », dit Patricia et sa voie était devenue plus douce. Elle s’adressa avec plus de respect envers le jeune princ. Son arrogance, son sentiment de supériorité avait disparu. Elle semblait être devenue une autre personne.« Est-ce que tu as dit la vérité à Andrej. Est-ce que tu l’aimes vraiment ? », voulut savoir le jeune prince. « C’était la pure vérité. »« Le futur va être dangereux pour vous. Vous restez quand-même des ennemies. »« Je sais. Tu as raison. Tu es très sage pour ton âge. Je ne veux pas encore penser à tout cela. Il nous faudrait trouver une solution. »Dans ce moment-là, Andrej retourna en haut avec une échelle dans ses mains. Il regarda son ami allemand et d’un moment à l’autre il lui prit dans ses bras. « Je m’excuse. J’étais un idiot envers toi. Cela n’arrivera plus jamais. »Le jeune prince allemandfut touché par ces phrases et regarda dans les yeux de son ami russe. Sa brutalité, sa haine avait disparu. Il semblait être plus humain maintenant. Il pleura.« Je te pardonne. », dit le jeune prince et eut de la misère à ne pas commencer à pleurer. Il se tourna vers Patricia qui lui sourit. C’était un sourire chaleureux et non arrogant.« J’imagine que l’échelle sera assez grande. », dit elle.Il l’essayèrent et remarquèrent qu’elle avait raison. Patricia traversa l’abîme en première sans montrer sa peur et fut attendu par le loup garous à l’autre côté. Après, c’était le tour au jeune prince. Il respira fortement et se mit sur ls genoux et essaya de regarder tout droit uniquement. Il sut qu’il aurait le vertige immédiatement, s’il regardait en bas. Ses mains collèrent de sueur,ses jambes étaient lourds et il n’avanca pas trop rapidement, mais après la moitié, il eut plus de confiance et accéléra un peu ses mouvements. Il pensa à l’escalade de la tour avec mamadou. Cela lui donna du nouvel spoir. Il réussit á atteindre l’autre côté et Patricia lui félicita. Andrej leurs suivit en dernier et il était assez agile. Il avait parcourut la distance après une quinzaine de secondes uniquement. Ils se regardèrent et entrèrent dans la maison…



    Cinquantième chapitre – Le duel avec le couple de l’enfer



    La pièce plutôt sombre représenta une large salle de réunion. Les trois combattants et le loup garous se tournèrent vers un escalier qui ména dans le fond de la salle, envers les rochers solides. Les créateurs de ces bâtiments souterrains avait bâti une grande tour qui avait une hauteur d’une dizaine de mètres. L’escalier était assez petit et avait des petites marches glissantes qui tournèrent en rond en s’approchant de la sortie. Un autre désavantage était le fait qu’il n’y avait presque pas de lumière dans la tour. Ils étaient donc mal protégés et s’avancèrent très lentement et ne surent pas, s’il y avait quelqu’un ou quelque chose qui les surveilla ou qui pourrait les attaquer inattendument. Les trois combattants s’avancèrent donc assez attentivement et lentement. Patricia et son loup garous marchèrent en premier, suivi par Andrej et l’enfant choisi.

    D’un moment à l’autre, le loup garous commenca à gronder et ne bougea plus. Il regarda ses alentours, poussa son nez contre le mur et creusa en grattant avecs es pattes en arrière. Tout à coup, un ombre tomba du fond de la tour et entra en collision avec le loup garous qui jappa et fit un saut en haut, mais il ne put plus éviter l’attaque de son adversaire. Patricia vit en première que l’ombre était plus précisement un vampire. L’attaquant prit le cou du loup garous et le tourna brusquement sur le côté. On entendit encore un craquement laid et un gémissement affreux de la bête sauvage, avant que Patricia soit intervenue. Elle prit sa mitraillette et tua le vampire qui essaya de faire un saut énorme envers elle, sa bouche ouverte et ses dents couvert du sang frais de sa proie. Pendant un instant, il sembla que Patricia avait réagi trop vite, elle ne pouvait plus éviter la collision ou protéger son cou, fixé par son adversaire monstrueux. Le loup garous entra en collision avec la descendante de Tristania qui fut poussée par terre, mais en même temps, le corps du vampire se transforma en poussière, ses dents s’étaent dangereusement rapprochés du visage de la nouvelle amoureuse d’Andrej. Elle ferma ses yeux et la pussière tomba sur son corps nu comme une pluie grise de l’enfer. Andrej lui offra sa amin et l’aida á se remettre sur ses pieds, elle trembla et regrda anxieusement ses alentours. Après, elle regarda d’une manière triste et touchée le dernier loup garous de son armée personnelle qui se trouva déjà en état de décomposition rapide. Ses yeux devinrent gris et pâles et sa fourrure perdit son brillant. Patricia sanglota, mais se léva et pressa sa mitraillette contre sa poitrine et bougea ses lévres sans parler, comme si elle était en train de maudire ses adversaire et faire le serment d’une vengeance cruelle. Andrej lui toucha à l’épaule et elle se tourna envers lui. Elle lui regarda d’une manière triste et acharnée. Elle se tourna en vanat et continua son chemin sans avoir rien dit. Les trois derniers combattants firent attention et marchèrent encopre plus lentement et cela leur prit cinq minutes avant d’atteindre la sortie de cette tour sombre et menacante. En dehors, cinq autres marches plus larges ménèrent à la galerie des moines qui était abandonnée par leurs adversaires. Ils virent les corps des mrts qu’andrej avait pu abattre avec son arbalète. Il s’agit de quatre moines qui tinrent encore leurs armes dans les mains. L’enfant choisi se demanda pourquoi les morts ne s’étaient pas transformés en poussière comme les autres adversaires et examina le premier corps à quelque mètres de lui. C’était un moine assez jeune, qui avait peut-être trente ans. Sa bouche était ouverte, sa robe déchirée et une flèche était largement enfoncée en bas de sa poitrine gauche. Le prince regarda sa bouche plus exactement et remarqua qu’il n’avait pas les dents de vampire. Son adversaire semblait être un être humain ordinaire comme lui-même.« J’imagine qu’ils ont été hypnotisés par le fils du seigneur des vampires, il y a longtemps. Il se sont battus sans le savoir. Je ne sais pas quand et comment ils sont venus au monastère, peut-être qu’ils n’ont même pas su que ce monastère était dirigé par des monstres de l’enfer. », expliqua Patricia d’une voix lourde.  « Il s’agissait au moins d’une bonne dizaine de moines sur la galerie. Les autres se sont retirés ou cachés, il nous faut faire attention. », remarqua Andrej. Les trois combattants se proménèrent sur la galerie pavée de morts et d’armes brisées. À l’autre côté de la galerie se trouva une petite salle ronde. Ils y entrèrent et virent une grande porte solide vers la droite qui était fermée. Ils essayèrent de l’ouvrir par le poignet énorme, mais il ne réussirent pas. Ils voulaient donc trouver un autre mécanisme ou un levier, mais ils ne virent rien. Andrej toucha le bois solide et fit un saut en arrière. Sa main devenait rouge et semblait être couverte d’ulcères rougeâtres. Patricia prit sa mitraillette et la pressa violemment contre le poignet. La mitraillette glissa du poignet et toucha le bois solide. D’un instant à l’autre, l’enfdroit où l’arme avait touché la porte maudite, devint blanc et fonda comme de la glace. Patricia poussa un cri et jeta son arme par terre, car il était devenu inutile lors de la destruction du canon. Elle voulut donner un coup violent au poignet, mais Andrej prit sa amin et la retira en sécurité. Pour un moment, l’ancien rage et le sentiment de dominance avait l’air de retourner dans le visage de la descendante de Tristania, mais quand elle se tourna envers son amoureux, elle se calma, prit sa main et la regarda. Les blessures n’avaient pas disparu. « Je pense qu’il s’agit d’une porte qui est magiquement barrée. Dès qu’on la touche, on se blessera. J’imagine que seulement les vampires et démons sont capables de l’ouvrir, peut-être seulement quelques-uns d’entre eux qui ont le droit d’y entrer. Il doit se trouver une place importante en arrière de cette porte mystérieuse. », pensa le jeune prince à haute voix. « On ne sera donc pas capable de l’ouvrir. », constata Andrej d’une voix voilé.« Il nous faut trouver un autre chemin. », remarqua Patricia d’une voix décidée.« Ton commandant gianluigi avait parlé d’une clé que l’espion voulait nous procurer. », se souvint Andrej soudainement.« Les vampires l’ont tué et caché son cadavre quelque part. On ne sait pas où il a caché cette clé. Cela sera comme la recherche d’une aiguille dans un tas de foin. »« on n’a pas d’alternatives, non? »« Peut-être que c’est plus facile qu’il ne le paraît. », remarqua le jeune prince après un petit moment de silence.« Qu’est-ce que tu veux dire par là? », demanda Patricia.Le jeune prince ne reponda pas, mais il prit la chaine autour de son cou et la posa entre ses mains, la croix au milieu. Il savait bien, qu’il y avait un certain risque d#essayer d’ouvrir la porte par ce moyen. Il craignit que son arme précieuse pourrait fondre aussi facilement que la mitraillette de Patricia. Mais quelque chose lui dit que la magie de son arme devrait être plus fort que les forces de l’enfer. Il savait qu’il n’avait que cette possibilité. Il était nerveux, inquiet, mais il essaya de se calmer, ferma ses yeux, détacha la chaîne et pressa le bout de sa croix magique contre le poignet pendant un court instant seulement.Il rouvrit ses yeux, retira sa croix et attendit. Au début, rien ne se passa. La croix était encore intacte et la porte aussi et il ne vit aucune réaction. Après quatres secondes, il entendit un craquement et vit des fissures autour du poignet, la porte stable sembla trembler, secouer et s’éclata d’un grand bruit. Le prince léva sa main afin de se protéger contre les pièces de bois qui s’envolèrent, mais ils furent tous jetés par l’autre côté de la porte comme par hasard ou destination. Il rouvrit ses yeux et vit un couloir large d’une dizaine de mètres qui ména dans une grande salle où se trouva un grand trône sur un podium précieux, entouré par un grand étang. Seulement un petit pont relia l’île avec le couloir. Le prince vit un homme, habillé complètement en noir, avec un sourire opiniâtre, tenant dans sa main, une épée ornée. À côté de lui était une femme, un petit peu plus petite et le prince la reconnût. Il l’avait déjà vu en arrivant au monastère.« C’est Lorena Dragusz! », s’écria Patricia et voulut courir dans le couloir.Mais d’un moment á l’autre, six personnages apparûrent au milieu du couloir, ils s’étaient cachés dans les ombres noirs, dans les niches invisibles. « Le six moines! », constata Andrej. Ils prirent leurs arbalètes en même temps et tirèrent sur les arrivants non invités. Patricia regarda sa mitraillette par terre et regretta maintenant qu’elle avait réagi si imprudemment. Elle n’avait plus d’arme pour se défendre. L’enfant choisi n’avait que sa croix, mais Andrej avait amené son épée volée et son fusil qu’il avait pris d’un des vampires qui avait essayé de tuer le jeune prince. L’arme était quand-même inutile, car elle n’était pas chargés avec des balles de pur argent. Il tira quand-même deux fois en consécutive et deux moines furent touchés, reculèrent, tombèrent, mais se lévèrent immédiatement. Andrej jeta son fusil par terre et fit un cri de déception et surprise. Il prit son épée el la lanca envers le moine qui s’était avancé un petit peu plus proche. Celui-ci était trop surpris par la réaction et ne put éviter l’attaque précise de son adversaire russe. Il léva sa main minimalement trop tard et sa tête fut coupé de son corps par la lame de l’épée. Le torse du monstre tomba par terre, alors que sa tête avec les yeux ouverts de surprise s’envola envers les cinq autres moines. Ceux-ci n’hésitèrent plus et tirent avec leurs arbalètes tous en même temps. Le jeune prince n’avait guère le temps de se laisser tomber par terre, mais comme par hasard, il réussit à ne pas être touché par les flèches. Patricia s’était sauvée avec un saut de carpe et protegea sa tête avec ses mains, couché dans une petite niche dans le mur. Andrej avait été moins chanceux. Deux flèches l’avaient touchées en même temps, le premier dans son épaule gauche, l’autre dans sa cuisse droite. Il poussa des cris de douleur, se pencha et fit une grimasse. Les moines réagirent rapidement et tirèrent une nouvelle série de flèches envers leur adversaire russe uniquement. Celui-ci essaya de se sauver en courant en arrière envers la grande porte brisée par les forces de la croix d’Ézechiel, mais teux flèches lui touchèrent en haut de son dos. Andrej tomba avec un cri affreux sur ses genoux, prit la flèche dans son épaule avec l’autre main et l’enléva avec un mouvement brusque. Une petite fontaine de sang sortait de sa blessure, ce qui montrait qu’une vène avait été touchée directement. Andrej se laissa tomber complètement par trre quand il entendit le sifflement d’autres flèches, mais il avait encore de la malchance. Une cinquième flèche lui touch dans son mollet gauche. Il résista à la douleur et se forca de ramper envers la porte, les dents serrés, le visage distordu. Il bougeau trop lentement, car les moines s’approchèrent de lui et se préparèrent à finaliser ce qu’ils venaient de commencer. Andrej n’avait aucune arme et aucun moyen de se protéger contre leurs attaques et avait déjà le grand désavantage qu’il était gravement blessé. Par contre, les six moines firent une grande erreur. Ils se concentrèrent uniquement sur le Russe et ne s’occupèrent plus des autres. Ils réagirent comme des robots hypnotisés qui voulaient tuer leur adversaire systématiquement en travail d’équipe et ne se mirent pas en plusieurs équipes avec des tâches différentes. C’était la chance pour le jeune prince d’intervenir. Il s’était levé du sol et se trouva encore entre Andrej et les moines qui s’approchèrent avec leurs yeux fixes et leurs visages inanimés. Le prince prit sa croix d’Ézéchiel et sauta en avant des six moines et c’était lui qui devint immédiatement leur nouveau focus. Ils lui regardèrent tous et mirent leurs arbalètes rapidement en joue. L’enfant choisi, nerveux et couvert de sueur léva sa main droite, tenant la croix magique. Patricia voulait déjà intervenir, car elle savait qu’une activation directe de lacroix par une sentence risquerait de la tuer aussi, car les sentences détruirent tout les démons en proximité, non seulement les moines ou vampires, mais aussi elle-même, car elle était un loup garous. La croix n’avait ps la capacité de saisir, si elle se battait pour le bon côté ou non. En plus, elle avait des doutes, si la formule pourrait les aider, car les moines n’étaient pas des véritables démons.Avant que patricia ait pu intervenir, quelque chose d’extraordinaire se passa. Les moines fixèrent la croix et furent paralysés en même temps. Il laissèrent tomber leurs armes, se regardèrent et l’un après l’autre s’évanouia, les yeux roulés, les visages pâles. La force démoniaque de leur hypnôse fut brisée par le regard et l’influence de la croix et cette collision des forces était la cause pour leur évanouissement. Ils se retrouvèrent par terre èt ne bougèrent plus du tout. Le prince était surpris par cette réaction et ne pouvait pas croire qu’il avait réussi à sauver la vie de son compagnon russe. Il regarda Andrej qui lui sourit avant de s’évanouir aussi, suite aux douleurs des nombreuses blessures. Le prince regarda patricia qui était aussi surprise que lui et elle mit sa main sur son épaule. Les deux se tournèrent envers la salle et les deux drniers adversaires dans le maudit monastère. Deux combattants de chaque côté, deux couples dissemblables, réunis par le destin. Le premier était venu afin de libérer l’Europe du joug des vampires et des loups garous, l’autre s’étaient installé afin de renforcer leur position et leur pouvoir. Le jeune prince et la descndante de Tristania s’avancèrent, entrèrent dans la salle et s’arrêtèrent en avant du pont qui mena vers la petite île. Les adversaires se fixèrent, essayèrent de trouver les faiblesses de l’autre par des regards uniquement, essayèrent de montrer leur force, leur haine en voulant intimider l’opposition. Avant la bataille corporelle, la bataille psychologique commenca déjà. Après quelques instants, le fils du seigneur des vampires brisa le silence avec un sourire arrogant. Le jeune allemand crut reconnaître le portier du monastère et donc le criminel qui avait tué l’archéologue autrichien. Les visages se ressemblèrent énormément, sauf que amintenant, le fils du seigneur des vampires présenta son vrai caractère et ses vraies intentions. Le jeu était fini, la réalité cruelle débuta. Il se léva tranquillement de son trône prétentieux.« Vous vous êtes rendus loin, mais maintenant, votre période de chance se termine. Même la grande croix d’Ezéchiel ne m’exterimera pas.  Je ne vais pas faire la même faute que mon frère et mon père. Vous avez signé sentence capitale en entrant dans cette salle majestueuse. Vous avez réussi à combattre mes serveurs et mes amis, mais moi, je suis le guerrier, le vampire le plus fort du monastère et je suis immortel. »« Ton immortalité ne résistera pas contre les forces de ma croix. », répliqua le prince allemand.« J’ai été enseigné dans les forces de la magie noire. Tes formules minuscules ne symbolisent aucun anger en ma présence. Il est possible que la formule la plus puissante de la croix sera capable de me tuer, mais tu ne la connais pas. Ma sœur avait volé ton livre des sept cachets et tu ne connais qu’une ou deux formules que tu as peut-être réussi à déchiffrer. », constata le fils du seigneur des vampires avec un sourire diabolique et s’assit sur le trône d’une facon arrogante et très sûr de lui. La future reine des loups garous, Lorena Dragusz, ne se mêla pas dans la discussion entre les deux hommes, mais fixa les yeux froids de son adversaire du tribu de Tristania. Lorena Dragusz commenca d’un moment a l’autre de se transformer d’une belle, jeune femme en un monstre. Son visage se traîna en longueur, ses dents devinrent plus grands, une fourrure grise apparût sur sa tête et remplaca ses cheveux. Elle tomba sur ses genoux, ses bras devinrent plus court et plus musculeux, ses ongles fines se transformèrent en desserres dangereuses. Sa féminité disparût, le poil poussa sur son corps et ses muscles et son póids détruirent les vêtements qu’elle avait porté. Une queue transperca ses pantalons brisés. Ses yeux devinrent gris-jaunâtres, froids et elle fixa son vis-à-vis, la descendante de Tristania. Celle-ci s’était aussi transformée et ressembla beaucoup à son adversaire. Elle était moins grande que Lorena Dragusz, mais plus musclée. Sa fourrure était plutôt brune que grise et sa queue s’était levée en haut ce qui montrait son excitation et qu’elle était sous une tension énorme. Le prince fut choqué par le fait qu’il n’avait plus une femme à côté de lui qui pourrait lui aider dans sa bataille, mais un monstre incalculable qui n’avait pour but que de tuer son adversaire. Il s’agit maintenant de deux batailles différentes, celle du prince et porteur de la croix magique contre le fils du seigneur des vampires, ainsi que la bataille entre les deux loups garous. Le prince prit le livre des sept cachets qu’il avait caché sous son manteau et regarda son adversaire qui fut choqué par le fait qu’il l’avait trouvé. Mais sa peur et son étonnement se changea en une énorme agressivité. Il léva sa main et porta d’un moment à l’autre une baguette magique dans sa main droite. Elle avait une longueur d’une vingtaine de centimetres, elle était en bois, mais noire à cause d’une coloration. La baguette nétait un peu courbée, mais le prince ne douta pas qu’elle devrait fonctionner bien quand-même. Il léva son bras, portant la croix d’Ézéchiel, mais son adversaire eétait quelques secondes plus vite.Le prince ne comprit pas vraiment ce qu’il prononca,mais il réalisa qu’il devrait s’agir d’une formule magique dangereuse, car une colonne de feu bleu se détacha du bout de la baguette magique et tomba comme un éclair violent sur la place où le jeune allemand s’était encore trouvé, il y a quelques secondes. Celui-ci s’était sauvé avec un saut de carpe vers sa gauche et avait laissé tomber son livre des sept cachets. Il se trouva tout à coup en proximité du bassin qui avait été construit autour de l’île du maître du monastère diabolique. Il y vit des beaux poissons qui brillèrent en plusieurs couleurs, ils semblaient être inoffensifs et avaient une longueur d’environ vingt centimètres. Le prince fut choqué quand il reconnût la sorte qu’il avait déjà vu dans le zoo de Cologne, dans un grand aquarium, dans lequel s’était trouvé cette sorte de poisson qui venait surtout de l’Amérique du Sud. Il était certain qu’il s’agit des piranhas!Le jeune prince allemand se léva et vit que son adversaire s’était approché de lui, car il se trouva sur le pont maintenant. Les deux loups garous se combattèrent se tournèrent l’un autour de l’autre sur l’île au milieu de la grande salle, chacun attendit que l’autre commetrait la faute de commencer la bataille finale. Ils essayèrent de se provoquer avec des grondements et des regards agressifs, c’était un duel psychologique que Patricia gagna enfin, car son vis-à-vis fit soudainement un saut envers elle. Patricia réagit très vite, se proména vers sa gauche, évita l’attaque et sauta dans le dos de Lorena Dragusz. Ils tombèrent tout les deux par terre, les griffes enfoncées dans la peau et la fourrure de l’autre et ils essayèrent de mordre l’autre et se tournèrent envers le côté droit de l’île, où se trouva le bassin. Le prince avait de la misère à distinguer clairement les deux, car ils étaient en mouvement perpétuel et ressemblèrent à un seul corps, chacun de deux  se cramponna à l’adversaire.Le fils dus eigneur de vampires léva sa baguette magique une autre fois et envoya une sentence mortelle envers le prince qui fit un saut en arrière, se roula sur le côté et sentit une douleur piquante dans son épaule, car il était mal tombé. Par contre, il avait encore pu évaiter la sentence. Maintenant, c’était à lui de réagir avant qu’il soit été trop tard. Il léva sa croix et envoya sa formule magique envers on adversaire. C’était maintenant le moment de la vérité, si son vis-à-vis serait vraiment capable de se défendre contre cette force du ciel qui avait déjà combattu son père. Son fils se crut quasiment immortel.« Agere separate, pellere unite – terra pestem teneto, salus hic maneto! », s’écria-t-il avec un dernier effort et vit que son adversaire léva sa baguette, cria quelque chose, récula en arrière, tressaillit et fut poussé par terre. Le prince fit un sourire heureux en voyant son adversaire par terre, le visage déformé de douleur, mais soudainement, son ennemi fit un cri d’effort et se léva, en pointant sa baguette magique envers le jeune prince qui envoya sans hésitation une autre fois sa sentence. Son adversaire récula légèrement, mais cette fois-ci, il était peut-être plus préparé à l’attaque et ne tomba pas. La sentence ne produisit aucune douleur, aucune réaction. L’enfant choisi ffut choqué. La formule de sa croix était devenue inutile. Son adversaire n’avait pas menti. Un monde s’écroula pour ce jeune adolescent. Il perdit son espoir, sa confiance quand il vit le sourire triomphale de son adversaire qui léva sa baguette magique afin de le tuer. Le prince s’étaitpositionné trop proche de son vis-à-vis, il ne serait plus capable de s’enfuir ou d’´viter le contact avec la sentence, cette fois-ci. Il était perdu. C’était dans ce moment inattendu, qu’une flèche s’enfoca violemment dans le front du fils du seigneur des vampires qui bouscula en arrière, les yeux ouverts de surprise. Ils laissa tomber sa baguette magique, ´recula encore, mais d’un moment à l’autre, il n’y avait plus de sol à côté de lui. Avec un cri de peur et de surprise, il tomba du pont en arrière et se retrouva dans le bassin. Il léva ses amins, essaya de nager envers l’île afin de pouvoir se tirer de l’eau, mais il n’ètait pas assez vite. Les piranhas régirent et s’approchèrent de leur maître. Ils avaient faim. Le fils du seigneur des vampires cria, léva ses amins dans löes airs, cria le nom de Lorena Dragusz, pleura et demanda l’aide. L’eau dans le bassin devint rougeâtre, le nombre de poissons autour de son corps se multiplia. Avec des cris de douleurs, sa tête fut poussée dans l’eau, mais il réussit à se délibérer encore une fois, essaya de frapper les petits corps autour de lui et s’écria. « Le cercle de sept malédictions me vengera ! »C’était la dernière phrase qu’il prononca dans sa vie et carrière diabolique sur terre. Cette fois-ci, les piranhas étaient plus fort et tirèrent leur nouvelle proie en bas, sous la surface de l’eau. On ne vit plus rien que quelques bulles d’eau rougeâtre. D’un moment à l’autre, il y avait du silence dans les catacombes du monastère. Le jeune prince allemand se tourna envers Andrej qui se trouva en arrière de lui par terre, blessé, couvert de sueuer et de sang, l’arbalète dans sa main gauche. Il la laissa glisser par terre et soupira. Le jeune prince allemand s’approcha de lui. « J’ai pris l’arbalète d’un des moines que t’avais combattu. », expliqua-t-il d’une voix sourde, calme et fatiguée.D’un moment à l’autre, le jeune prince entendit un bruit dans l’eau. Il s’approcha du bassin en s’attendant au retour de son ennemi qui avait survécu l’attaque des piranhas. Il vit un grand corps musclé dans l’eau, couvert de blessures. Ce n’était pas le fils du seigneur des vampires. Il s’agit d’un loup garous qui léva sa patte envers l’enfant choisi, car il ne pouvait pas se tirer soi-même du bassin. Les piranhas semblaient être disparus avec le cadavre de leur ancien maître et ne s’étaient pas encore rendus compte de la nouvelle proie dans leur territoire. Le prince fixa les yeux de la bête en se posant la question, s’il s’agit de Patricia ou de Lorena Dragusz, quand il vit queqlue chose dans les yeux de la bête. De la confaince et de la chaleur. Il crut même reconnaître un sourire léhger sur les lèvres de la bête. Il prit sa patte et utilisa ses toutes dernières forces afin de tirer Patricia du bassin. Il glissa sur le terrain mouillé et tomba presque soi-même dans l’eau, mais il regagna sa balance et fut finalement capable de sauver sa nouvelle combattante de l’eau. Celle-ci gronda et se transforma en quelques secondes en une femme nue. La fourrure disparût, ses muscles énormes aussi. Le jeune prince fixa son vis-àvis épuisé. La descendante de Tristania se léva avec un dernier effort. « Nous sommes tombées dans le bassin, Lorena Dragusz et moi. C’était une bataille acharnée et dangereuse. Heureusement, le seigneur des vampires est tombé dans l’eau en même temps et les piranhas ne nous avaient pas remarqué tout de suite. J’ai été capable de mordre Lorena et de la noyer après, elle était affaiblie. Les piranhas qui s’approchérent de nous, s’occupèrent de son cadavre et tu m’as sauvé avant qu’ils étaient capables de s’occuper d’une troisième proie. J’ai seulement quelques morsures qui nes ont pas dangereuses. », expliqua Patricia lentement , se léva et s’approcha d’andrej. Elle se pencha sur ses genoux et lui sourit. Andrej prit son nouvel amour dans ses mains. Ils s’embrassèrent. Le jeune prince allemand sourit. Une grande mission était accomplie. Mais ce n’était que le début. La bataille avec les véritables menbres du cercle des sept malédictions s’approcha. Ils ne pouvait pas s’enfuir de ce charge. C’était la mission de sa vie. Dans ces moments-ci, il était convaincu de la gagner. Il pensa au fils du seigneur des vampires qui avait été capable de résister aux sentences de sa croix. Il s’approcha du livre des sept cachets qu’il avait laissé tomber par terre à côté du bassin. Il vit les gueules couvertes de sang des piranhas qunad il prit le livre qu’ila vait enfin retrouvé. Il avait hâte à l’étudier plus en profondeur afin d’y apprendre d’autres formules magiques. Maintenant, il n’avait pas le temps. Il se laissa tomber par terre. Il avait besoin d’un grand repos. Il avait besoin de sa famille et sa maison. Ilvoulut retourner dans sa ville d’origine en Allemagne. Il voulut retorner à la vie de tout les jours, fréquenter l’école, vivre comme un étudiant ordinaire. Il voulut expliquer ce qu’il venait de vivre á ses parents. Il voulut faire des recherches sur la fille mystérieuse dont il rêvait tout le temps. Il voulut s’adresser à la clairvoyante, même s’il ne savait pas comment il pourrait le faire. Après quelques instants, les trois combattants entendirent les pas de plusieurs personnes qui s’approchèrent de la salle et le jeune prince allemand prit sa croix et se cacha dans une niche du couloir, mais Andrej et Patricia étaient moins inquiets. Ils avaient raison.Il s’agit du reste de l’armée des loups garous, ainsi que du commandant et le spécialiste qui voulut s’occuper du trésor dans les laboratoires. Le commandant se sentit irrité quand il vit andrej et sa maîtresse en train de s’embrasser, mais il n’en donna aucun commentaire. Il s’approcha des deux et de l’enfant choisi qui avait quitté la niche sombre.« Nous avons détruits les laboratoires et on a réussi à trouver les documents importants dans le trésors, concernant leurs armes et méthodes qui pourraient nous être utils. Il y a trois loups garous qui ont été tués, mais il y avait aussi moins de gardiens que l’on pensait ou craignait. », expliqua le commandant.« Je vous félicite. », répliqua Patricia et se léva tranquillement. Les blessures du combat lui firent encore mal. « Qu’ést-ce qu’on fait avec les documents ? », demanda le commandant.« Vous devriez les brûler. »« Mais il y a des aspects intéressants… »« C’était un ordre, Monsieur le commandant. Il n’y a rien á discuter. On n’a pas besoin de leurs inventions. »« Est-ce que vous en êtes sûre, chère maîtresse. »« À cent pourcent. »Le commandant regarda par terre et sécoua légèrement la tête. Il donna les documents à un des loups garous et ils les brûlerent tout de suite avec un grand briquet que le voleur engagé retrouva dans une de ses poches.« Qu’est-ce qu’on va faire maintenant ? », demanda le commandant.« J’ai pris ma décision. Je vais partir en russie avec Andrej. », dit la maîtresse.« Vous ne pouvez pas nous laissez seuls maintenant. Vous devriez vous installer dans ce monastère et fêter le grand retour de la race de Triostanai au pouvoir. », s’écria le commandant.« Non, je ne veux pas établir un autre régime de la terreur. Les combats avec Andrej, Mamadou et surtout avec cet enfant choisi m’ont ouvert les yeux. Il faut qu’on combat les démons et le cercle des sept malédictions. Il nous faut installer un régime de la paix. On a pu gagner une bataille décisive aujourd’hui, mais ce n’est que le début. »« C’est une sale trahison. », dit le commandant et vit soudainement la haine et la menace dans les yeux de sa maîtresse et il récula anxieusement.Le jeune prince allemand fut surpris du changement des idées de Tristania. Il était convaincu que les trois personnes choisies avaient gagné la fidelité d’une nouvelle partenaire qui avait beaucoup d’influence. Maintenant, le futur apparût encore plus optimiste. La grande et fière Patricia avait eu le choix entre le pouvoir énorme et un régime magnifuqe et le simple amour d’un russe pauvre. Elle avait fait son choix étonnant.« C’est moi, ta maîtresse. C’est moi, la reine des loups garous maintenant. Tu vas obéir. Vous allez vous installez dans ce château et veiller sur la région. Dès qu’il y a des adversaires démoniques, il nous faudra les combattre. Je vous oblige de ne plus jamais tuer ou manger un être humain. Je serais peut-être la première reine des loups garous qui installera un régime de paix et de convivialité. C’est devenu notre destin de soutenir l’enfant chosi. On n'appartient plus au cercle des sept malédictions et á Luciferius. Si on deviendra les partenaires de cet enfant choisi, on combattra le ecrcle des sept malédictions et tout les démons cruels seront tués, mais nous, on survivra. On est sur la veille d’une nouvelle époque remplie de bonheur, liberté et amour. Est-ce que vous me trhaissez ou est-ce que vous allez me soutenir et obéir ? », demanda Patricia et regarda les loups graous autour d’elle. Ceux-ci ne réagirent pas tout de suite et se mirent á réflécir, mais soudainement, le premier loup garous lui fit un signe affirmatif avec sa tête et un deuxiéme suivit son exemple. En dernier, c’était le commandant qui se déclara d’accord en grincant des dents.« Vive le nouveau régime de Tristania ! », s’écria Andrej, oublia ses douleurs et se léva et les autres suivirent son exemple et crièrent cette parole remplie de bonheur et confiance. Andrej regarda Patricia et les armes lui coulèrent sur son visage. Patricia fut touchée aussi et monztra des traits de cractères humains. La bête rébellique avait disparu. Le couple s’embrassa…Ensemble, ils quittèrent tous les catacombes du monastère diabolique…

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  • La princesse de Shipshaw

    Une conte de fée écrit par Sebastian Kluth



    Épilogue



    En voulant quitter le monastère, l’enfant choisi, Andrej, Patricia, Mamdou (on l’avait soigné dans la salle de la réception avec quelques médicaments que l’on y avait trouvé), ainsi que le commandant et les loups garous qui s’étaient maintenant transformés en des êtres humains, rencontrèrent un jeune homme dans la salle d’entrée qui venait d’arriver. Il fit un saut quand il vit le groupe qui s’approcha de lui et prit une petite croix d’or avec un Jésus Christ crucifié, attachée à une chaîne qu’il portait autour de son cou. Son vis-à-vis, le jeune prince prit la sienne qui était encore plus grande et majestueuse et vit le regard surpris de l’étranger.

    « Vous êtes qui? », demanda l’arrivant avec un accent anglophone. Le jeune allemand lui fixa. L’homme avait á peine vingt ans, il avait des cheveux blonds et longs, des yeux bleus très clairs. Sa peau était légèrement brûne. Il porta des pantalons bruns déchirés, ainsi qu’une vieille chemise grise. Il avait une gourde et une petite boussole, attachées à sa ceinture. Il avait une grandeur d’environ un mètre et soixante-dix centimètres et était seulement légèrement plus grande que l’enfant choisi. Celui-ci savait qui pourrait être son vis-à-vis.« Vous êtes Francis Leoni, n’est-ce pas? », demanda le jeune prince allemand. Son vis-à-vis était honnête et ne mentit pas, mais il se montra surpris et méfiant. « C’est vrai. Comment vous le savez? »« Est-ce que vous avez réussi à trouver le chamane en Inde? », questionna le jeune prince.« Qu’est-ce que vous savez de ma mission? Vous êtes qui? Où est mon père? », demanda Francis Leoni et regarda chacun du groupe. Certains entre eux regardérent par terre et essayèrent d’éviter ses regards. Le prince se souvint du cadavre dévoré par un goule et du journal intime.« C’est une très longue histoire. », dit le jeune prince après quelques instants et ils retournèrent dans la salle de la réception, où ils lui expliquèrent tout ce qu’il venait de se passer. Ils lui donnèrent ainsi le journal intime de son père. Quand ils lui parlaient de sa mort, Francis Leoni commenca á pleurer, mais seulement pendant un court instant. Il était choqué et désepéré, mais il jura de se venger. Il parla ensuite de sa mission en Inde et dit que le chaman s’était échappé afin de rencontrer une femme qui s’appelle Milla Gaillard. Ils voulaient se réunir en Égypte. Le chamane avait amené tout ses documents, ainsi que les recettes pour la boisson diabolique qui donna l’immortalité aux démons les plus cruaux. Ensemble, ils décidèrent de ne pas encore aller en Égypte, car ils ne savaient pas exactement, où les deux adversaires e trouvèrent dans ce grand pays légendaire. Le jeune prince réalisa que Milla Gaillard lui était échappé pour la deuxiéme fois déjà et se jura qu’une troisième fois n’arriverait jamais. Après cet entretien, on décida de se quitter, mais on se donna la promesse de rester en contact afin de continuer la bataille contre le cercle des sept malédictions sur la planète terre. Francis Leoni voulut retourner en Australie et Andrej et Patricia décidèrent de s’établir à Segezha, en Carélie, une région du nord de l’Europe tranquille qui avait une région russe et une région finlandaise. Andrej y connut l’oncle à son parrain qui s’était rétiré de la société et y posséda quelques chalets. En ce qui concerne le commandant, celui-ci retourna en Italie afin de rencontrer la famille de Patricia et le reste du tribu. Il fut accompagné par le voleur engagé et par quelques loups garous. Les autres loups garous restèrent au monastère en attendant son retour. Concernant le jeune prince, celui-ci fut accompagné par Mamadou qui voulait lui aider à expliquer tout ce qu’il venait se passer à ses parents. Ils prirent l’argent de la caisse de la réception et se rendirent à Vaduz avec Andrej et Patricia, où ils se dirent au revoir. Andrej et Patricia remercièrent l’enfant choisi pour son courage et lui promirent de rester en contact régulier avec lui. Mamadou et le jeune prince se louèrent une petite voiture avec l’argent.Mamadou avait de la misère à conduire au début, car il ne l’avait pas fait depuis quelques années durant son emprisonnement au château en Suisse. En traversant les frontières, au début celle de l’Autriche, ensuite celle de l’Allemagne déjà, le jeune prince se cacha dans le coffre, car il savait que la police lui cherchait à cause de la demande de ses parents. Après deux jours, ils se rendirent à Leverkusen, la ville où le jeune prince résidait. Il retourna à la maison de ses parents avec Mamadou. Ses parents et lui pleurèrent et étaient contents de se revoir. Ils avaient déjà perdu tout l’espoir, la mére au jeune prince était même tombé dans une forte dépression ets on état s’ameliora énormément après le retour de son fils unique. Celui-ci expliqua ce qu’il venait de vivre, mais ses parents ne lui crurent pas. Mamadou essaya de soutenir le jeune prince et finalement, les parents de l’enfant choisi ne posèrent plus de questions, même s’ils n’étaient pas tout á fait conviancus des explications. Ils se rendirent a la police et on invita l’histoire d’un kidnapping et que Mamdou, qui avait été kidnappé par la même personne, il y a longtemps, avait réussi à s’enfuir de sa prison, de combattre le criminel et délibrer le jeune adolescent au Liechtenstein. Ils dirent que le criminel s’était enfuit et ils donnèrent la description du visage du fils du seigneur des vampires à la police. Les policiers juraient d’approfondir leurs recherches.Les prochaines journées, plusieurs reporteurs et journalistes voulurent interviewer le jeune prince allemand qui leur dit la même affaire qu’il avait dit aux policiers. Finalement, ses parents empêchèrent les journalistes de parler avec leur fils. Celui-ci retourna à l’école et avait pleines de questions à repondre. Sa vie de tout les jours recommanca lentement et cela lui fit du bien.Mamadou resta encore quelques jours dans la maison du jeune prince allemand et les deux installèrent plusieurs croix, de petits bassins remplis de l’aeu bénite, ainsi que d’autres signes religieux autour de la maison afin de la protéger contre des attaques démoniaques. Nfin, Mamadou retourna dans son pays d’origine, ce qu’il fut payé par les médias qui lui décrirent comme un héro qui avait sauvé la vie du jeune prince et qui avait été kidnappé, lui aussi, pendant un temps incroyablement long.Le jeune prince allemand resta en contact avec ses combattants, mais ils ne furent pas attaqués par des démons pendant trois quarts d’ans. Mais en janvier 2006, plusieurs événements étranges se passèrent sur la planète et les combattants reconnurent les signes et décidèrent de se réunir À Saint Pétersbourg, en russie, en avril 2006, environ une année après les événements en Suisse et au Liechtenstein. Ils décidèrent de combattre chacun des menbres du cercle des sept malédictions…

     

     

    Au Québec, à Shipshaw, en mai 2005

     

     

    La jeune fille, âgée de treize ans et demi, se réveilla en sueur. Elle avait rêvé d’un jeune garcon qui avait combattu des vampires dans un vieux monastère, quelque part en Europe. Le rêve avait été tellement réaliste, qu’elle savait qu’il avait été réel. Elle se léva de son lit et regarda les deux chiens qui se trouvèrent en bas de son lit au sous-sol. C#était deux jeunes femelles au poil blanc et elles dormaient. La jeune fille regarda sa montre á côté de son lit et se met ses lunettes sur son nez. Il était minuit et demi.

    Elle avait eu ses êves étranges depuis quelques mois et n’avait pas cru qu’ils symbolisèrent la réalité, jusqu’à ce qu’une clairvoyante lui était apparu dans un des ses rêves. Celle-ci lui avait dit qu’elle était une personne choisie afin de combattre le mal et la misère sur la planète terre, icorporé par le cercle des sept malédictions, une organisation de l’enfer puissante et dangereuse. Elle se souvint que la clairvoyante lui avait revelé qu’elle symboliserait la clé du destin du monde dans un bataille finale. Elle avait dit qu’elle était une fille spéciale, la descendante d’une ancienne reine en France et que ses aieux étaient immigré au Québec, parce qu’ils avaient été terrorisé à la cour du roi de la France à Versaille, lors d’une conspiration mortelle. Au Québec, ils avaient accepté une nouvelle et fausse identité. C’était pour cela qu’elle ne s’était jamais pu rendre compte qu’elle était une véritable princesse. Elle se souvint aussi du visage de cet enfant choisi qui avait beaucoup d’affaires en commun avec elle-même. Elle se souvint des son sourire doux, ses yeux bleus et surtout son caractère courageux et optimiste. Elle se posa la question ,si elle était en train d tomber amoureuse. Elle savait dans son cœur, qu’elle l’était déjà. Elle se questionna, s’il n’était peut-être amoureuse que d’une apparence imaginaire, mais elle eut la conscience que ce garcon, son destin, exista quelque part en Allemagne. Elle savait que le moment de leur rencontre s’approcha et que le futur du monde entier sera dépendant de leur amour. La jeune fille eut peur quand elle pensa à cela. Elle se sentit encore trop jeune et trop inexpérimentée pour réussir une telle mission. Elle se demanda, pourquoi c’était elle, la personne choisie et elle savait qu’avec ces doutes et peurs, elle avait un autre point en commun avec le jeune garcon inconnu. Elle soupira, mit ses cheveux avec bruns avec des mêches blondes en ordre et s’assit en avant d’une petite table. Elle prit un crayon et dessina un cœur. Elle écrit son nom dans ce cœur et après quelques instants le nom qu’elle avait cru entendre dans ses êves, un nom étranger. Elle se souvint encore de la clairvoyante qui avait dit que leur amour brisera lois et frontIéres et les chaînes de la méfiance, du pessimisme et du racisme.Elle ferma ses yeux et s’enfuit dans un rêve rempli d’amour. Elle n’avait pas toujours eu un enfance facile, malgré sa beauté et son intelligence et elle avait très hâte que cet adolescent entrait das sa vie afin de lui montrer ce que le terme de l’amour signifierait en vérité. Elle, une fille d’une grandeur d’un mètre et environ cinquante-cinq centimètre se réinstalla au lit et prononca doucement son nom et celui de son futur amour en oubliant le monde autour d’elle, en oubliant les soucis et le charge immense de sa mission:

    « Joanie et Sebastian…. »

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