• La princesse de Shipshaw - Huitième partie: Liechtenstein I (Chapitres 39 à 47)

    La princesse de Shipshaw


    Une conte de fée écrit par Sebastian Kluth


    Trente-neuvième chapitre – Le monastère au Liechtenstein


    Les trois compagnons traversèrent la frontière qui séparait le Liechtenstein de l’Autriche après une heure de route, c’était en après-midi et le soleil brilla de plus en plus fort. L’ai dans la voiture devint assez chaude et Andrej ouvrit donc deux fenêtres, car il n’existait pas de fonction pour activer de l’air climatisée. Le quatrième état le plus petit de l’Europe après le Vatican, le Monaco et le Saint-Marin n’était pas différent des régions qu’ils avaient vu en Suisse ou en Autriche. La nature et les beaux petits villages donnèrent un image positif et idyllique. Le pays était vraiment assez petit, son point le plus long mésurait 24,56 kilomètres, son point le plus large seulement 12,36 kilomètres. Il vivaient à peine un petit peu plus que trente mille personnes dans le petit pays qui était quand-même encore une fois divisé en onze petites communes. Les trois compagnons et combattants étrangers traversèrent le village nommé Schellenberg qui se situa dans les pleines sur les rives du Rhin et arrivèrent bientôt dans le petit village Eschen qui se trouva un petit peu plus au sud. Le jeune prince allemand débarqua proche d’une station d’informations touristiqques pour demander l’endroit précis où se situa le monastère étrange. La madame, une femme assez corpulente et hectique lui repondit avec son accent difficile à comprendre et dit que le monastère se situa au sud de la capitale, proche de la frontière suisse. Les trois combattants poursuivirent donc leur chemin et traversèrent Schaan, la commune la plus peuplé au Liechtenstein avec plus que cinq mille habitants. Quelque temps après, ils atteignirent la capitale Vaduz avec son beau château. À la sortie de la belle capitale se trouva un panneau qui indiqua le chemin pour aller au monastère, la rue les ména plus haute dans les montagnes et Andrej avait bientôt de la misère avec les routes qui devinrent des plus en plus dangereuses. Ils montèrent en haut de deux mille mètres d’altitude et traversèrent une valléeremplie des grands chaînes d’arbres et virent le monastère perdus sur une petite colline proche d’un ruisseau beau et clair. Ils y virent même des petits poissons.

    Andrej stationna la voiture sur un petit stationnement à côté du bâtiment central. À part de sa voiture, il vit encore trois autres voitures et une motocyclette. Le prince remarqua qu’une des voitures était un Mercedes noir. Il parla de cette décoverte avec ses compagnons et tout le monde se sentit encore plus convaincu de jeter un bon coup d’œil au monastère, même s’il s’agissait d’une mission risquée. Andrej s’alluma encore une dernière cigarette avant d’entrer, personne venait pour accueillir les étrangers, le monastère avait l’air désert et triste. Le bâtiment ressembla d’un petit château, mais il n’était pas beau du tout. Les murs étaient sales, gris et remplis des tâches, les fenêtres ressemblèrent à celles d’une prison. Les petites tours à chaque coin du bâtiment n’avaient pas l’air stable et seulement les toits rouges étaient encore assez beaux. Le bâtiment entoura une petite cour, où poussait des mauvaises herbes en masse.

    Andrej jeta sa cigarette par terre et s’approcha des deux grandes portes de bois qui symbloisèrent l’entrée. Le jeune allemand vit le drapeau du Liechtenstein à côté de la porte, avec une barre bleue en haut et une barre rouge en bas. Une couronne d’or se trouva dans la barre bleue vers la gauche. Le drapeau de la ville de Vaduz se trouva à l’autre côté de la porte. Le jeune prince allemand fixa des petits images qui décorèrent le bois massif. Il vit surtout des scènes classiques, comme Jésus en marchant avec sa croix ou même Noah avec son arche. Le prince vit aussi le visage diabolique et méchant d’un démon sur le côté droit de la porte. Il pensa au début qu’il devrait s’agir de Lucifer ou du diable, mais un autre nom lui vint dans l’esprit. Azazel, le premier porte-enseigne des légions infernales qui était décrit comme un démon avec sept têtes de serpent, quatorze visages et douze ailes d’après l’apocalypse d’Abraham.

    Le jeune prince eut des frissons et eut une autre preuve qu’il ne s’agit pas d’un monastère

    pacifique et ordinaire, mais d’une place de rencontre pour les créatures les plus diaboliques. Il ne se sentit pas à l’aise quand il pensa de passer une nuit ou deux dans ce bâtiment étrange. Il regarda sa montre avant de frapper avec une tête de lion fixée au mur contre le bois massif. Il était déjà rendu six heures et demi le soir.

    Ils attendirent que quelqu’un venait pour ouvrir la porte ou au moins pour repondre. Mamadou remarqua en premier le petit caméra de surveillance,caché dans une niche sombre en haut de la porte. Ils pourraient quasiment être certain d’avoir été remarqué. Le jeune prince était surpris par les grandes mésures de sécurité dans le monastère.

    Ils attendirent encore pendant cinq minutes, mais il n’y avait aucun signe que quelqu’un vait l’intension d’ouvrir la porte. Peut-être que c’était aussi un avertissement silencieux qu’ils ne devraient pas trop s’approcher de cet endroit. Après deux autres minutes d’attente inutile, le jeune prince prit l’initiative et essaya d’ouvrir la porte, mais elle était barrée et trop solide. Il contoura le bâtiment et vit soudainement une porte ouverte sur l’aile gauche du monastère. Ils se mirent à y aller et réalisèrent qu’il s’agit de l’arrière-porte de la cuisine. Ils virent plusieurs paquets et conserves enveloppées par terre. Probablement que quelqu’un venait d’y laisser une livraison. Les trois combattants décidèrent d’entrer et virent une autre porte ouverte qui ména dans la véritable cuisine avec plusieurs bols et plats sur des tables et des nombreux fourneaux. Il y avait un grand désordre et l’odeur d’une viande cuite á l’étouffe était encore dans l’air. Mais il ne virent personne encore.

    C’était Andrej qui remarqua une autre porte en arrière de la cuisine et qui ména dans une petite salle avec plusieurs tables, ainsi qu’une toile arriérée et un écran moderne. Il s’agissait ici sûrement de la place où mageaient et s’amusaient les frères du monastère. Ils remarquèrent même une petite scène et on y vit encore plusieurs réquisites d’une pièce de théâtre qu’on avait dernièrement presentée dans cette salle. Des vêtements traditionnels de l’ancien Empire Romain s’y trouvèrent ainsi que des épées de plastique. Le prince se souvin qu’il avait laissé Excalibur dans le fond de la voiture, car ils avaient décidé de ne pas aller avec trop d’armes au monastère. Ils avaient le tout petit espoir que personne ne les pourrait reconnaître et qu’ils pourraient même faire des petites recherches.

    Mamadou trouva un couloir qui s’arrêta devant une porte fermée. Andrej n’hésita pas et ouvrit la porte d’une facon trop imprudente. Ils se retrouvèrent dans une petite chapelle assez simple, même trop simple. On ne vit aucunement des images, ni des bibles ou des livres de cantiques et même la fabuleuse croix ne se trouva pas sur l’aube. Personne n’était assis sur un des cinq bancs dans la chapelle qui donna à peine la place à une cinquantaine de personnes.

    Les trois combattants retournèrent dans l’espèce de salle de séjour. Quelque chose de méchant et menacant se sentit dans les aires. Ils se sentirent emprisonnés et inquiets soudainement. Le prince allemand découvrit une autre porte fermée et s’arrêta devant elle. Il mit sa tête contre le bois et essaya d’entendre des bruits. Il n’y avait encore rien et il ouvrit donc la porte aussi sur laquelle on avait dessiné un image abstrait d’Azazel.

    Le jeune prince et ses combattants se retrouvèrent maintenant sur un couloir mal éclairé, même s’il se trouva à côté des fenêtres grillagées qui ménèrent sur la cour intérieure.

    Le jeune prince se tourna tranquillement à gauche et y vit un petit escalier qui mena dans la cour. Il passa par une chambre dont la porte était légèrement ouverte. Le prince ne sut pas vraiment pourquoi il s’arrêta, peut-être parce qu’il avait une bonne intuition. Il s’approcha de la porte et l’ouvrit violemment avec un coup de pied en tenant sa croix avec sa main droite. Il s’attendit à une attaque rusée, mais il n’y avait personne dans la chambre. Il s’agissait d’un petit logement aménagé assez spartiate. Le prince vit une commode délabrée, un vieux lit et une petite étagère où il vit des livres assez religieux. Il se prepara déjà de retourner sur le couloir quand il vit soudainement une autre porte qui était encore légèrement ouverte. Il s’agissait probablement d’une petite salle de bain, même si le priince fut étonné d’un tel confort personnel dans un monastère. Il vit que la lumière dans l’autre chambre était encore ouverte. Il se demanda, s’il devrait prononcer un « Bonjour » ou d’autres choses du genre, mais il réalisa que la personne lui aurait déjà parlé ou s’aurait fait remarquer, car il avait déjà fait assez de bruit. Il n’hésita donc pas de donner un coup de pied contre l’autre porte et entra dans la salle de bain.

    Il n’y avait rien. Il vit la toilette, un lavabo et aussi la baignoire qui était entourée par un rideau de doche brun et pâle. Mais il sentit une odeur mauvaise qu’in n’eut jamais senti avant. Cela sentit la mort ou la putréfaction. Le prince se tourna déjà quand il eut une autre idée d’où l’odeur pourrait venir. Il voulut encore enlever le rideau pour être sûr et certain que personne ne se trouva dans cette pièce. Il ne sut pas pourquoi, mais il était nerveux et même inquiet, il prévit que quelque chose se cacha derrière le rideau. Il hésita encore et voulut attendre ses amis qui arrivèrent dans ce moment. Andrej ne posa pas de question et s’appuya contre la porte ouverte. Mamadou, tranquil comme toujours, s’était assis sur le lit et regarda le jeune prince attentivement et intéressé. Celui fit ce qui’il faudrait faire. Avec un mouvement hectique il tira le rideau et fixa la baignoire.

    Ce qu’il vit lui fit d’un coup mal au ventre et il ne put croire ce qu’il vit dans pendant ces instants horribles. Il s’approcha du lavabo et ne put s’empecher de vomir. Il se sentit mal et gêné, mais c’était une réaction naturelle. Même son compagnon russe eut soudainement un changement de couleur dans son visage, se tourna et ne voulut plus rien regarder. Mamadou s’approcha ainsi et jeta un coup d’œil dans la baignoire et sécoua la tête. Les trois quittèrent la pièce et le prince s’assit sur le lit. Il sua et son visage était quasiment un mélange d’une couleur verte et d’une couleur blanche. Il eut de la misère à réliser ce qu’il venait de voir.

    Il avait vu le corps d’un moine à moitié décomposé avec les yeux largement ouverts et une grimasse horrible. Il ne posséda plus son bras droit et plus que la moitié de ses jamnbes, on y viit seulement des os et beaucoup de sang. Quelque chose avit essayé de lui manger.

    Les trois compagnons ne dirent rien pour quelques instants avant qu’Andrej s’alluma une autre cigarrette après ce choc imprévu. Il prit une bonne haleine et sécoua encore la tête d’une facon plutôt agressive.

    « C’était des goules. J’en ai déjà vu des corps de même. Les goules, ce sont les parasites, les plus mauvais et dégoûtants qu’on puisse s’imaginer. Même les autres démons ne les aiment aps et essayent d’éviter trop de contacts. », décrit-il.

    « C’est quoi exactement, ces goules? », demanda Mamadou.

    « Ce sont des créatures monstrueuses qui affectionnent des cimetières pour déterrer des cadavres pour s’en nourrir. Ces créatures viennent de l’Asie et forment une classe de Jinn et ils peuvent changer de forme. Ils prennent desfois l’apparence d’une hyéne ou celui d’une femme, mais elles sont reconnaissables à leurs pieds fourchus, c’est leur seul élement constant des apparences. Ils se présentent desfois aussi dans leur vraie apparence, des petites créatures d’une peau transparente. »

    « Qu’est-ce qu’on fait maintenant? », demanda le jeune allemand qui éétais en train de se reprendre de son choc.

    « Il faut qu’on aille trouver quelqu’un dans le monastère. On ne peut pas attaquer tout de suite, le corps mort pourrait être un signe qu’il y a des innocents ici. Il faudrait parler avec le frère de Milla Gaillard ou cette princesse de loups garous. Mais, il ne faudrait pas faire ca tout de suite. On devrait s’installer ici pour quelques jours pour examiner nos alentours. », proposa Andrej.

    « Je n’ai pas vraiment envie de rester une seule nuit ici. », répliqua le jeune prince, mais il sut que son compagnon avait raison. Il avait décidé de risquer de confronter ses ennemis au monastère et maintenat il voulut accomplir cette mssion sans hésiter. C’était son destin d’éliminer le cercle des sept malédictions. Il sut que ces personnages étaient des démons qui avaient desfois pris le contrôle d’autres êtres humains pour provoquer des grandes guerres afin de tuer toute l’humanité. C’était pour cette raison qu’ils avaient des noms bizarres qui ressemblèrent à ceux de queqlues dictateurs ou criminels, mais dans le fond, ils ne possédèrent pas de vrais noms à part du grand Luciferius. Le prince se demanda quand il devrait rencontrer le premier entre eux et dans quelles cironstances. Le cercle des sept malédiction avait un très grand rréseau de combattants et de démons horribles. Ils avaient eu une petite victoire quand ils ont tué les deux seigneurs des vampires, amis en comparaison avec le réseau en entier, cela ne valait quasiment rien. Ils ne voulurent pas résigner ou abandonner par contre, car le destin du monde semblait être dans leurs mains et en spécial dans celles de l’adolescent.

    « Je te comprends, mais on n’a plus le choix. », reprit Andrej la conversation et jeta sa cigarette par terre. Ce fut un hasard qu’il vit le petit livre qui était à moitié caché sous le lit. Le livre n’était pas grand et avait une couverture brune.

    Le russe prit sa trouvaille et le montra à ses compagnons. Il l’ouvrit et fixa la première page. Quqlqu’un y avait amrqué en grandes lettres avec une plume : « Journal intime de Sydney Leoni ». Le russe feuilleta dans les pages et vit qu’il n’y avait pas beaucoup, le journal commenca le 17 mai, donc il y a un petit peu plus que deux semaines.

    Mamadou et le prince se rassemblèrent autour d’Andrej et ils lirent ensemble la première inscription.

     

     

    Quarantième chapitre – Le journal intime de Sydney Leoni


    Jour 1

    Monastère Saint-Hubertus, Liechtenstein, mardi, le 17 mai 2005

     

    Je suis arrivé au monastère ce matin vers 10 heures. J’ai passé les dernières journées dans un hôtel à Vaduz. Mon correspondant, un archéologue d’Autrîche, plus précis de Hochgraninghausen m’a rencontré et m’a donné mon révolver aux boules d’argents et quelques bouteilles d’eau bénite. Il était assez inquiet, il m’avait dit qu’il avait peur que les démons pourraient lui remarquer et essayer de tuer. Il avait commencé de s’intéresser aux vampires, zombies et loups garous, lorsque sa femme et son frère ont été attaqués, tués et dévorés par des loups garous pendant une recherche en Égypte, dans le désert. Je lui ai dit que ma situation était un peu pareille. C’est une des première personnes que je pourrais dire la vérité sans qu’ils voudraient m’envoyer dans une maison de fous ou à l’hôpital. Ca me fesait du bien de parler aussi ouvertement. Je lui ai parlé de la clairvoyante qui était entrée dans notre vie, il y a presque vingt ans pour nous anoncer que notre futur fils sera une des personnes choisies afin d’éliminer le cercle des sept malédictions sous le contrôle du grand Luciferius, seigneur de l’enfer.Elle m’a parlé du cercle des sept malédictions et m’a fait comprendre qu’il s’agissait des démons qui prennent en possession le corps des êtres humains afin de provoquer des conflits, des guerres ou afin de tuer beaucoup de monde. Elle m’a expliqué qu’Adolf Hitler, dictateur allemand et jack the Ripper, serial killer anglophone, ont été possédés par le même démon. C’est sûr que je ne croyais aucun mot de ce que la clairvoyante m’avait dit. Elle nous avit quitté et anoncé qu’un jour nous allons comprendre. Ce jour est arrivé. Des morts vivants ont ataqué les fermes de nos voisin au sud de l’Australie. Deux ans plus tard, un vampire avait essayé de tuer ma femme et sa copine en route au prochain village. Mes parents, qui avaient gardé mon fils, ont été attaqué par plusieurs loups garous dans une vallée et ont survécu comme par un miracle. On a commencé à approfondir nos recherches et de nous procurer des armes afin de se défendre. Ma femme a été tué pendant un voyage au japon, par un des sept Samurais.Par pure hasard, mon fils a été en bas avec moi pour chercher un sac à dos qu’on avait oublié à côté de la piscine. Cela était le plus grand choc de ma vie et j’ai juré de me venger, de n’importe quelle facon.

    C’est des années plus tard qu’on a trouvé la trace des seigneurs des vampires qui existent sur chaque continent. Avec un ami de la Mongolie, on avait envahi sa résidence sur une chaîne de montagne et on a été capable de le tuer avec des grands efforts. Mon ami fut tué par un vampire qui avait pris sa revanche seulement une semaine après qu’on avait accompli notre mission. Moi, je me suis juré de chercher tout les seigneurs des vampires, mais j’ai trouvé deux autres traces. Celle de la princesse des loups garous et celle du chaman d’Inde, qui avaittravaillé nesemble avec des seigneurs des vampires et les sept Samurais. Mon fils, Francis Leoni, devrait se preparer pours on voyage en Inde actuellement. Il veut prendre l’avion d’ici dans trois jours. J’espère que Dieu soit avec lui.

    Je me suis donc préparé après d’aller au monastère. Il y avit un monsieur dressé en noir quine ressemblait aucuement à quelqu’un de religeieux qui m’a recu à l’entrée. Il était très mécontent de mon arrivée et avec sa voie froide il voulait me chasser du monastère, mais j’ai insisté de

    dormir au monastère penadnt deux semaines. Je lui ai inventé l’histoire d’un accident de ma

    famille et que j’avais besoin de m’approcher de Dieu afin de trouver de la paix et afin d’oublier les horreurs de ma vie. Je lui ai dit que je suis un immigrant australien. Il a finalement accepté de me recevoir et m’a donné les clés de la chambre. J’ai sousigné mon inscription et jétais content qu’il n#avaient aps fouillé dans mes bagages, sinon ils auraient trouvé mes armes contre les forces de l’enfer. Il m’a dit qu’ils voudraient m’attendre pour le diner vers douze heures et demi. J’ai donc prit ma valise et je me suis installé ici. J‘ai remarqué que les autres moines que j’avais rencontré avaient tous l’air tranquil et même méchant. J’ai essayé d’établir un epetite conversation avec quelques-uns, mais il m’ont dit quelques mots et ils ne m’ont même pas regardé.

    Après que je me suis installé dans la petite pièce qui est quand-même assez confortable avec une propre salle de bain, j’ai fait le tour du monastère. J’ai vu des images d’Azazel sur beaucoup de portes et sur un fesque dans une salle à l’autre côté du monastère, j’ai même reconnu le visage du diable avec plusieurs sorcières autour de lui. Et je n’ai aucunement vu des croix. Même dans les petites chapelles, je n’en ai pas vu. Les images de Jésus montrèrent la vraie croix, mais il n’y avait pas d’autres symboles ce qu’il affirme qu’il y a des démons dans ce bâtiment. Ils ont peur de voir ou toucher une croix.

    J’ai ainsi fait la tour du monastère. Quand je me suis approché de la cave, il y avait des gardiens qui m’ont demandé de ne pas aller dans les caves voûtées à cause des restaurations. Je l’ai essayé pendant le changement de postes et je me suis presque perdu dans un labyrinthe des couloirs et dans un couloir, j’ai trouvé un petit laboratoire avec une aube plein de vieu sang. Probablement des sacrifices démoniaques.

    J’ai quitté la cave par un vieu canal d’aération. Je suis sorti par la cusine sans avoir été remarqué. Le diner avec les autres moines a été assez tranquille. Le monsieur qui m’avait donné ma chambre et qui avit fait l’inscription m’avait présenté et dit que je resterai sûrement seulement pour quelques jours. Il y avit des personnes qui m’ont regardé assez mécontents. Personne ne m’a parlé. Les prières avant et après le repas ont été assez court. J’ai remarqué qu’ils ont remplacé l’expression « Dieu » par le terme « notre seigneur ».

    Après le souper ont a annoncé que la prochaine prière dans la petite chapelle aurait lieu vers 16 heures et demi. ‘avais donc le temps de prendre une douche et d’aller voir les quatres tours. Une des tours est assez délabrée, elle n’est plus utilisée. Personne ne semble avoir l’intention de la vouloir restaurer. La deuxième tour consiste une bibliothèque avec plein de livres. Il y a une section qui est fermée par une grande porte de bois solide. Aucune chance d’y aller, amis je l’essayerai encore plus tard. J’en suis sûr qu’on y trouve des livres funestes qui décrivent des sacrifices ou d’autres trucs du genre. Peut-être qu’on y trouve même la chronologie des seigneurs des vampires. La troisième tour consiste un petit « hôpital ». Deux frères s’occupent des malades et ont un bon nombre de médicaments. Il me semble que les moines n’ont jamais besoin deq uitter ce monastère. La quatrième tour est varrée et surveillé par un seul gardieassez gros et musclé que je ne voudrais pas attaquer.

    J’ai aussi visité la cour intérieure qui est assez belle. Le puits est détruits est barré par plusieurs plaques de bois. À cet endroit, j’ai vu une femme pour quelques instants. Elle est une vraie beauté, elle a des longs cheveux noirs, des yeux verts et est munie d’une peau pâle mais un corps vraiment magnifique. Je me sentais extrêmement attiré par cette personne, sans trop savoir pourquoi, elle m’avait seulement fixée pour quelques instants. Je dois être fort et résister cette femme. Je suis certain qu’elle ne me veut pas du bien. Peut-être qu’il s’agit même de cette princesse des loups garous. J’ai essayé de la poursuivre, mais je l’ai perdue en bas proche des saunas et piscines. J’y ai rencontré deux hommes qui ne semblent pas être des moinse, ni des démons. Peut-être que ce sont des visiteurs comme moi. Ils ont parlé de Dieu et de plusieurs contes de Jésus. Ils ont remarqué que le monastère était assez étrange et qu’ils voudraient le quitter assez vite. Ils ont nommé le nom d’un troisième visiteur qui est disparu depuis hier soir. Je pense qu’il pourrait avoir découver quelque chose qu’il n’aurait pas dû voir. J’ai essayé de parler avec les visiteurs, mais je n’avais pas vraiment le temps, car les moines sont venus et nous ont surveillé et fixé tout le temps. On nous avait signalisé qu’on voudrait se rencontrer dans la chambre d’un des deux autres hommes. Il dort dans une chambre proche d’une petite chapelle souterraine dans le côté est du bâtiment.

    Je suis donc retourné dans ma chambre et j’y ai trouvé un livre assez intéressant qui était caché sous mon oreiller. Il s’agit d’un petit cahier dans lequel quelqu’un avit collé plusieurs articles de quelques journaux du Liechtenstein et de la Suisse. Les articles datent des annés quatre-vingts. Il y avit deux personnes qui ont voulu visiter le monastère et ne sont jamasi retourner. Les moines ont juré qu’ils n’avaient jamais accueilli ces deux personnes. D’autres articles parlent du corps d’un homme mort qui a été troue dans une forêt à quelques kilomètres d’ici dans un état terrible. Il a été blessé et quelque chose semblait l’avoir amngé à moitié. Dans un article, quelqu’un a nommé qu’il pourrait s’agir d’un loup. Moi je pense plutôt à un loup garous ou à un goule.

    Maintenant que j’ai fini de lire tout ces articles, je me prépare d’aller prier dans la chapelle et de prendre mon souper dans la grande salle avec les autres moines. J’ai hâte à rencontrer les deux autres visiteurs après. Je veux découvrir tout les secrets de ce monastère du diable.

     

    Quarante et unième chapitre – Le portier


    Andrej ferma le journal intime après que tout le monde avait lu la dernière phrase des descriptions de la première journée. Maintenant, beaucoup de choses semblèrent plus logiques aux trois combattants réunis par le destin du monde. Ils surent maintenant que l’archéologue assassiné aurait probablement vraiment pu les aider et qu’il a probablement déjà été découvert par les démons avant leur arrivée. En plus, ils eurent maintenant la descriptin de la quatrième personne choisie, le fils de la personne qui se trouva maintenant dans un état terrible, car elle n’avait pas réussi à gagner la bataille contre les forces de l’enfer dans ce monastère. Les trois compagnons furent étonnés que cette personne leur avait indirectement en tuant le seigneur des vampires en Australie. Il ne resta donc seulement ceux de l’Afrique et de l’Amérique qu’ils devraient combattre. En plus, il resta encore la troisième personne choisie à dévoiler, mais le jeune prince avait une légère idée. Il pensa à la belle fille mystérieuse, celle qu’il avait vu dans ses visions et rêves et qui semblait venir du Québec. À part de l’union pour la bataille finale, le prince sentit que quelque chose d’autre pourrait attacher cette fille à lui, mais il n’en avait pas encore la preuve. Ils ut seulement qu’il était impatient à rencontrer cette personne. Il sécoua la tête et essaya de se concentrer sur des affaires plus actuelles et dangereuses. Ce monastère était déjà devenu le tombeau du père du quatrième enfant choisi et ils ne voulurent pas vivre le même destin que lui. Le prince eut le goût de continuer à lire ce journal intime, mais il n’eurent pas le temps actuellement. Ils voulurent trouver quelqu’un au monastère pour s’y installer avant d’être remarqué à côté d’un corps mort, sinon cela serait la preuve pour les adversaires qu’il avaient découvert un de leurs secrets et ils auraient essayé de les confronter ou tuer immédiatement.

    Les trois combattants se mirent debout et quittèrent la pièce pour retourner dans le couloir. Le russe avait pris l journal intime et l’avait caché sous son grand manteau. Les trois amis se tournèrent à gauche et poursuivirent le couloir. Dehors, il faisait déjà un petit peu plus noir et le monastère sembla encore être quitté par tout le monde. Le jeune prince allemand descendit quelques marches et se retrouva dans la cour intérieure du monastère. Il vit le vieux puits fermé par des plaques de bois et un petit lac avec un petit pont de bois au-dessus. Plusieurs bancs se trouvèrent sur le bord d’un petit ruisseau qui ména dans le lac migon. Tout avait l’air idyllique et beau, mais ce n’était qu’une fassade.

    Le prince traversa le pont et monta quelques marches pour franchir un autre couloir qui lui ména vers une porte solide. Il l’ouvrit et se retrouva dans une grande salle qui ressembla quasiment à la salle d’entrée d’un petit hôtel avec une réception. Les lumières, il s’agissait des chandelles fixées aux murs et sur les tables, étaient toutes allumées, mais il ne vit encore personne. Il voulut déjà faire demi-tour et retorner dans le couloir pour s’essayer à une autre porte, quand il entendit la voix enrouée et sombre.

    « Est-ce que je puisse vous aider, jeune homme? »

    Le prince ne s’attendit pas à quelu’un qui aurait pu se trouver dans la salle et tressaillit. Il se tourna et vit les contours d’un grand homme qui se trouva dans l’autre coin de la réception, proche d’une autre porte. Le prince ne vit pas son visage eut des frissons quand la personne s’approcha tout tranquillement de lui. Peu à peu, il fut capable de voir plus et tout les détails furent dévoilés jusqu’à ce que le prince fut certain qu’il connaissait la personne en avant de lui. Il s’agissait du meutrier qui avait tué l’archéologue et qui avait déjà mangé avec eux dans la petite auberge en Suisse. Le prince essaya de cacher ses émotions et voulut faire sembalnt qu’il n’y avait rien, mais il remarqua qu’il eut de la misère. Il pensa d’avoir remarqué un petit sourire moqueur et désobligeant. Il regarda encore plus attentivement, mais son vis-à-vis ressembla tout à coup à la personne sans émotions qu’elle était avant. Le jeune prince ne sut pas trop quoi dire, car il avait du respect ou même peur de ce personnage diabolique, tout dressé en noir et avec un visage long et pâle. Heureusement, son compagnon russe se remit plus vite de son choc et se présenta assez dur à cuire pendant ces instants. Il avait repris toutes ses forces qu’il avait semblé d’avoir perdu lorsqu’il avait rencontré sa femme au château noir en Suisse. Cet incident horrible lui avait encore confirmé et soutenu de continuer la grande bataille, même s’il pourrait laisser sa vie pour cela un jour, car il n’avait plus rien à perdre.

    « On est venu pour chercher la présence de Dieu et afin de nous reposer. On vient de très loin et on a suivi la grande réputation de ce monastère et on décidé de nous reprondre d’une vie turbulante et menacante ici chez vous. On voudrait seulement rester pour quelques jours, on ne sait pas encore exactement combien de temps il nous faudrait finalement. », expliqua le russe.

    Le prince avait le goût de rire ouvertement de toute cette situation étrange. Deux personnes face à face qui mentirent énormément et chacun sut que l’autre était son ennemi, mais cacha la rage ou le mépris envers l’autre.

    Le meurtrier en noir, souria d’une facon perfide et méchante et s’approcha de la reception. Il se tourna vers une étagère où pendaient plusieurs clés sur des crochets. Il prit trois clés différentes et se tourna tranquillement envers les trois combattants contre les forces de l’enfer.

    « Il nous reste encore trois chambres exactement. Malheureusement, les trois chambres ne sont pas dans le même côté du bâtiment. C’est à vous de choisr chacun votre chambre. En ce qui concerne les paiements, on s’occupera de cette affaire plus tard. J’espère que vous faites comme chez vous et que vous allez apprécier votre séjour chez nous au nom de Dieu. », dit-il doucemnt et même un peu ironique.

    Le jeune prince avait su qu’il y avait un problème quelque part. il était certain que le meurtrier voulait les séparer pour être capable de les attaquer mieux pendant la nuit, une action intelligente. L’un ne devrait pas aider l’autre et il eut sûrement l’intention d’installer des gardines afin de surveiller les nouveuax invités.

    Mais le prince et ses deux compagnons n’avaient pas vraiment le choix. S’Ils voudraient découvrir les sécrets diaboliques et confronter les créatures de l’efer, ils ne pourraient le faire que pendant la nuit au monastère. Ils voulurent quand-même rester ensemble ou rester au moins en contact pour être sûr que personne ne pourrait les attaquer quand ils seraient seuls.

    Andrej réfléchia encore pour un moment et fixa le jeune prince et son compagnon africain après. Il firent un petit signe afformatif avec leurs têtes, même s’ils avaient des soucis. Andrej accepta donc et prit les trois clés du portier criminel. Sa main était grise, grande et maigre, on y vit des os sous la peau qui ressembla a du pergament et plusieurs vieilles cicatrices.

    « C’est sûrement le bon choix. Les numéros de vos chambres sont indiqués sur ls clés. On va encore avoir une réunion pour la prière du soir vers neuf heures dans la petite chapelle qui se trouve, si vous continuez le couloir dehors par votre droite, au bout du chemin. Si vous avez faim, je pourrais encore vous donner les restes du souper, on a mangé du ragoût du sanglier avec des Spätzle et une salade. Le dessert était du gâteau Forêt Noir. », offrit le faux moine gentiment.

    « Non, merci, on vient de manger à Vaduz. », répliqua le june prince allemand, car il craignit que le portier pourrait mettre du poison dans leurs plats, il ne voulait pas risquer de manger maintenant, même s’il savait qu’ils devraient amnger de quooi le lendemain matin avec les autres moines. Il eut l’espoir que toute l’action pourrait déjà être terminé à ce point. Il sentit que la nuit était la nuit des décisions importantes et il eut des frissons quand le portier lui fixa et souria, comme s’il lisait les pensées de l’enfant choisi. L’allemand eut soudainement peur, car il réalisa que le démon pourrait être capable de faires des affaires de même, ce n’était pas un être humain ordinaire, mais un grand ennemi puissant.

    « C’est bien. Voudriez-vous m’excuser, j’ai encore du boulot à faire. », répliqua le moine et le jeune prince allemand fut certain qu’il voudrait avertir ses compagnons ou son maître le plus tôt que possible.

    « J’aurais encore deux dernières questions, Monsieur. », s’excusa Mamadou qui n’avait rien dit depuis longtemps.

    « Ne vous gênez pas de me les poser. », répliqua le moine avec un faux sourire et ses yeux brillèrent d’une froideur inquiétante.

    « Est-ce qu’il y a encore d‘autres invités au monastère? Vous savez que, si on parle avec eux, cela serait plus facil de s’intégrer tout de suite et de s’échanger. »

    « Vous devriez vous échanger avec nos moines sérieux. Il n’y avait pas d’invités ici depuis plusieurs mois. », mentit le portier.

    « D’accord. Je vais vous poser ma dernière question. J’ai déjà regardé un peu les alentours et je vois partout des images d’Azazel et très rarement des croix. »

    « En ce qui concerne les croix, c’est assez facile à expliquer. Les croix sont vieilles et fait de bois, on a demandé à quelqu’un dans la capitale de nous construire une nouvelle livraison. Elle devrait arriver dans deux jours au plus tard. Mais, dans vos chambres, vous y trouvez encore des croix aux murs qui sont plus récents. En ce qui concerne les images que vous avez vu, j’ai des doutes en ce qui concerne votre interpretation. Il n’y a pas de symboles d’Azazel. C’était un démon, un vrai traître de notre religion. », se tira le portier des affaires.

    « Une dernière affaire, Monsieur le portier. En arrivant, j’ai vu une femme à côté d’une fenêtre du monastère. Comment ca se peut? », demanda Mamadou encore une fois.

    « Vous devriez vous tromper, vous vous avez fait avoir par une hallucination. », reponda le démon assez brèvement.

    « J’insiste que j’ai vu une femme. »

    « Il fait très noir dehors et il est tard. Vous seriez mieux de mettre vos bagages dans vos chambres. Le repos nocturne est à dix heures et demi. Vous n’avez pas le droit d’utiliser des appareils techniques au monastère, ni le droit de fumer. Si vous êtes à la bibliothèque pour des recherches, vous avez besoin d’une inscription chez moi, e vous remettrais une sorte de carte d’identité. », énuméra le portier sans vraiment reopondre à la réplique de son vis-à-vis.

    « Il y a encore une section fermée dans la bibliotheque. », remarqua Mamadou.

    « Vous m’énervez avec ces répliques. Est-ce que vous êtes un fils de Dieu qui cherche un endroit pacifique ou est-ce que vous êtes un policier? J’ai d’autres choses à faire. On se reverra pour la messe nocturne. Veuillez m’excuser. », dit le portier démoniaque et on vit de la colère dans ses yeux et que ses doigts formèrent un poing maintenant. Il se tourna sur ses talons et s’approcha d’une autre porte. Il l’ouvrit et partit sans regarder encore une fois les nouveaux invités.

    Tout le monde pensa les mêmes affaires et chacun des trois combattants était certain que le monastère cacha un énorme secret.

    « Qu’est-ce qu’on fait maintenant? », demanda le jeune prince.

    « On ira inspecter les chambres. », dit Andrej et distribua les clés.

    « il nous faudrait trouver un plan. », remarqua Mamadou et s’approcha de la réception où il vit une petite carte. Il la regarda attentivement et regarda les lettres sur les clés de chacun.

    « Il y a trois côtés du bâtiment où on pourrait dormir. Le jeune prince me semble avoir la chambre « A 13 », qui se trouve en proximité de la région où on avait trouvé le mort. Andrej, tu as la clé avec le numéro « B 66 », ta chambre devrait se trouver proche de la chapelle que le portier avait nommé. La mienne se trouve quelque part dans le bâtiment ici, j’ai le numéro « C 23 ». », expliqua Mamadou.

    Le jeune prince eut des frissons quand il remarqua les symboles des chiffres de leurs clés. Le numéro vingt-trois qui lui souvint d’un film ou livre d’horreur qu’il avait vu ou lu quelque part.

    « Bon, on va y aller. Il est dix-neuf heures et quarante-six minutes. Je dirais qu’on devrait se rencontrer dans ma chambre dans trois quarts d’heures. », proposa Andrej.

    « Est-ce que ce n’est pas trop dangereux de se séparer déjà maintenant? », douta le priince allemand.

    « Non, on est venu pour prendre un grand risque et on ne va pas mourir lorsqu’on se sépare pour quelques minutes. Si on sait toujours où les autres se trouvent et si on organise des rencontres fréquentes, tout ira bien. », repondit le russe.

    Le prince sut qu’il avait raison et accepta la proposition.

    « Pourquoi est-ce qu’on se rencontra chez toi? », demanda-t-il.

     « Je vais garder le journal intime, si cela ne vous dérangerait pas, et on y lira encore quelques passages avant la prière nocturne. Il faudrait être informé le mieux que possible et c’est pour cette raison qu’on lira des extraits. L’auteur a vécu des évenements semblables aux notres. Si on apprend de ses fautes, on serait capable de faire mieux et les éviter. », expliqua Andrej.

    « Je trouve que c’est une bonne idée. », affirma Mamadou avec sa voix douce et base.

    « Avant, on aurait le temps de prendre une petite douche. Et pendant la nuit, on va attaquer les maudits démons pour qu’ils crèvent par nos mains et pour qu’ils soient éternellement rejetté au feu de l’enfer. On n’a rien á perdre. », dit Andrej.

    Le prince pensa au corps mort qu’ils avaient trouvé seul dans la baignoire et il ne voulut pas vraiment se laver. Il voulut quitter ce monastère démoniaque le plus vite que possible et confronter leurs ennemis ensemble. Il avait remarqué depuis quelque temps qu’Andrej agit plus risqué et insouciant depuis la mort de son ancienne femme. Il n’avait plus rien à perdre et n’avait pas peur d’être seul ou de confronter ses ennemis. Le prince comprit le russe, mais il eut peur qu’il pourrait tout les mettre en danger avec ses actions. De l’autre côté, il crut qu’il soit important d’avoir quelqu’un entre eux qui pourrait motivier les autres et les faire oublier leur peur. Dans le fond, le prince ne connut pas encore assez leur son compagnon africain pour juger, s’il avait un tel goût du risque que le russe, qui s’alluma une cigarette et partit maintenant par la porte sans les regarder encore une fois. Le jeune prince allemand était la seule personne des personnes choisies par les destin qui n’avait pas encore perdu quelqu’un, soit sa femme, son frère ou son père et il eut peur que quelque chose de même pourrait se développer prochainement. Il ne voulut pas perdre ses parents, les meilleures personnes qu’il avait connu dans sa vie jusqu’à ce moment et eut soudainement envie de téléphoner avec eux, d’entendre leurs voies et être rassuré qu’ils aillent bien. Ils étaient sûrement morts d’inquiétude pour lui. Il ressentit dans ces moments, à quel point sa famille était importante pour lui. Il se jura que n’importe ce qui pourrait se passer après les événements au monastère, qu’il voudrait retourner en Allemagne. Il était sûr que la chasse aux démons ne serait pas finie après une victoire au liechtenstein, mais il ne pourrait pas se battre tout le temps dans son âge et vivre avec deux hommes qui étaient presque des étrangers pour lui. Il se sentit tout à coup seul et insécuritaire. Il pensa á la fille qu’il avait vu dans ses visions et eut une grande envie de la rencontrer, de savoir qui était cette personne importante. Il avait rêvé d’elle pendant la dernière nuit dans l’auberge en Suisse, comment elle lui avait souri, comment elle avit touché sa main, comment elle l’avait regardé profondement dans les yeux et comment ils étaient partis par quelque part envers le soleil, envers l’infinité ou l’éternité.

    « Je sens que tu as peur. », remarqua Mamadou qui était resté tranquillement à côté de lui. Le prince mne répliqua rien et regarda par terre avec des larmes dans ses yeux. Pourquoi avait-il tant a investir au destin du monde? Pourquoi il lui faudrait tuer des démons, se battre? Il ne voulut pas lutter ou tuer n’importe qui.

    « Tu es encore si jeune, si innocent et calme. Je te jures que je donnaerais ma vie pour te défendre. J’en suis sûr qu’Andrej donnerait la sienne aussi. On a perdu tout ce qu’il était

    important pour nous. C’est notre destin de sauver ton innocence. Je pourrais m’imaginer facilement que tu voudrais aimer retourner chez toi, dans ton pays. Tu pourrais y retourner bientôt, mais un jour t’abondonnerai ces pensées, tu devrais partir pour ton propre destin et celui du monde en entier pour la bataille finale. Je ne sais pas quand ce jour arrivera, amis je sens que la bataille éternelle entre le mal et le bien, le ciel et l’enfer aura bientôt une fin finale, la décision est proche. La clairvoyante me l’avait dit que cela serait la toute dernière chance. Tu es notre sauveur, le troisième après Jésus Christ et Jacques de Molay, le dernier maître de l’ordre du Temple. », expliqua Mamadou.

    « Est-ce que tu sais un peu plus sur ce dernier maître de l’orde du Temple? », demanda le jeune prince allemand, qui sut plein d’affaires sur Jésus, mais presque rien sur le sauveur précédent. 

    « J’en sais pas plus que ce que je te viens de dire. », s’excusa Mamadou.

    « Qui pourrait m’aider? », se questionna l’enfant choisi ouvertement.

    « J’aurais un epetite idée. », commenca le compagnon africain doucement.

    « Est-ce que tu veux me la nommer? », demanda le prince allemand.

    « On se trouve dans un monastère et l’histoir de l’ordre du Temple est fortement liée avec celle de l’église catholique. Si tu es chanceux, tu trouverais des livres dans la bibliothèque. »

    Le prince souria. Cela était une meilleure idée que d’aller dans sa chambre et s’inquiéter. Il ne restait que le problème qu’il ne posséda aucune carte pour avoir le droit d’y aller.

    Comme par pure hasard, le portier bizarre entra par la porte à côté de la réception et regarda les deux combattants au nom du destin du monde.

    « Puisse-je vous aider. », demanda-t-il formalement. Il parla sans émotions, comme toujours.

    « Oui, j’aimerais avoir une carte pour aller dans la bibliothèque. », répliqua le jeune prince allemand et remarqua le regard un peu stupéfait de son vis-à-vis.

    « Qu’est-ce que tu veux chercher là. Il serait mieux que tu ailles dans ta chambre pour t’installer et prendre un bain. », remarqua le portier.

    « J’irai le prendre après la messe nocturne. J’aimerais y faire une recherche sur l’ordre du Temple. », dit-il ouvertement.

    « Un grand sujet, plein de légendes. C’était des idiots qui ne suivaient plus les reglementations de l’égilse catholique. Ils avaient des privilèges partout. Le pire, c’était le dernier d’entre eux, Jacques de Molay. », dit le portier et le prince reconnut de la rage dans le visage du portier. Le prince réalisa qu’il était sur le bon chemin et que les démons semblaient détester ce dernier maître énormément.

    « Pourquoi? Qu’est-ce qu’il a fait? », demanda le prince.

    Son vis-à-vis voulut dire de quoi et pour un moment le prince avait l’impression que le portier criminel voulait sauter sur lui et lui frapper. Il avait de la misère à cacher ses grandes émotions, mais d’un moment `l’autre, il se reprit, souria et eut l’air tranquil et froid comme avant et comme si rien ne s’était passé.

    « Tu es encore nouveau ici. Il faudrait que je parle avec notre maître, si tu aurais le droit d’y aller. », dit le portier tranquillement.

    « Mais tout les habitants du monastère devraient avoir le droit d’y aller. », répliqua le jeune prince et ne voulut pas se distancer de son idée.

    « Tu ne m’as rien à dire. En plus, il n’y a aucun matériel sur cet ordre d’idiots. Tu devrais te reposer et prier. Ce n’est pas une école ici. », reponda le portier et se tourna encore pour quittewr la salle une autre fois.

    « C’est sûr qu’il n’a pas dit la vérité. », remarqua mamadou doucement.

    « Qu’est-ce que je pourrais faire maintenant? », demanda l’adolescent assez désespéré.

    « Je te propose qu’on y aille ensemble. J’imagine qu’il n’y a personne dans la bibliothèque, si on est chanceux. Tout le monde se repose après le souper ou se prepare pour la prière nocturne. Toi, tu vas fouiller dans les documents et moi, je vais jouer le gardien. », offrit mamadou son aide à l’enfant choisi.

    « C’est très gentil, merci beaucoup. »

    « C’est sûr, mon ami, il faut travailler ensemble, soutenir les autres. Notre force est notre unité. », répliqua l’Africain d’une facon sage et chaleureuse.

    Les deux combattants se mirent à marcher afin de retrouver la bibliothèque et ils la trouvèrent après cinq minutes seulement. La salle dans la tour ´´etait assez ahute, il y avait plusieurs escaliers, mais tout était dans un bon ordre. Il n’y avait personne et le prince se mit à chercher, mais il ne trouva rien sur l’ordre du Temple. Il voulut déjàbandonner et quitter la bibliothèque avec mamadou qui l’attendit en bas, quand il eut une idée. Il n’avait pas encore regardé la partie fermée et secrète de la bibliothèuqe, fermée par une grande porte solide. Il eut le sentiment certain, qu’un secret se cacha derrière ces portes. Mais il ne sut pas comment le découvrir et franchir la barrière.

    Il retourna en bas pour aller voir Mamadou et lui demander. Celui pensa un peu et eut finalement une idée qu’il ne voulut pas prononcer tout de suite. Le prince insista et finalement, il était capable de convaincre son mi africain.

    « Dehors, la tour est envahie par de la lierre. On pourrait risquer d’y monter, les racines sont assez stables, mais c’est dangereux quand-même. J’ai regardé les topurs en entrant au bâtiment. Elles ont une seule fenêtre, presque au bout. », expliqua Mamadou.

    Le prince eut des soucis d’y monter pendant la nuit, le risque de se faire découvrir ou de tomber était assez grand. Il pourrait encore chercher des informations concernant ce sujet plus tard à une autre place. Mais de l’autre côté, il s’imagina qu’il pourrait y trouver des informations sur le monastère en général et sur ces ennemis et leurs correspondants aussi, peut-être qu’il pourrait même prendre en connaissance le siège exact des autres seigneurs des vampires ou il pourrait s’en rendre compte d#autres rmes utiles contre les forces de l’enfer. Il voulut donc en tout cas essayer d’y aller.

    « Est-ce que la fenêtre n’est pas grillagée comme les autres? », demanda le prince.

    « Non, les tours sont les seuls endroits où les fenêtres ne semblent pas être grillagées. »

    « Tu as bien fait attention, Mamadou. »

    « C’est un instinct, quelque chose que j’ai appris En Afrique dans le djungel quand j’étais jeun. Là-bas, c’est important de reconnaître ses alentour au complet pour voir et analyser tout les dangers possibles. », s’expliqua-t-il.

    « C’est bien. Je vais essayer d’y aller. Mais il est rendu plus tard que prévu. On a encore notre rendez-vous avec andrej dans quelques minutes seulememt. », remarqua l’enfant choisi.

    « Qu’est-ce que tu proposes d’abord? »

    « On va y aller après la prière nocturne, mais il faudrait faire attention. »

    « C’est sûr. Je vais t’accompagner et t’aider, mon ami. »

    « D’accord. », répliqua le prince et les deux combattants quittèrent la bibliothèque afin de se réunir avec leur compagnon russe dans sa chambre.

     

     

    Quarante-deuxième chapitre – Le journal intime de Sydney Leoni – Découvertes et dangers



    Jour 2

    Monastère Saint-Hubertus, Liechtenstein, mercredi, le 18 mai 2005

     

    Il y a plein d’affaires qui se sont passées depuis hier soir. Je suis encore choqué, irrité par tout ce qu’il s’est passé. Hier, après le souper, je voulais rencontrer les deux visiteurs, mais par hasard, j’ai été témoin d’une rencontre d’un des visiteurs avec le portier étrange. Le visiteur jurait qu’il avait vu le cadavre du troisième visiteur. Il avait dit que le monsieur s’était suicidé, il s’était pendu dans sa chambre. Le portier ne lui écoutait presque pas, mais finalement, il a été convaincu de suivre le visiteur, car celui voulait lui montrer le corps mort. Je les ai poursuivi et quand les deux étaient arrivé dans la chambre, il n’y avait rien ou plus rien. Le visiteur n comprenait plus rien, il exigeait d voir les autres chambres à côt´pour être sûr qu’il ne s’était pas trompé de place, mais même dans les autres pièces, il ne voyait rien.

    Le portier et le visiteur ont donc quitté le couloir et j’ai pris la chance de jeter quelques coups d’œil dans la chambre. Il n’y avait vraiment aucune trace d’un cadavre ou d’autre chose. Aucune tache de sang, aucune odeur étrange, aucun détail.

    J’ai donc quitté la pièce et je suis retourné pour un moment dans ma petite chambre et j’ai ouvert le livre avec les articles de journal dedans. Je l’avais laissé sur ma table de lit et j’y ai trouvé une lettre, une demie-page écrite par le troisième visiteur.

    J’explique assez brèvement ce qu’il m’a écrit : Il disait qu’il était le beau-fils de l’archéologue de Hochgraninghausen qui m’avait aidé. Il disait qu’il y a une semaine que sa fiancée et future femme, la fille de l’archéologue avait disparu bizarrement. Il disait que la dernière affaire qu’elle avait fait était la recherche concernant un article parlant de ce monastère. Elle parlait des victimes disparues et de la fondation étrange de ce monastère. Une légende disait que l’ancien seigneur des vampires de l’Europe avait bâti ce bâtiment ici afin d’y résider. Il était marrié avec la reine des loups garous et la tradition de la famille avait prévu que les fils de ces deux devraient toujours marrier, soit une noblessedes loups garous, soit un descendant de la famille royale des vampires. Mais un jour, une vampire nommé Tristania, est tombée amoureuse d’un simple être humain et elle a été obligé de marier le loup garous suédois Jan Eklund von Hommersboldt. Elle l’avait réfusé et a fait assassiner son futur mariqu’elle n’aimait pas et s’est échappé avec son amoureux. Ils se sont installés à Venise, en Italie. Jusqu’aujourd’hui, les deux familles, celle du seigneur des vampires avec celle des reins des loups garous contre la nouvelle famille de Tristania se détestent et s’attaquent ouvertement. MariaLorena Tattaghlia, reine des loups garous a plus tard fait détruire deux résidences des descendants de Tristania à Florence. La fille de Tristania avait assassiné le fils du seigneur des vampires. En ce qui concerne les loups garous et les vampires, les deux familles se sont disputées énormément et ont rompu leur pacte. Le seigneur des vampire a plus tard quitté le Liechtenstein et construit un autre château en Suisse, le destin de la famille des loups garous n’est pas tant certaine. On suppose que les loups garous avaient quitté la région pour s’installer à Vienne et ne sont retournés que plus tard.

    D’après moi, les deux familles sont aujourd’hui en train de se réunir et de reformer lur ancien pacte. C’est une action assez dangereuse pour tout le monde, car avec des forces unies, ils vont essayer tout pour élargir leur territoire et cela va coûter des vies de nombreux êtres humains, j’en suis certain.

    Je devrais trouver la date d’un probable mariage et essayer de l’éviter et de tuer un des deux, mais c’est assez difficile. Je ne sais pas où la reine des loups garous ou le fils du seigneur des vampires se trouve. Le monastère est bien protégé. Je devrais réfléchir à trouver une solution.

    Pour revenir à ce beau-fils de l’archéologue, son séjour ici afin de trouver sa paix mentale n’était rien que du camouflage, comme moi, je l’avais fait ainsi. La lettre m’a dévoilé qu’il avait trouvé l’identité du fils du seigneur des vampires, ce n’est personne d’autre que le portier bizarre. Il parlait encore de ses peurs que quelqu’un pourrait s’en rendre compte de ses découvertes et il avait entendu parlé de moi par une lettre secrète de son beau-père. Il m’a laissé cette lettre plein d’inquiétude vers la fin avec une photo de sa fiancée. Elle est assez belle. Elle est assez petite, peut-être un mètre et soixante centimètres, ell a des cheveux longs et bruns, des yeux bruns ainsi et un beau sourire avec des dents blancs et brillants. Elle a une cicatrice en as de son épaul gauche qui date d’un accident de voiture en Grèce quand elle était jeune et participait à un voyage culturel avec son père.

    Après ce message, je voulais aller voir les deux visiteurs pourleurs parler aussi de mes découvertes. Mais, avant, il y avait encore la messe nocturne. J’y voyait le visiteur qui n’avait pas découvert le cadavre, mais je ne voyais pas l’autre. Après cette messe, quelques moines parlaient dans un coin et regardaient l’autre visiteur tout le temps.Ils regardaient moi aussi, mais avec moins d’inquiétud ou affection dans leurs yeux froids. 

    Je les ai surveillé de ma part maintenant et après la messe, ils sont allé dans les catacombes. Je n’ai pas réussi d’aller plus loin, il y avait trop de gardiens qui m’avaient averti. J’en suis certain, qu’ils cachent un grand secret dans les catacombes noires.

    Je suis donc retourné pour aller voir l’autre visiteur qui avait l’habitude d’aller au sauna avant de se coucher. Je voulais y aller quand j’ai entendu des bruits bizarres, j’ai vu des ombres dans le brouillard et je me suis tranquillement approché quand j’ai vu sortir un ombre par une autre porte dans le sauna. J’ai essayé de le poursuivre en cachette, mais il était trop vite. C’était un moine aussi grand que moi, mais ila légèrement boité.  Je pense quand-même qu’il est allé dans la direction des catacombes. Je vais y faire des recherches ce soir. Pour le moment, je suis asez choqué de ce qui s’était passé après ma poursuite d’un moine qui avait fait de quoi dans le sauna.

    Je suis retorné dans le sauna et j’y ai trouvé le visiteur, assasiné par deux coups d’un couteau. Je n pense pas qu’il s’agissait d’un rituel. J’ai essayé d regarder la situation un petit pu plus, quand j’ai entendu des voies qui e sont approchées de moi.

    J’ai encore réussi de me cacher dans un coin plein de brouillards et j’ai vu que deux moines qui sont venus pour chercher le cadavre Ils ont parlé nsembl, il se sentaient en sécurité. Ils avaient dit qu’ils voudraient déplacer le cadavre dans la forêt quelque part, ensemble avec le cadavre du premier visiteur. Ils ont parlé plus de lui et son suicide. Ils ont nommé sa fiancée qui avait été transformée dans un loup garous féminin. Ils niaisaient et diaient que le premier visiteur, le beau-fils de l’archéologue n’a pas été capable d’accepter la vérité et perdre ainsi l’amour de sa vie. Ils parlaient encore du troisième visiteur avec lequel ils voudraient faire des expériences révolutionnaires et uniques au monde. Ils se plaignaient un peu que plein d’ennemis s’intéressaient pour le monstère et qu’ils ont été obligé de tuer plusieurs visiteurs. Ils ont aussi parlé de moi-même et qu’ils n’étaient pas encore certains de mon identité et mes planifications. Ils pensaient que je sois un agent, mais il n’avaient pas encore eu une preuve pour cela. Après, ils ont pri le cadavre et on supposé que le goule du Liechtenstein aurait encore de quoi à manger.

    Moi, j’ai quitté le sauna après que les autres étaient partis et je me suis installé dans ma chambre. Je pensais d’avoir entendu des cris venant des cavernes, probablement ceux du dernier visiteur qui était encore vivant à part de moi. Je me questionne ce qu’il pourraient faire avec lui. Je voulai chercher des informations, dans le bureau en arrière de la réception ou dans le secteur

    secret de la bibliothèque ou dans les catacombes.

    Mais pendant cette nuit, trop de personnes étaient reveillées et je ne voulais plus rien risquer. Je me suis enfermé dans ma chambre, sans être capable de dormir tranquillement.

    Le matin, tout a été normal. Le déjeuner, les prières abstraits sans nommer le nom de Jésus, les moines silencieux qui ne parlaient pas. Le portier ou fils du seigneur des vampires m’a donné ma carte d’identité pour la bibliothèuqe finalement. Sans avoir le droit d’inspecter la section secrète, évidemment. Je n’ai trouvé rien de spécial. Il est presque midi, le diner m’attend. J’attends la soirée avec impatience pour commencer mes recherches. Je vais en plus écrire une lettre à mon fils afin de lui parler de mes progrès et ma peur. Je m demande, si je vais être capable de lui envoyer le papier de quelque part. Je devrais peut-être quitter le monastère, mais je verrai ceci encore plus tard…

     

    Quarante-troisième chapitre – L’escalade de la tour


    La messe nocturne avait été tranquille, mais assez sombre et mystérieux pour les trois compagnons, qui s’étaient dépêchés après avoir lu une autre page du journal intime. Les moines s’étaient déjà rassemblés dans la petite chapelle, qui était seulement légèrement éclairée par quelques chandelles. Les trois personnes choisies par le destin n’avaient vu ni d’autel, ni de croix dans la chapelle. Les moines n’avaient pas bougé pendant les prières, un prêtre avait joué à l’orgue, mais seulement des mélodies moins harmoniques qui avaient provoqué des chairs de poule chez les trois nouveaux arrivants. La rencontre bizarre avait été finie une trentaine de minutes plus tard. Les compagnons avaient senti et remarqué les regards critiques ou même menacants des autres moines. Ils étaient sur qu’ils savaient qu’ils n’étaient pas venu pour se reposer des stresses de la vie. Aucun membre de cet ordre leur avait dit bonjour ou souhaité bienvenu. Les moines partirent en haut dans leurs chambres, aucune personne ne se proména vers la salle où on avait la possibilité de regarder la télévision ou jouer aux cartes, et aucun membre ne se dirigea vers les catacombes. Tout le monde semblait vouloir se retirer et éviter le moindre contact avec les trois étrangers qui se retrouvèrent dans le foyer avec la télévision. Andrej essaya de faire fonctionner cet appareil et une radio sur une des tables, et il eut une preuve pour ce qu’il avait déjà pensé avant, car aucun appareil ne fonctionna. Ils étaient absolument séparé du reste de la planète dans ce monastère. Ils n’avaient pas encore essayé les téléphones, mais Andrej était convaincu qu’ils ne fonctionnèrent pas non plus. Ils s’étaient donc rassemblé pour planifier et clarifier ce qu’ils désiraient faire pendant la nuit, car ils n’avaient pas eu le temps avant la messe. Andrej avait vraiment pris sa douche et après, ils avaient seulement lu le journal intime du père du quatrième et avant-dernier enfant choisi.

    Le jeune prince expliqua assez directement qu’il voulait aller dans la partie secrète de la bibliothèque et Mamadou lui confirma de lui accompagner. Andrej proposa qu’ils devraient se séparer et qu’il voudrait inspecter la récéption ou d’autres chambres où il pourrait trouver des documents ou indices concernant le fils du seigneur européen des vampires, la reine des vampires et le mariage abstrait. Mamadou avait des doutes que cela soit une bonne idée de se séparer, mais Andrej ne voulais pas disctuer et remarqua qu’ils avaient évidemment plus de chances de trouver des affaires importantes en cherchant à deux places différentes en même temps. Il avait amené son pistolet avec des balles en pur argent qu’il avait caché dans son manteau et plus tard sous l’oreiller dans sa chmabre. Les trois combattants décidèrent donc de se séparer et de se rencontrer vers minuit dans la chambre d’Andrej pour planifier d’autres actions ou lire dans le journal intim. Même si Andrej avait l’air sûr et courageux, le jeune prince était plutôt contre une séparation. Il savait qu’il y avait beaucoup d’ennemis dans ce monastère et qu’Andrej risquait de se surprendre en faisant des recherches. Le jeune prince argumenta qu’Andrej serait en danger, si quelqu’un lui remarquait et qu’il n’aurait pas de chance de gagner un tel conflit contre plein de moines. Le jeune prince dit que l’ennemi n’attendrait que le moment où les comapgnons seraient séparés pour pouvoir les attaquer. Andrej ne voulait rien savoir de ces soucis ou doutes de ses actions et confirma qu’il n’avait plus rien à perdre et qu’il avait plus d’expérience que les deux autres. Le jeune prince résigna et accepta la décision de son ami. Il sut que le russe était trop têtu et vaniteux pour changer ses idées. Ils se quittèrent donc en se souhaitant bonne chance.

    Le jeune prince allemand et son compagnon africain quittèrent le château par la grande porte d’entrée et observèrent leurs alentours, mais ils ne virent personne. Tout les moines semblèrent être absent et tout était bizarrement tranquil. L’enfant choisi se dirigea dans l’abris des ombres des murs du bâtiment vers la grande tour qui était parsemée par des vrilles de lierre. Le prince inspecta la tour plus attentivement et eut une chair de poule en pesant qu’il voudrait monter par ce chemin afin d’entrer dans la section sécrète de la bibliothèque. Il était quelqu’un de sportif, mais pas trop agile et il avait même desfois le vertige. La tour ressembla à un monument d’avertissement noir et inquiétant. La lumière de la pleine lune éclaira le monastère et le prince eut peur quand il pensa que la nuit de la pleine lune était le moment pendant lequel les démons semblèrent être le plus fort. Il était certain que cette nuit porterait une décision importante concernant la bataille entre le bien et le mal qui durait depuis des millénaires. Tout á coup, le prince entendit une voix animale qui hurla quelque part dans la grande forêt nocturne qui les entoura. Le jeune prince se tourna et regarda affreusement ses alentours en s’attendant à une attaque imprévue quand une deuxième fois répéta le même son déséspéré. Le prince pensa à la reine des loups garous et pensa qu’elle aurait pu établir une armée de partisans qui devraient surveiller le monastère et attaquer chaque intrus inconnu. Le prince fut certain que les loups garous, dont il s’agissait sûrement, eurent encore plus le goût de chasser leur proie pendant une telle nuit. Le jeune prince allemand toucha sa croix d’Ezékiel qui se trouva, attachée à une chaine, autour de son cou. La croix était froide comme si elle n’était qu’un joyau ordinaire, mais le prince savait comment il pourrait l’activer, même s’il ne connaissait qu’une toute petite partie des foctions auxquelles son arme religieuse pourrait être activée. Il se tourna et fixa une autre fois la vieille tour construite de larges pierres qui montrèrent plusieurs étagements raboteux qui pourraient être utile pour une exercice d’escalade. La tour avait une auteur d’environ vingt mètres et le prince ne vit que quatre fenêtres, la première à une hauteur d’environ cinq mètres qui était barrée par plusieurs panneaux d’aggloméré, la deuxième à une hauteur d’une douzaine de mètres qui était à moitié bloquée par une grille métallique et enfin la troisième et quatrième non grillées, l’une parallèllement située de l’autre, dont Mamadou lui avait parlé et qui se trouvèrent à une hauteur d’environ seize à dix-huit mètres, juste sous le petit toît rougeâtre de la tour.

    Le prince se tourna envers son combattant africain qui regarda la tour sans peur et avec un sourire optimiste. Il mit sa main doucement sur l’épaule de son jeune compagnon allemand.

    « Quand j’étais jeune, je suis souvent monté par des arbres d’une telle grandeur dans la Forêt Vierge en Afrique central. J’ai de l’expérience et je peux t’affirmer que ceci a l’air beaucoup plus difficile qu’il ne l’est. », expliqua Mamadou en essayant de rassurer le jeune prince.

    « Moi, je n’ai aucune expérience. J’imagine que j’aurais du vertige en montant par cette tour. », avoua-t-il et eut soudainement légèrement mal au ventre en pensant à une chute possible d’une telle hauteur.

    « On va monter ensemble, je vais t’aider et rester proche e toi. Pour une telle affaire, il faut sortir de sa peau et avoir une bonne confiance. Ne regarde jamis en bas! », conseilla Mamadou qui tira par quelques racines de lierres par terre afin de constater leur stabilité. Il semblait être content avec le résultat.

    « J’ai peur que quelqu’uun pourrait nous attaquer pendant l’ascension, nous n’aurions pas la moindre chance de nous défendre. », ajouta le prince une autre pensée négative.

    « Je pense que si quelqu’un avait voulu nous attaquer, il l’aurait déjà fait. On a entendu les bruits de ces loups garous. », remarqua Mamadou doucement et regarda le prince tranquillement. Celui était assez impressionné par l’optimisme de son vis-à-vis, qui réagit si doucement et d’une facon compréhensive, même s’il n’y avait qu’environ une journée qui lui séparait temporairement de la mort de son frère en Suisse.

    « C’est étrange qu’ils nous attaquent pas. Peut-être qu’ils n’attendent que le bon moment pour nous affronter quand nous n’avons plus de chance de nous protéger. », formula le prince allemand ses pensées.

    « Je ne crois pas. J’imagine que le danger se trouve dans ou sous le bâtiment, mais non en dehors. », répliqua Mamadou.

    « J’espère que tu as raison. Sinon, il faudrait que quelqu’un reste en bas pour protéger l’autre qui monte pour un certain temps. », proposa le jeune prince, amis il svait qu’il ne se sentirait pas capable de faire l’escalade tout seul, même si cela ne durait que quelques minutes.

     « C’est trop dangereux, je pense que tu as besoin de mon aide en montant par ici, n’est-ce pas la première fois que tu fais une grande escalade? », formula Mamadou ses doutes comme s’il aurait été capable de lire dans les pensées de l’enfant choisi.

    « Tu as encore raison. On aurait dû amener Andrej, maintenant il nous manque une personne. », se plaignit le jeune prince, même s’il savait qu’il était trop tard et dangereux pour retrouver Andrej qui fit sûrement déjà des recherches dans l’arrière-chambre de la récéption du monastère.

    « C’était sa décision et on n’y peut plus rien changer. », remarqua Mamadou sans avoir l’air de sentir inquiet ou désavantagé. Le prince se demanda d’où ce jeune homme prit sa confiance.

    Mamadou souria et ne voulut plus perdre du temps et commenca à prendre la première liane de lierre. Il mit d’une facon concentrée mais décidé son pied sur dans une niche d’une mignone rupture dans le mur et se tira en haut en prenant une autre liane de lierre et monta en quelques secondes environ deux mètres. Il se tourna et fixa le prince qui se trouva encore inquiet et bouche bée par terre et hésita de monter, car il ne savait pas trop par où il devrait commencer. Mamadou se montra encore d’une facon patiente et pointa avec le doigt de sa main gauche sur une liane stable et grande et insista que le prince devrait la prendre. Celui le fit après quelques secondes et une grande respiration et se tira en haut et trouva heureusement directement une rupture dans le mur dans laquelle il mit son pied droit. Il chercha une autre liane et voulait changer de place, mais et promena son pied gauche au long du mur sans trouver une place où il pourrait trouver plus de stabilité. Il jura et prit une grande liane et fit un saut en quittant la rupture avec son autre pied. Ses mains lui firent mal à cause de la friction, ses pieds pendillèrent dans l’air et déclenchèrent par hasard plusieurs petite pierres qui tombèrent par terre. Il se tira en haut avec la force de ses mains uniquement et essaya d’ignorer ses douleurs. Il sua déjà et son visage avait pris une couleur rougeâtre à cause des efforts qu’il fit. Il ne voulut plus rester dans un tel état et voulut changer de liane quand il ne l’atteignit pas et risqua de tomber en bas. Il fit un saut, son cœur battut fortement contre ses côtes et il ne lui restait que sa main droite avec laquelle il avait encore étreint l’autre lierre. Son poids lui sembla trop lourd pour rester dans cette position, mais il ne fut aucunement capable de trouver une autre liane avec sa main ou des mettre son pied dans une niche au mur. Il avait complètement perdu son équilibre, la sueur lui coula dans les yeux, sa main lui fit énormément mal, quand le bras de son compagnon africain prit son bras libre et lui tira en haut et en sécurité avec une force énorme.

    Le prince fut capable de mettre sa main sur une autre liane de lierre et son compagnon lui lâcha. Le jeune allemand sécoua la tête.

    « Cela n’a pas du bon sens.Je ne serais jamais capble de monter par ici. », dit-il en prenant des larges respirations et enlévant sa sueur de son front en lui frottant contre la manche de sa chemise.

    « N’abandonne jamais, mon ami. Essaie de suivre mobn chemin le plus exactement que possible. », conseilla Mamadou de sa facon typiquement optimiste.

    « Je risquerait de crever ici, je ne réussirais jamais. », évita le jeune allemand qui décidé de faire un demi-tour et retourner dans le bâtiment. La peur régna sur son corps et cette escalade lui fit plus peur qu’une entière arméee de loups garous pendant ces instants.

    « Continue, mon ami. », répliqua Mamadou seulement et se tourna sans écouter le protest du jeune allemand.

    L’Africain agile prit une autre liane, s’y tira en haut et atteignit le petit plateau de la première fenêtre barrée à une hauteur de cinq mètres du sol. Il attendit son compagnon allemand qui fut

    capable d’atteindre cette niche aussi. Il réspira profondement et avait besoin d’une petite récréation pendant que Mamadou n’avait aucune misère. Après une minute, l’Africain ne voulait plus attendre, prit une liane à sa gauch et se tira en haut en attrapant une deuxième liane qui finissait soudainement en plein milieu . Il regarda à droite, fixa une liane qui était éloigné de deux mètres environ, pressa ses pieds contre le mur et fit un saut en ne touchant avec plus rien le mur. Il prit l’autre liane pendant son vol et se stabilisa directement et attendit son ami allemand qui ne pourrait pas croire ses yeux.

    Il devrait faire un tel saut risqué, sept mètres au-dessu du niveau du sol? Il serait sûrement mort, s’il manquait cette liane et il sécoua la tête et prit une autre liane pour descendre la tour. Il était quelqu’un de courageux, mais pas fou ou dégoûté de la vie non plus. Il entendit le protest de son ami africain.

    « Mon ami, si tu t’enfuis d’une telle situation déjà, comment tu veux affronter les membres du cercle des sept malédictions ou seulement la reinde des loups garous? », demanda Mamadou doucement, mais d’une facon provoquante en essayant de motiver le jeune prince.

    « Comment pourrais-je me battre avec un démon, si j’avais un cou brisé? », répliqua-t-il agressivement.

    « Est-ce que tu ne veux vraiment rien savoir de ton destin? Est-ce que tu ne voudrais pas savoir qui était les sauveurs précédants exactement? Est-ce que tu ne veux pas découvrir les points faibles et planification de tes ennemis.? », demanda Mamadou en essayant d réveille le sens de l’honneur de son jeune compagnon allemand et il vit qu’il réussit, car son compagnon se fâcha.

    « C’est de la folie. »

    « Tout ce qu’on fait, l’existance entière de ces créatures et ton destin sont une folie. Tu es capable, ce n’est pas pour rien que c’est uniuement toi, qui a été chisi pour sauver la planète. Il n’y a qu’un seul vrai enfant choisi et c’est toi. La clairvoyante n’aurait jamais choisi quelqu’un de stupide ou lâche. »

    « Je suis courageux. »

    « Donne-moi la preuve. »

    « Je t’ai sauvé de ton emprisonnement et tué les deux seigneurs des vampires. »

    « C’était avec l’aide des quatre archanges et ta croix magique. »

    « Mais c’ést moi le porteur de la croix! Est-ce que tu veux dire que je ne vauux rien et que je suis trop jeune ou faible pour combattre mes adversaires? »

    « Je ne dis rien. Je veux que tu viennes. »

    « C’est une question d’expérience, d’entraînement et de chance de monter cette tour, cela n’a aucun rapport avec ma personnalité. »

    « C’est une question de ta propre confiance en toi-même.  Viens, je vais t’aider. Ensemble, on va toujours réussir, ne t’inquiètes pas. »

    Le prince soupira et se mit à prendre une autre liane de lierre pour monter jusqu’au niveau où il y avait le trou dans la structures de ces gigantesques mauvaises herbes. Il vit son combattant africain à sa droite, éloigné de quelques mètres sûrement et il vit le trou sous lui, la distance mortelle d’environ sept mètres qui lui séparaient du sol. Le scénario était éclairé par la pleine lune et accompagné par quelques cris des loups garous venant de la forêt. Le vent souffla dans les cheveux courts et plutôt bruns et gras du jeune prince allemand. Ses yeux clairs et bleus fixèrent Mamadou qui s’unia comme un ombre avec le mur de la tour. Il approcha sa main du jeune prince et s’étira énormément pour lui aider. Mais est-ce qu’il serait quand-même capable de tenir le poids lourd du jeune prince après son saut?

    Le jeune prince sua, ses mains étaient molles et lui firent mal. Il réspira, ferma ses yeux, toucha sa croix et envoya une prière silencieuse au ciel. Il eut l’image de la belle fille de ses visions devant ses yeux, vit son beau visage, ses mèches blondes, ses yeux bruns entourés par des lunettes, sa réfléchit plus, il ferma ses yeux, l’image disparut t il sauta courageusement dans le vide.

    Il mit ses mains en avant et essaya d’attraper quelque chose, quand une force énorme lui tira par son bras gauche et lui tira en haut. Il trembla, soupira et sentit soudainement une liane sous ses mains. Il rouvrit ses yeux et sut que mamadou lui avait sauvé la vie. Il avait besoin d’une pause et n’écouta pas trop son compagnon qui lui fit des grands compliments d’avoir été si courageux et qui lui dit qu’il avait eu de la confiance en lui. Le prince lui remercia avec une voix rauque et magané et continua comme dans un état d’hypnose ou de délire de monter par des lianes et atteignit la fenêtre barrée en même temps que son compagnon africain. Il regarda en bas et fut rétiré de son hypnose quand il remarqua l’hauteur affreuse. Il commenca encore à trembler, il luin sembla qu’il suait partout et le vent joua avec ses cheveux. Il ne sentit plus de forces dansses mains et eut peur de continuer son chemin.

    « Vas-y, ce n’est que quatre ou cinq mètres qui nous séparent de la fenêtre. », motiva Mamadou qui continua déjà son chemin.

    « Je n’ai plus de force. », résigna le prince et fixa Mamadou intensément et celui sut que l’enfant choisi dit la vérité. Il était impressioné que le jeune alemand s’était aussi bien débrouillé après tout et comprit qu’il avait besoin de repos. Mais de l’autre côté, ils ne devraient peut-être pas attendre trop longtemps non plus, car ils risquèrent plutôt de ses faire poigner par des ennemies.

    « Tu devrais te cramponner à mes épaules ou autour de mon ventre, je vais te faire monter le reste. », proposa-t-il donc.

    « C’est trop dangereux, on va être trop lourd. », douta le jeune prince allemand.

    « Je vais me débrouiller pour le petit reste. Je n’aurais jamais réussi, si tu t’aurais attaché à moi pendant toute l’escalade, mais pour cette petite partie, je vais être capable. », expliqua Mamadou de sa facon optimiste et s’approcha un peu de l’enafnt choisi.

    Celui mit sesmains autour et sous les éapules de son compagnon africain et attacha ses genoux et les bas de ses jambes aussi autour du bas de son ventre. Mamadou essaya de se stabiliser un peu,fit quelques tests et fut d’accord et fit soudainement un saut pour attraper une liane. Le jeune prince eut très peur et pensa que ces moments seraient sûrement les derniers de sa vie. Il ferma ses yeux et ne put pas éviter un cri de peur, mais la liane supporta étrangement leur poids. Le prince rouvrit ses yeux, se pressa avec tout son corps contre l’Africain et ils montèrent tranquillement ce chemin moins difficile jusqu’à la fenêtre. Ètrangement, elle était un peu ouverte et le jeune prince allemand quitta l’attachement avec son compagnon africain et fut le premier qui entra dans la chambre nocturne en haut de la tour.

     

     

    Quarante-quatrième chapitre – Recherches surprenantes

     

    Mamadou suivit le prince allemand et ils se retrouvèrent dans une petite chambre noire et sale. Le jeune prince vit plusieurs toiles d’araignée dans les coins de cette pièce grace à la faible lumière de la pleine lune. Tout à coup, il vit un grand ombre dans le coin gauche de la chambre. Le prince fixa l’endroit et s’attenda à une attaque. Il analysa le corps et réalisa qu’il avait environ la grandeur d’un chien. Ou peut-être même d’un loup-garous. Le prince prit la chaine avec sa croix, la douleur et la peur de l’ascension dangereuse étaient oubliées. Il avait laissé la grande épée dans la voiture d’andrej qui était barrée, car il n’aurait jamais été capable d emonter la tour en supportant encore le poids de cette arme historique et en plus, cela aurait été trop dangereux de l’amener au monastère, il aurait tout de suite perdu son camouflage ou il aurait du la donner au portier pour ne pas être supecté. Mamadou ne posséda aucune vraie arme à part d’un canif ordinaire qu’Andrej lui avait prêté. Le russe soi-même avait amené un pistolet, mais il avait laissé son arbalète dans la voiture, car il était trop grand et peu maniable pour une probable bataille contre des nombreux vampires.

    Amadou prit son canif, car il avait aussi remarqué l’ombre dans le coin qui ne bougea pas. L’Africain et l’Allemand attendirent pendant quelques secondes et le jeune enfant choisi n’était plus capable d’attendre et de supporter la tension. Il fit un saut de carpe en avant et frappa le bout de sa croix contre la tête de cet animal immobile. Il heurta le sol et fit une roulade en arrière pour se distancer de son vis-à-vis. Ètrangement, celui ne réagit pas du tout, même le contact avec la croix n’avait aucune influence sur son comportement.

    Le prince sécoua la tête, s’approcha de l’animal et toucha sa gueule. Il sourit et se tourna vers son compagnon africain qui n’avait pas bougé et qui était encore prêt à attaquer l’ennemi.

    « Ce n’est qu’un loup empaillé. Il n’y a aucun danger. », dit le prince en se lévant.

    « On nous a payé la gueule. », jura l’Africain et mit son canif dans une poche de sa chemise.

    Le prince prit maintenant le temps de regarder la chambre plus profondemment et tranquillement. Il remarqua une petite table à côté de la fenêtre par laquelle ils étaient entrés. Il vit un échiquier avec plusieurs figures sur la table, mais il s’y était déjà formé de la poussière. À côté de la table se trouvèrent deux chaises bouleversées.

    Le plancher de bois crissa et grinca avec chaque pas qu’un des deux combattants contre le cercle des sept malédictions faisait. Le prince vit plusieurs grandes étagères fixés aux murs où se trouvèrent des nombreux livres. Le prince estima qu’il se trouvèrent déjà environ trois mille lectures dans cette petite chambre. Ils risquèrent de perdre beaucoup de temps avec leurs recherches. Le jeune prince tira un livre délabré par hasard de l’étagère et vit qu’il parla d’une grande chronologie de loups-garous qui avaient vécu et reigné sur la péninsule ibérique pendant quatre cent ans au Moyen Âge. Les autres livres parlèrent aussi surtout des loups-garous et le prince essaya de trouver une chronologie sur la reine des loups-garous qui était supposé de marier le fils du seigneur européen des vampires qu’ils avaient tué dans son château.

    Le prince trouva un petit livre après quelques minutes qui parla de la reine actuelle des loups-garous et il lut à haute voix quelques faits intéressants pour son compagnon africain qui chercha d’autres livres intéressantes en écoutant l’enfant choisi.

    « Donc, cette femme s’appelle Lorena Dragusz, fille de la dernière reine des loups-garous qui s’appelle Maria Selina Dragusz. Son père, l’ancien seigneur des loups-garous avait réunis les trois tribus principlaes pour former une unité plus puissante. Il s’agissait des loups-garous de l’Europe centrale avec le siège principal qui se trouva anciennefois proche de Vienne en Autriche, après les loups-garous de la Russie avec leur siège à Saint Pétersbourg et finalement la famille des loups-garous asiatiques avec leur siège à Singapour. Son père a été tué pendant une rébellion de quelques loups-garous russes qui ne voulaient pas accepter l’union des trois tribus et qui étaient faché, car leur roi n’a pas été élu le président de cette confédération des loups-garous. Après, Maria Selina s’était vengée, elle a laissé assassiner l’ancien roi russe et ses complices, mais le complot a été dévoilé et elle a perdu l’exigence au trône. Un comité de loups-garous avait décidé de l’emprisonner sur l’Île Norfolk à environ 1500 kilomètres dans l’est de l’Australie qui est connue pour sa colonie pénale qui était tant sévère qu’elle a été abandonné ou fermé par les Anglais en mai 1855. Il semble qu’il y a encore des prisons et Maria Selina reste à cet endroit depuis onze ans maintenant. Sa sœur, Anna Francesca Dragusz l’avait remplacé pendant plusieurs années, mais il y avait souvent des révoltes. Depuis six ans, il y avait plusieurs personnes qui se sont déclarées le roi ou la reine des loups-garous, mais il y avait aussi plusieurs attentats. Lorena Dragusz, qui porte l’héritage légitim, était trop jeune pour succéder sa mère et elle veut maintenant épouser le fils du seigneur des loups-garous, probablement à cause des buts tactiques afin de prendre le pouvoir et pour s’assurer du soutien des vampires qui étaient des grands ennemis des loups-garous pendant des siècles. Lorena avait déclaré devant un comité actuel de la confédération des loups-garous qu’elle voudrait se marier le 4 juin de cette année. Le dernier président de la confédération a été assassiné à Paris pendant la dernière fête du Nouvel An. Depuis cette date, la confédération est dirigé par un réprésentant de Singapour qui hésite de se faire déclarer le président de la confédération, car il a peur d’un attentat aussi. »

    « On a quelle date aujourd’hui? », demanda Mamadou, qui n’avait pas trouvé quelque chose d’important, après que l’enfant choisi avait fini son rapport sur la future reine des loups-garous.

    « C’est le deux juin. Il nous reste même pas deux jours au complet jusqu’au mariage. », expliqua le jeune allemand, « Mais cette affaire pourrait être avantuageuse aussi. Tout les membres importants des vampires et des loups-garous vont être réunis dans ce monastère prochainement. Si on pourrait les attaquer avec du succès, on serait même capable de provoquer une grave victoire aux forces de l’enfer. »

    « Nous sommes trois personnes contre une bonne centaine de vampires et loups-garous, mais rien n’est impossible, surtout avec une arme tant puissante que ta croix d’Ezékiel. », remarqua Mamadou tranquillement de sa facon typiquement optimiste.

    « Peut-être que je trouverais même les pages volées par Milla Gaillard quelque part dans cette bibliothèque. », réfléchit le prince à haute voix.

    « Oui, mais sûrement pas dans cette salle. », répondit Mamadou et s’approcha de la toute petite porte en arrière du loup immobil que l’enfant choisi n’avait pas encore remarqué. Heureusement, la porte n’etait pas fermé et les deux combattants s’échappèrent dans une plus grande salle qui était divisée en deux sections. Il y avait une plus petite partie remplie de plusieurs étagères avec ds vieux livre et une deuxième étage juste sous le toit de la tour. Un petit escalier de bois y ména. Une grande porte solide et barrée ressembla à la porte qui sépara la section sécrète du reste de la bibliothèque. Le prince vit une échelle dans un coin de la bibliothèque afin d’atteindre aussi les plus grands étagères. Un grand globe se situa au plein milieu de la salle inférieure avec plusieurs chaises autour. La salle n’était pas aussi remplie de poussière que l’autre.

    Le princa commenca à regarder plusieurs livres sur le niveau inférieur qui parlaient de nombreuses seigneuries des vampires. Il trouva la chronologie du seigneur des vampires de l’Amérqiue du Nord et celle de deux seigneurs de vampires en Asie qui avaient déclenchés une grande rivalité et querelle familiale.Le prince se donna la promesse d’éliminer ces seigneurs des vampires un jour afin de libérer la planète de ces partisans puissants de l’enfer.

    A part de cela, il ne trouva rien sur le niveau inférieur de la bibliothèque et monta la petite échelle afin d’inspecter les autres livres. Dans le coin gauche, il trouva plusieurs livres qui parlaient surtout des événements historiques et il remarqua bientôt plusieurs livres qui parlaient de l’ordre du Temple. Le prince trouva un vieux livre délabré qui parlait du dernier maître Jacques de Molay ainsi que de la destruction quasiment complète de cet ordre par l’église catholique et d’autres ennemis. Le prince avait un peu de la misère à déchiffrer l’écriture du livre et en plus, le langage était très dûr à comprendre, car il s’agissait d’un francais vieilli du Moyen Âge. Le prince trouva une table proche de l’étagère et deux chaises et s’y assit avec son compagnon africain. Ensemble, ils essayèrent de traduire les éléments importants du livre et lirent à haute voix. Le prince fit des découvertes énormes et il chercha et trouva quelques papier et même des stilos différents dans un autre coin de la bibliothèque à côté d’une vieille imprimante et un ordinateur qui data sûrement des années quatre-vingts. Les deux combattents avaient fini leur travail après presque une heure et le jeune prince allemand résuma les faits à haute voix en secouant la tête quelques fois, car il n’était pas encore capable de comprendre et accepter tout les faits donnés.

    « Donc, d’après l’auteur, Jacques de Molay lui avait dit qu’il était né le 28 août 1248, c’est la même journée que le départ de la septième croisade a été organisé par Louis IX à Aigues-Mortes en France. Cette croisade avait pour but principal d’aider ou soulager les états des croisés, c’était par exemple le Royaume de Jérusalem et d’autres en Orient, mais aussi plusieurs états dans l’Empire Byzantin, fondés lors de la quatrième croisade et encore le Royaume de Chypre. Plusieurs de ces états étaient envahis et occupés par un roi égyptien.  Les croisés hivernaient en tout cas à Chypre, avant de partir guerroyer contre l'Égypte et la Syrie, mais la fin était un vrai débacle pour Louis IX, nommé Saint Louis. L'armée avait pris Mansourah et s'y trouvait prise au piège et victime d'une épidémie, le roi soi-même était fait prisonnier avec deux de ses frères et ne pouvait se libérer qu’avec une grande somme d’argent et il était finalement battu à Fariskur en mai 1250, c’était la fin de cette croisade. Une fois libéré, il passait encore quatre ans en Palestine pour consolider les places fortes chrétiennes: Jaffa, Saint-Jean-d'Acre, Césarée, Sidon. Il a forcé le respect de ses adversaires et racheté la liberté de plus de cent mille chevaliers chrétiens retenus prisonniers. Mais Louis IX s’était plus tard encore une fois essayé avec une huitième croisade. 

    Pour revenir à Jacques de Molay, c’était peut-être un signe spécial qu’il était né pendant cette date-là. Les chrétiens avaient déclenché plusieurs croisades sanguinaires afin d’élargir leur réligion et massacrer ceuxx qui n’étaient pas chrétien. Ils ont exploités les habitants de certains pays et c’était un temps sans paix et dans cette misère a été envoyé le deuxième sauveur après Jésus Christ.  Il est né dans la Franche-Comté, plus exactement à Molay dans l’est de la France. C’est étonnant de lire cela, car dans les dictionnares ordinaires, on n’a jamais été capable de prouver la date exacte de sa naissance, ni l’endroit où il était né.  Quelques amis de lui disent qu’il avait toujours aidé les pauvres et qu’il avait volé de l’argent de plusieurs familles nobles et arrogantes avec plusieurs combattants et qu’il avait sécrètement établi plusieurs hôpitaux dans la région. Il était devenu prieur à Salins-les-Bains et avait critiqué le pape et aussi le roi francais. Il a écrit plusieurs livres dans lesquelles il voulait transmettre ses idées et buts pour un futur en paix pour l’Europe, mais ces livres ont été brûlés par des partisans du roi. Jacques de Molay était reçu dans l'ordre en 1265, mais il était envoyé en Terre Sainte, en Palestine où était né Jésus, il était obligé de défendre plusieurs régions contre les Mamelouks, membres d’une milice formée d’esclaves qui s’étaient rebellés et qui voulaient envahir certaines territoires. Jacques de Molay avait parlé avec les chefs des ennemis et avait remarqué que les Mamelouks étaient divisés en deux parties. Certains entre eux autres étaient des pauvres esclaves qu’Il avait réussi à convertir et il leur avait promis l’obtention de certaines régions et avait donné la promesse de les intégrer dans un nouvel ordre du Temple qu’il avait fondé sécrètement. Les autres Mamelouks ne voulaient pas accepter ces offertes, car il s’agissait des démons qui voulaient détruire l’ordre du Temple et installer des temples au nom de Luciferius. Le chef militaire de l’ordre du Temple, Guillaume de Beaujeu, ne voulait plus se battre contre les Mamelouks et avait signé des traités de paix. Sachant que certains de ces Mamelouks étaient des démons, Molay ne voulait pas accepter cette décision et s’est rébellé contre son propre chef. C’était pour cette raison qu’il était envoyé à Jérusalem et il y avait une vision. Une clairvoyante lui est apparue dans un de ses rêves et lui avait dévoilé qu’il était le successeur de Jésus Christ afin de sauver le monde de Luciferius et son cercle des sept malédictions assez puissant. Elle lui avait dit qu’il était une réincarnation de Jésus Christ et le deuxième de seulement trois sauveurs qui avaient pour mission de sauver la planète de l’enfer. »

     « C’est une théorie assez intéressante. Si Jacques de Molay est une réincarnation de Jésus, peut-être même que toi, tu l’es aussi. », interromput Mamadou discrètement et fixa le jeune prince allemand intesnement.

    « Je pense que c’est seulement une légende. Je suis peut-être un successeur du destin et non une réincarnation de Jésus. », nia l’enfant choisi.

    « Mais il y a d’autres aspects encore que tu as en commun avec Jacques de Molay. »

    « C’est vrai. Jacques de Molay avait commencé à créer une sous-organisation sécrète de l’ordre du Temple en Orient et avait convaincu d’autres membres francais de devenir ses partisans. Il a combattu l’armée des goules qui avait essayé d’envahir tout l’Orient dans une grande bataille dans un désert en Arabie. Il avait aussi fait des recherches en Égyptes où un des membres du cercle des sept malédictions avait réanimés des momies de plusieurs pharaons morts afin d’attaquer le pays. Il avait tué ce membre qui lui avait dévoilé un autre nom, un prince arabe qui vivait à Babaylone. Il a donc fait un grand voyage avec quelques partisans et était obligé de déclencher une guerre contre ce maudit prince. Finalement, il avait gagné cette bataile, mais les conséquences étaient terribles. Plusieurs membres de l’ordre du Temple étaient morts lors des combats et une confédération voulait déjà prendre la décision de lui exclure de cette organisation. Ils ne l’avaient finalement pas fait, car il avait combattu un grand ennemi des chrétiens en Orient et car il accepta de se faire stationner à Saint-Jean-d’Acre, au nord d’Israél, mais cette ville a été conquert par les Mamelouks plus tard en 1291 et les états des croisés n’existaient officiellement plus. Suite à cette bataille à Babylone contre le maudit prince, Jacques de Molay avait trouvé une croix spéciale, construite par Ezékiel durant son emprisonnement à Babylone en 598 avant Jésus Christ. Molay a prit plusieurs mois de temps afin d’examiner et analyser la croix et ses capacités. Il avait amené la croix à Acre aussi, mais durant une bataille, des ennemis lui avaient attaqué, emprisonné et volé sa croix. Il était capable de s’enfuir avec l’aide de quelques partisans et il a poursuivi les voleurs. Chalil, le chef des Mamlouks avait massacré presque tout les habitants de la ville est avait élargi son territoire jusqu’au Royaume de Petite-Arménie. Jacques de Molay réalisait que c’était trop risqué d’attaquer Chalil qui devenait de plus en plus puissant et envoyait un partisan turc en Arménie qui s’appelait Baydara et qui avait réussi à tuer Chalil en décembre 1293. Avant que les partisans de Chalil avaient pris leur revanche, il avait réussit à retrouver la croix et l’avait donné à un compatriote qui l’aména à Venice où un ami l’avait remis à Jacques de Molay. Celui s’était rétiré à Chypre, terre chrétienne la plus proche de Jérusalem. À cet endroit, le maître de l’ordre du Temple mourait lors d’une maladie et transmit son pouvoir à Jacques de Molay qui était élu par les autres membres de l’ordre le 20 avril 1292. Au printemps 1293, il quitta Chypre pour un voyage de trois ans en Occident, pour la tenue de deux chapitres généraux de l'ordre, à Montpellier en 1293 et à Arles en 1296. Son voyage le conduisit en Provence et en France, mais aussi en Catalogne, en Italie et en Angleterre. Il profita de son passage pour régler plusieurs problèmes internes et locaux, mais son principal objectif était de solliciter l'aide des souverains et de l'Église pour la reconquête de la Terre Sainte, le renforcement de la défense de Chypre et la reconstruction des forces templières. Pendant ce voyage, Jacques de Molay réussit aussi à tuer deux autres membres du cercle des sept malédiction, un seigneur des vampires en Autrich ainsi qu’un grand criminel qui regna sécrètement de Venice et y établit une armée des forces de l’enfer. Molay y rencontra aussi le correspondant qui lui donna la croix d’Ezékiel. Molay le garda pour un moment, mais l’offrira à Charles II de Naples avec lequel il avait un rapport de confiance. Celui avait recu de l’argent afin de mettre la croix en sécurité et il l’offrira finalement à Sanche Ier qui avait épousé sa fille Marie en 1304 à l’âge de seulement quatorze ans. Celui posséda un petit château à Lille et y voulait garder cette croix. Molay lui rendut visite plus tard. Il lui expliqua l’imortance de la croix et y fit plusieurs études, c’est lui qui avait trouvé le livre des sept cachets d’Ezékiel en possession d’un cinquième membre du cercle des sept malédictions qui vivait en Angleterre et qui possédait ce livre lors de la participation d’un de ses ancêtres à la première croisade à Jérusalem entre 1096 et 1099 où Ezékiel avait laissé apporter son oeuvre. Molay décida d’enterrer la croix avec le livre à Lille et y établit la fondation d’un sous-ordre qui avait pour but de protéger et surveiller les deux objets jusqu’en éternité. Cet ordre exista jusqu’au dix-septième siècle et fut plusieurs fois attaqué par des démons et même par un des membres du cercle des sept malédiction personnellement, mais ils avaient réussi à défendre la croix et le livre. Un des derniers guardiens de la croix avait établi la salle des sécrets avec un magicien et plusieurs partisans afin de défendre la croix. Avant moi, aucune personne avait réussi à survivre la salle des secrets. Le grand serpent, Quetzalcoatl a été apporté par un empereur espagnol qui l’avait trouvé et anesthésié en Mexique quand l’armée espagnole avait massacré plusieurs tribus en Amérique. L’empereur espagnol l’avait donné à son beau-frère qui avait marié sa fille deux ans plus tard et qui était un des guardiens de la croix. Le sous-ordre et ses membres  ont été détruits lors de la Guerre de Dévolution en 1667 et 1668 entre Louis XIV de France et le roi espagnol qui avait pour conflit principal l’occupation ou invasion francaise des Pays-Bas qui étaient occupés par l’Espagne. La ville de Lille fut envahi par Napoléon sous le régime espagnol et les derniers guardiens étaient soit mort lors des batailles soit qu’ils se sont enfuis au sud du pays.»

    « Je pense que plusieurs affaires paraissent beaucoup plus claires pour toi maintenant. », résuma Mamadou avec un sourire optimiste.

    « C’est vrai. Je sais maintenant beaucoup plus sur la vie de Molay et l’histoire de la croix. »,

    avoua le prince allemand.

    « Qu’est-ce qui s’est passé avec Jacques de molay après son départ à Vénise? », demanda Mamadou et recut un autre court rapport historique par l’enfant choisi qui avait noté les dates et informations principales.

    « Jacques de Molay est retourné à Chypres en automne 1296, car l’ordre du Temple avait un disput avec le roi Henri II de Chypre. Mais le maître de l’ordre avait d’autres problèmes à confronter. Les Mamelouks avec leur armée des démons devenait de plus en plus fort, même après l’assassinat de l’ancien roi. Jacques de Molay organisa une milice et voulait organiser une autre croisade, mais après les graves défaites de la dernière, il n’avait pas assez de soutien. Il ne voulait pas abandonner et entrepit plusieurs actions risquées contre les Mamelouks, par exemple en 1299 quand il stoppa une invasion mamelouk avec une force militaire en Arménie ou une année plus tard lorsque Jacques de Molay lança plusieurs raids templiers le long des côtes syrienne et égyptienne, pour affaiblir les lignes d'approvisionnement ennemies et harceler les Mamelouks. Il participa plus tard soi-même à l’invasion de la petite île fortifiée de Ruad et il chercha un contrat avec les milices des Mongols. L’ordre du Temple et les Mongols voulaient donc combattre les Mamelouks, mais les Mongols, seulement interessé à stabiliser leur propre territoire et non à un autre conflit, ne soutenaient pas Jacques Molay. En plus, la légende dit que des milices mamelouks envahissaient un fort des Mongols et tuèrent les deux fils du roi ou empereur. Les Mongols avaient trop peur d’attaquer ce tribu et c’est pour cela que la mission de Molay était un grand désastre finalement. Finalement, les Templiers ont été chassé de l’île de Ruad en septembre 1302., il y avait plusieurs membres qui ont été massacré brutalement par les milices mamelouks venant de l’Égypte, il y en a même des témoins qui disaient qu’ils ont sacrifié les morts au nom de Luciferius. Les critiques au sujet de la raison d'être de l'Ordre du Temple commençaient à se faire de plus en plus insistantes après ces événements. Le nouveau pape Clément V, élu en 1305, demanda aux responsables des ordres militaires sur une fusion des ordes et une éventuelle nouvelle croisade. Il demanda même par la suite à Jacques de Molay de lui rédiger deux textes sur ces problématiques et il lui demanda de les présenter lors d’une rencontre à Poitiers, où le pape avait son siège dans ce temps. Le pape tomba malade, mais Jacques de Molay recut l’information beaucoup trop tard et il avait déjà quitté Chypres pour se rendre au début en Italie. Il arriva en France en novembre de l’année 1306, mais la rencontre fut seulement reprise en été de l’an 1307. Jacques de Molay fit pendant ce temps des recherches sur les deux derniers membres du cercle des sept malédictions. Il recut l’information qu’une grande famille de loups garous régnant en France, Suisse et Italie pourrait avoir des information plus concrètes. Jacques de Molay avait de la misère à réunir une milice afin d’envahir le siège principal des loups garous après les désastres en Terre Sainte. Les membres de l’Ordre du Temple étaient fatigué et plusieurs s’oposèrent même contre leur maître. Jacques de Molay se sentit désespéré et choqué et demanda l’aide du pape, mais celui crut seulement qu’il était fou. Alors, Jacques de Molay demanda tout les membres des sous-ordres secrets de venir se réunir en France, même les ordres qu’il avait fondé en Orient. La réunion fut complétée en avril 1307 et ils attaquèrent les loups garous. Cette bataille fut encore un grand désastre, plusieurs soldats mouraient, mais finalement Jacques de Molay confronta le roi des loups garous, nommé Hector XII qui résidait ici, dans un bâtiment qui se trouva anciennefois à la place de ce monastère. Il fut capable de tuer le roi des loups garous avec de l’eau bénite, car Jacques de Molay avait fait des études sur des armes effectives dans la bataille contre ces monstres. Il recut de lui les deux derniers noms des membres du cercle des sept malédictions et une vieille prophécie lui fut révelée. Si on tue tout les membres du cercle de sept malédictions, les âmes de ces démons ne seraient plus jamais capables de s’incruster chez d’autres êtres humains, cela serait la défaite totale de ce cercle à part de Luciferius qui pourrait survivre d’une facon affaiblie. »

    « Donc, si nous serions capables de trouver et tuer les sept membres, on pourrait gagner la grande bataille. », ajouta Mamadou d’une facon optimiste et surpris.

    « C’est vrai, il faut environ sept ans pour chaque membre tué pour se rétablir et chercher un autre corps qu’il pourrait envahir, ces membres agissent comme des parasites démoniaques. Mais on ne connaît aucun de ces membres actuellement. », impliqua le jeune prince.

    « Il y a sûrement des personnes qui le savent. Peut-être même qu’il y ades informations concernant ce sujet dans la bibliothèque. », insista l’Africain motivé.

    « Ces sept démons peuvent changer de corps humain n’importe quand, ils sont très puissants. »

    « Sûrement, mais nous sommes aussi puissants, car nous possédons des armes comme ta croix d’Ezékiel. Cela serait une grande bataille, mais nous sommes aussi le dernier espoir pour une vie pacifique dans le futur. », expliqua Mamadou.

    « C’est un charge énorme pour nous. »

    « Une fois que toutes les personnes choisies seront entièrement unies, on serait capable de gagner la bataille. »

    « Il nous reste le membre australien, le fils de Sergio Leoni, à trouver et un membre de l’Amérique. », résuma le prince et pensa à la belle fille mystérieuse qu’il avait vu de nombreuses fois dans ces rêves. Il lui sembla qu’il y avait beaucoup plus qu’un même destin et une grande bataille qui réunirait lui avec cette fille.

    « Qu’est-ce qui s’est enfin passé avec Jacques de Molay. », demanda Mamadou en lui retirant de ses pensées.

    « Hector XII lui avait dit que les deux derniers membres seraient le pape Clémence V et le roi

    francais, Philippe le Bel. », repondit le jeune prince.

    « Le maître de la plus grande institution religieuse était un membre des cercles des sept malédictions? », demanda Mamadou et ne pourrait croire ce qu’il entendit du jeune prince.

    « Desfois, le mal se trouve dans un endroit qui nouis semble le plus saint et sécuritaire. », répliqua l’enfant choisi.

    « Est-ce qu’il a finalement réussi à combattre ces deux derniers membres tant puissants? », voulut savoir Mamadou.

    « Non. Il y avait la rencontre avec le pape en été et Jacques de Molay réfusa brusquemment de fusionner son ordre avec celui de l’Hôpital, comme le pape le voulait. Le pape ne s’attendit pas à une telle réaction et s’opposa maintenant contre acques de Molay. Bientôt, il y avait des rumeurs scandaleuses et perverses qui circulaient au sujet de l’Ordre. Plusieurs membres quittèrent l’ordre, la population vit dans l’Ordre du Temple desantichrétiens. »

    « C’était le début de la fin pour l’ordre. », ajouta Mamadou.

    « Évidemment. Jacques de Moloay demanda dans son désespoir au pape de clarifier la situation, sinon il lui jura de dévoilers a vraie personnalité. Mais le pape arrêta plusieurs membre du l’Ordre du Temple, entre autres Jacques de Molay, avec l’aide du roi de la France. Cela commenca en secret le 14 septembre 1307 et l’inquisition et l’emprisonnement de Jacques de Molay débuta. On lui tortura et obligea d’avouer qu’il avait rénié le Christ. Les derniers milices de Jacques de Molay essayèrent de lui aider pendant une attaque nocturne autour du Nouvel An, mais la milice était mal organisée et fut massacrée par les soldats du roi de France. On demanda à Jacques de Molay  d'écrire une lettre dans laquelle il déclarait que chaque templier devrait admettre ces actes. Le pape ordonna l'arrestation des templiers à travers toute la Chrétienté. Pour ne pas perdre crédibilité en public, le pape envoya encore deux cardinaux à Paris pour entendre Jacques de Molay qui répéta tout ce qu’il avait dit envers les inquisiteurs de Philippe le Bel. L’état francais et le pape furent partout des recherches et discutèrent sur le futur de l’Ordre du Temple. Plusieurs membres de l’ordre furent brûlés au bûcher le 10 au 12 mars 1310 pour la première fois et Jacques de Molay ne pouvait pas agir comme il le voulait. Il réfusa de parler avec les inquisiteurs et ce silence ne motiva pas non plus les derniers membres fiables de l’ordre du Temple. Le silence de Jacques de Molay sembalit être un signe de la défaite finale. Presque quatre ans plus tard, trois cardinaux dépêchés par le pape condamnèrent les principaux dignitaires de l'ordre du Temple à la prison à vie. Jacques de Molay essaya donc de se défendre une dernière fois et proclama l’innocence de son ordre, avant de défier le roi et le pape devant Dieu. Par cet acte là, Jacques de Molay et Geoffroy de Charnay, un autre membre puissant de l’ancien ordre furent brûlés au bûcher sur l’Île aux Juifs, aujourd’hui rattaché à l’île de la Cité sur la Seine à Paris. Avant de mourir au soir du 18 mai 1314, Jacques de Molay condamna en public le pape et le roi de France. Il dit mot par mot:  « Dieu sait qui a tort et a péché, et le malheur s'abattra bientôt sur ceux qui nous condamnent à tort. Dieu vengera notre mort. Seigneur sachez que, en vérité, tous ceux qui nous sont contraires par nous auront à souffrir ». Peu après la dissolution de l’ordre en 1312, les responsables mouraient; le pape Clémence V le 20 avril 1314 déjà et Phhilippe le Bel était mort 29 novembre 1314. Le favori du roi, Enguerrand de Marigny, était mort 30 avril 1315. Le suaire de Turin qui reproduit en réalité la physionomie de Jacques de Molay a été confisqué par l’égilse catholique qui déclara assez vite que ce suaire porterait le visage de Jésus Christ. La nièce du templier Geoffroy de Charney qui avait possedé le suaire fut emprisonnée et était morte quelques années plus tard. »

    « C’est une histoire incroyable et complexe. », commenta Mamadou le récit de l’enfant choisi après que celui avait fini son discours.

    Le jeune prince allemand avait de la misère à saisir tout ce qu’il venait de lire et citer. Il eut peur que son destin pourrait être comparable à celui d’un Jacques de Molay. Mais il savait d’un autre côté que Jacques de Molay avait toujours été quasiment seul. Il n’avait que le soutien partiel de certains membres de son ordre. Mais, aujourd’hui, la sitaution était peut-être différente. Ils n’étaient peut-être pas aussi nombreux que l’Ordre du Temple, mais ils étaient jusqu’à date trois personnes choisies et non seulement une seule. En plus, ils pouvaient profiter des fautes que Jacques de Molay ou Jésus Christ avaient fait. En plus, la sitaution politique, malgré toutes les guerres et rivalités religieuses, n’était pas aussi grave pour les personnes choisies, ils avaient un ennemi puissant avec le cercle des sept malédictions, mais aucun autre grand adversaire. Cela donna un léger espoir au jeune prince allemand.

    Il se tourna vers Mamadou et ils continuèrent par la suite aussi leurs recherches dans la bibliothèque concernant la croix d’Ezékiel et les autres secrets intimes de ce monastère d’horreurs. 

     

     

    Quarante-cinquième chapitre – Le cercle des sept malédictions et une attaque inattendue

     

     

    Le jeune prince allemand regarda d’autres livres qui se trouvèrent sur des étagères au deuxième niveau de la bibliothèque. Il vit des vieux documents qui parlèrent surtout d’anciennes familles et rois des vampires, mais finalement il trouva une toute petite section dans la bibliothèque qui parla des armes religieuses et des moyens que l’humanité utilisa depuis des siècles pour chasser les démons partout sur la planète. Le prince remarqua partout de la poussière qui s’ètait déposée sur ces documents, mais il vit un seul livre qui lui semblait être utilisé dernièrement, car il n’y remarqua pas de poussière. Il prit le livre qui parla de la force de certaines croix et une derniére section parla surtout de la croix d’Ézéchiel. Le prince lut en géneéral les informations qu’il avait déjà lu dans la biographie de Jacques de Molay, il lut que la croix a été découverte par Jacques de Molay à Babylone et comment elle a finalement été envoyée en France où un sous-ordre secret avait protégé cette croix et l’installé dans les catacombes de la ville de Lille après avoir bâtit pendant plusieurs années la salle des secrets. Le prince y lut aussi que des compatriotes et acolytes de Jésus Christ avaient essayé de trouver et voler la croix des catacombes de Babylones, où Ézéchiel, son constructeur, avait caché la croix. Mais le groupe de vingt personnes qui s’étaient proposées de chercher la croix pour leur sauveur unique, n’avaient pas réussi à trouver la croix, car ils furent attaquées dans la ville, qui était pendant ce temps occupé par des soldats romains. Seulement cinq acolytes avaient survécu et furent emprisonnés dans les catacombes de Babylone. Les Romains, qui avaient torturé et questionné les survivants gagnèrent conscience que la croix d’Ézéchiel devrait se trouver quelque part dans les catacombes et firent des recherches pendant quelques années. Ils ne trouvèrent rien et décidèrent finalement qu’il devrait s’agir d’une légende et en plus, ils étaient plus persuadés à envahir d’autres terrains et chasser Jésus Christ.

    Le jeune prince voulait déjà fermer le livre, quand quelques pages volantes, cachées entre les dernières pages de ce document, tombèrent par terre. Le prince déposa le livre sur une petite table et s’agenouilla afin de ramasser et lire ces pages bizarres, qui avaient une autre forme et grandeur que celles du reste du livre. Il les prit et fut choqué par ce qu’il vit, son cœur battit plus fort contre ses côtes et il ne put croire ses yeux. Il mit les pages sur la petite table et les regarda en secouant la tête, les inspira et lut plusieurs lignes, jusqu’à ce qu’il fut absolument certain. Il réalisa qu’il s’agit des dernières pages du livre des sept cachets, les pages que la fille du seigneur des vampires, Milla Gaillard, lui avait volé dans le métropolitain à Lille. Il montra ces pages à Mamadou et il les inspirent ensemble. Le prince avait encore de la misère à déchiffrer la vieille écriture de ce livre, même s’il comprit certains mots en hébraique. Il relut encore une fois que le frère d’Ézéchiel avait voulu cacher le livre dans une autre place que Babylone et le prince se demanda comment et où Jacques de Molay avait retrouvé ce livre précieux et pourquoi il n’avait jamais essayé de l’ouvrir. D’un autre côté, Ézéchiel s’ètait dans son introduction directement adressé au troisième sauveur, peut-être que Jacques de Molay avait su et accepté qu’il n’avait pas le droit de briser les cachets. Le prince, ne pas connaissant cette vieille langue assez bien, remarqua qu’il comprit tout à coup tout les mots qui étaient écrits sur ces pages. Il ne sut pas comment cela s’était passé, mais il pensa que cela avait peut-être une relation avec la croix et son influence. La dernière fois, quand il avait lu des extraits dans un parc à Lille, il ne s’ètait pas posé la question, comment il a été capable de comprendre le vieux texte. Le prince voulut cette fois profiter du temps et lire toutes les pages afin de dévoiler tout les secrets de cette arme religieuse et précieuse. Il se mit tranquillement à traduire quand son compagnon africain lui appella. Le prince se léva tranquillement et se demanda où il pourrait cacher ses feuilles et décida de les remettre dans le livre et l’aména avec lui. Il retrouva Mamadou en avant d’une autre section, dans le coin droit de la bibliothèque sécrète. Son compagnon avait trouvé un grand livre qui parla du cercle des sept malédictions et vit une longue liste de noms dans lesquels les sept esprits maudits s’étaient incrustés. Le prince lut les noms de plusieurs dictateurs et criminels qui avaient mené des guerres ou brisé des lois fendamentales sous l’influence cruelle de ce cercle des sept malédictions. Le prince ne lut rien sur leur maître Luciferius, mais à la fin du livre, il recut des informations importantes sur l’endroit où se trouvèrent actuellement les six esprits maudits. Il réalisa que chacun de ces personnes vécut dans une autre place et un autre pays sur la planète et le prince eut la chair de poule quand il réalisa que c’était son destin de voyager dans tout ces pays afin de combattre le maudit cercle. Il lut les noms, les nota sur une vielle feuille qu’il arracha d’un autre livre et regarda les informations avec son compagnon Mamadou qui relut ce qu’ils venaient d’écrire et savoir.

    « Donc, le premier de ce cercle qui s’appelle « Animus nigerus », l’âme noir, vit à Paris en France, dans le quartier Montmartre. Il s’applle Charles Maxime Lavoie dans la vraie vie et travaille avec la mafia francaise, en plus il est peintre. »

    « La ville de paris n’est pas si loin d’ici. C’est bizarre, il ressemble juste à un petit criminel ordinaire. », remarqua le jeune prince.

    « Il y a un autre membre qui reste encore plus proche d’ici. Il s’agit du membre qu’on nomme nommait « Exsecratio mortis » ce qu’il signifia la malédiction de la mort. Il reste à Vienne, en Autriche et s’appelle Joachim Felix Leitbrink. Il organise des rencontres avec des vampires, goules et loups garous et garde un bon contact avec toutes les démons et créatures diaboliques de l’Europe en entière. Il réside dans un vieux château en banlieue et est connu comme écrivain d’histoires d’horreur. »

    « Ce personnage me semble plus dangereux encore, son château est sûrement bien protégé et il a le soutien entier de tout nos ennemies. Il faudrait avoir une bonne idée et beaucoup de chance pour envahir son château. », remarqua l’enfant choisi.

    « Notre numéro trois, que l’on nomme « Fulmen malus », ce qu’on peut traduire par «l’éclair funeste », s’appelle Katsuyoshi Takano et il reste sur une île privée au nord du Japon. Anciennefois, cette île a été un endroit pour des prisonniers et possède plusieurs vieilles prisons et des catacombes, comparable à l’île d’Alcatraz. Ce Tanako est un ingénieur connu qui a gagné plusieurs millions et n’a plus besoin d’exercer son metier. Il garde les contacts avec les sept Samuraïs du diable et son frère habite en Inde où il garde des contacts avec les maudits gurus dont un avait aussi essayé d’immortaliser les fils du seigneur des vampires. »

    « Cela a l’air d’une mission difficile. On va se faire remarquer en se rapprochant de l’île par bâteau. Peut-être qu’on puisse plutôt s’adresser à son frère en Inde et le kidnapper et obliger notre ennemi principal de quitter la maudite île. », proposa le jeune allemand.

    « Une excellente idée. Le quatrième membre qui est connu sous le nom « Lanius diabolicus », ce qu’il signifie le « bourreau diabolique », vit en Amazonie péruvienne et est le maître d’un tribu qui vit dans le jungle. Ils s’occupent et gardent des vieilles villes des Mayas et Aztèques et ont déjà assassiné plusieurs archéologues. Une légende dit qu’il s’agit d’un tribu qui exerce encore le cannibalisme. Le vrai nom de ce membre est encore inconnu. »

    « Cela me semble être la mission la plus difficile jusqu’à date, il y a beaucoup de dangers dans le jungle qui n’est pas encore assez exploré et le tribu pourrait nous attaquer ou tuer facilement. En plus, on ne connaît pas l’endroit exact où ils restent, cela pourrait donc être une recherche difficile, sinon impossible. », résigna le jeune allemand un peu.

    « Le cinquième dans notre liste est nommé « Custos ocassus » ce qui se traduit par le « gardien de

    la décadence », il vit en Ouganda en Afrique et est un maître d’un groupe de milices et terroristes qui se sont stationnés au nord du pays, à côté du Nil d’Albert, une section du plus grand fleuve au monde.Il s’appelle Samuel M’bami Kbadou. »

    « Encore une autre situation délicate. On va avoir de la misère à entrer dans un tel pays où il y a encore des troubles et désordres. Le maître de ces rébelles va être bien protégé, en plus, le gouvernement ne nous accorderait peut-être pas la visite de leur pays. », impliqua le jeune prince encore.

    « Finalement, le sixième et dernier membre á part de Luciferius, qui s’appelle « Magister pestilentiis », ce qui se traduit avec l’expression « maître des épidémies » vit au Canda, au Québec plus exactement, dans un village inuit qui se nomme Kuujjuaq, situé au nord du pays. Le monsieur s’appelle Agaguk Natruvskou, il n’y a rien de spécial mentionné sur cette personne. »

    « Cet adversaire pourrait dangereux pour nous aussi, car on ne sait rien sur lui, c’est quelqu’un de mystérieux et on ne sait pas à ce qu’on doit s’attendre. », remarqua le jeune allemand et pensa en même temps à la belle fille mystérieuse qui lui avait rencontré dans ses rêves. Il était convaincu qu’elle vit quelque part au Québec et il s’étonna si elle resta peut-être dans ce village nordique et se trouva en danger à cause de leur ennemi. Le prince ne crut pas vraiment que sa belle princesse spéciale vit avec des Inuits et il rejetta cette pensée.

    Le prince se léva et regarda son ami africain et ils surent qu’ils avaient encore une grande mission dangereuse à faire. Mais même ici, dans ce monastère diabolique au Liechtenstein, ils se trouvaient déjà en grand danger et ils eurent la mission de combattre la princesse et future reine des loups garous et son mari, le fils du seigneur des vampires. Le jeune prince fit le saut quand il regarda l’heure sur sa montre et se rappella de leur compagnon russe qui avait voulu faire des recherches dans la réception. Il était rendu 23:36 heures et ils avaient décidé de se réunir dans la chambre d’Andrej vers minuit.

    Le prince allemand et Mamadou décidèrent donc de quitter la bibliothèque après avoir fait un dernier tour de la salle sans avoir trouvé des informations importantes. Le prince pensa tout à coup à l’escalade de la tour et se questionna comment les deux pourraient retourner en bas. Il fut soulagé quand il s’approcha de la grande porte qui sépara la section sécrète de l’autre partie de la bibliothèque et réalisa que la porte se laissa facilement ouvrir de leur côté avec une clé qui était déposé dans une petite boîte de bois dans une niche cachée à côté de la porte qui n’était pas trop difficile à trouver.

    Le prince débarra la porte et jeta un premier coup d’œil dans l’autre partie de la bibliothèque pour être sûr de ne pas avoir été remarqué par quelqu’un. Il fut encore soulagé quand il vit qu’il n’y avait personne qui se trouva dans la bibliothèque et sortit de la section secrète en amenant la clé. Mamadou lui poursuivit et ferma la porte et ils descendirent sécuritairement en bas par un escalier et atteignirent l’entrée officielle de la bibliothèque. Le prince fit le saut quand il se rendit compte que la porte était barrée et ne réussit pas à l’ouvrir. Finalement, il eut l’idée d’essayer la clé qu’il avait trouvé, amis elle ne se laissa pas entrer dans la cerrure. Le prince, désepéré, inspecta les alentours de la porte en essayant de trouver une autre niche, mais il ne trouva rien. Son compagnon africain essaya de lui soutenir, amis il n’avait aucune idée et ne trouva aucune trace non plus. Le prince regarda par une fênetre avec des grandes barres de métal et sut qu’il ne pouvait sûrement pas sortir de la bibliothèque par là. Il regarda sa montre et vit qu’il ne restèrent que quinze minute jusqu’à ce qu’ils étaient supposés de rencontrer leur combattant russe. Le prince se tourna et ascendit l’esclaier pour retourner dans la section secrète de la bibliothèque, afin d’essayer de descendre par l’exterieur, Il espéra fortement de trouver quelque chose comme un câble fort et long qu’ils pourraient fixer queqlue part pour descendre de cette facon. Le prince ne voulut pas encore une fois risquer de descendre la audite tour de la même facon qu’ils étaient venus.

    Le prince mit la clé dans la cerrure de la porte et respira d’une facon soulagée, quand il eut la

    preuve que la porte de la section secrète qu’ils venaient de fermer se laissa aussi ouvrir de l’autre côté avec la clé. Le prince, poursuivi par Mamadou, entra dans la pièce et sentit de tout d’un coup que quelque chose dans la salle avait changé. Il sentit qu’ils n’étaient plus seuls, même s’il ne vit rien. Le jeune allemand voulut retourner dans l’autre section de la bibliothèque et avertir Mamadou en mêm temps quand un grand ombre suta d’un étagère et se retrouva au milieu de la section secrète. Le prince fut choqué quand il vit qu’il fit face à un monstre animal et démoniauqe en même temps. Il vit la fourrure grise, les yeux gris-verts et les grands dents aigus, prêts à dévorer et mordre son vis-à-vis. Le prince récula et il sut qu’il était trop lent et avant qu’il était capable de réagier d’une bonne manière, le grand loup-garous fit un saut énorme dans sa direction et le jeune prince fit un saut de carpe courageux en arrière en bousculant son compagnon africain. Le prince heurta le sol et ne put plus contrôler ses actions quand il tomba le grand escalier dans l’autre partie de la bibliothèque. Il essaya encore de s’attacher à quelque chose et de ralentir sa descente, mais il poigna dans le vide et tomba. Il essaya de protéger sa tête avec ses bras, mais il eut cette idée un petit peu trop tard et heurta la balustrade avec sa tête.

    Il sentit la douleur comme un éclair diabolique dans sa tête et vit encore son compagnon africain qui voulait se jeter sur son adversaire puissant qui s’échappa dans la partie secrète de la bibliothèque, poursuivi par l’Africain. La descente du jeune prince allemand s’arrêta en bas de l’escalier, au fond de la bibliothèque et il se sentit faible et fatigué. Il entendit encore le cri désepéré de son compagnon africain et un craquement et bruit terrible avant qu’il perdit sa connaissance. 

     

     

    Quarante-sixième chapitre – La descendante de Tristania



    Le prince ne sut pas exactement pour combien de temps il avait perdu connaissance, mais quand il rouvrit ses yeux, il vit son compagnon africain à quelques mètres à côté de lui. Mamadou se tint la jambe gauche et fit une grimasse et le prince remarqua qu’une partie de la balustrade de bois de l’escalier était brisée. Mamadou était certainement tombé trois ou quatre mètres avant d’heurter le sol. L’Africain fit des efforts, tint un coin d’une petite commode, sécoua la tête et se léva tout tranquillement. Le jeune prince voulut se lever et approcher de son compagnon, mais quand il l’essaya, il eut le vertige et tomba sur ses genoux.

    Le loup garous sles observa calmement en haut de l’escalier. Il contrôla la situation, amis il ne fit pas l’intention de vouoir attaquer ses deux victimes. Avant que le prince allemand était capable de se poser des questions, il remarqua un changement du corps du loup garous. Il perdit quelques parties de sa belle fourrure grise, il se léva, cria et sa tête se transforma ainsi. Les yeux devinrent plus petit et plus clairs, sa bouche moins grosse et son nez plus petit et humain. Le loup garous cria comme un animal sauvage et tint ce cri jusqu’à ce qu’il se transforma en un cri qui avait plutôt quelque chose d’humain. Le prince vit que la queue du monstre disparût et quÄil se mit sur ses deux pattes en arrière. L’animal sauvage se retransforma en un être humain. Il perdit les cheveux partout au corps à part de la tête, où ils se transformèrent en des cheveux longs et blonds. La personne avait une grandeur d’environ un mètre et soixante-cinq centimètres et le prince s’étonna quand il remarqua qu’il s’agissait d’une belle femme qui avait peut-être une trentaine d’années. Elle avait des yeux bruns et était un peu maigre. Elle ne porta pas de vêtements du tout, mais elle n’avait pas l’air d’être gênée. Elle descendit l’escalier quand sa transformation était finie. Le prince ne put croire ses yeux et avait de la misère à comprendre pourquoi ce monstre laid et agressif s’était d’un moment à l’autre transformé en une belle femme qui avait l’air zun peu arrogante quand elle descendit les marches et fixa le prince. Elle n’essaya pas d’aider le prince ou l’Africain à se lever et les fixa d’une manière méprisante. Elle regarda les ongles de sa main droite et attendit jusqu’à ce que le jeune allemand fut capable de se léver. Son compagnon réussit à rétablir ses forces presqu’en même temps. Le prince s’approcha de lui, sentit une douleur agressante dans le bas de son dos et un sentiment de fatigue et d’anésthésie dans sa tête. Il fut content quand il se rendu compte que son compagnon ne s’était pas brisée la jambe, mais il avait de la misère à marcher pareil. Il alla en boitant envers le prince choisi et lui fit un sourire pressé. Il s’était probablement fait une entorse au pied gauche en tombant. Le prince lui mit sa main sur l’épaule et il s’approchèrent de la femme mystérieuse. Mamadou la fix aussi et se sentit irrité ou touché de voir une femme nue en avant de lui. Il n’avait pas pu observer la transformation au complet.

    « Est-ce que tu es celui dont tout le monde parle? », demanda la femme fatale en s’adressant au jeune prince. Elle s’approcha et lui mit les bouts de ses doigts de la main droite sur son menton et ses lèvres.

    Le prince récula, car il ne voulut pas se faire piéger par la beauté de cette femme bizarre. Il ne put pas éviter qu’il se sentit nerveux quand celle-ci lui avait touché de même. Mamadou ne régait pas moins impressionné et récula légèrement aussi. Il n’avait pas encore le courage de parler à ce loup garous transformé.

    « Je n’ai pas besoin d’une reponse, mon beau prince. Tout le monde parle de toi. Chacun d’entre

    nous connaît la prophétie. », poursuivit la femme, souria et toucha maintenant l’épaule du jeune prince avec sa main gauche. Celui récula encore et fixa cette femme; ses beaux yeux, son léger sourire moqueur. Elle sourit d’une facon amusée, mais arrogante en même temps.

    « Le grand prince et enfant choisi a peur d’une femme nue? »

    Le prince ne réagit pas, mais ce n’était pas la raison que cette jeune femme était nue, qu’il se sentit mal à l’aise. Il sut que lui et son compagnon n’avaient aucune chance de se défendre, si elle voudrait les attaquer tout de suite. Il ne sut rien concernant l’intention de cette personne. Il fut irrité par la beauté qui lui sembla cacher un vrai monstre dangereux. La femme sourit encore et massa sa poitrine avec ses doigts, elle n’avait pas du tout une air d’être mal à l’aise.

    « Je sais que vous êtes inquiets. Vous ne me connaissez pas. Mais si j’aurais voulu vous tuer, je l’aurais déjà fait. Dans le fond, normalement vous devriez être mes ennemies. Tout les démons détestent l’enfant choisi. Mais il y a une affaire que je déteste encore plus et c’est pour cette raison que je suis venue ici. Je vous propose qu’on travaille ensemble. Vous pourriez refuser aussi, mais soyez conscients que je pourrais vous faire assassiner tout de suite. Mon armée des loup-garous se trouve dans les forêts autour du monastère. Asi vous essayez de me tuer, ils vont vous chasser. Croyez-moi, vous ne seriez jamais capable de vous échapper. Donc, je vous laisse la vie et vous force de me soutenir. Qu’est-ce que vous en dites? Ou qu’est-ce que toi, tu dirais, mon petit prince allemand? », demanda-t-elle d’une facon menacante et moqueure encore.

    Le prince ne sut pas trop quoi dire. Il ne vouliat püas s’unir ou travailler avec une de ces créatures du diable. En plus, ces monstres n’ètaient pas fiables, elle pourrait essayer de les tuer quand-même. Mais d’un autre côté, il savait que cette femme fatale aurait déjà eu l’occasion de lui tuer pendant qu’il avait perdu connaissance. Le jeune allemand regarda son compagnon africain qui secoua la tête et avait l’air inquiète et sévère en même temps. Le prince comprit que son comapgnon ne fit aps confiance aux promesses et proposes de la femme nue. Le prince voulait déjà refuser, amis il ne se sentit pas encore convaincu. Il ne savait aps encore assez pour juhger et il ne savait même pas pourquoi et à quel point cette femme mystérieuse voulait faire un tel pacte avec eux. Il prit tout son courage et questionna son vis-à-vis.

    « Je ne sais pas ce que je devrais vous repondre. Je n’ai aucune idée qui vous êtes et pourquoi et à quel point vous aimeriez travailler avec nous. », remarqua le prince et essaya de regarders on vis-à-vis droitement dans les yeux.

    La femme mystérieuse s’assit sur une chaise en bois, mit ses mains dans ses cheveux, écarta ses jambes et sécoua la tête en soupirant.

    « Tu ne semble vraiment pas me connaître. Tout le monde semble nous avaoir oublié. Je vais te l’expliquer, mon beau prince. Je m’appelle Fabricia Maria Madonna et je suis une des dernières descendantes directes de la grande Tristania. », dit-elle avec une grande fierté dans sa voie majestueuse.

    « Une descendante de Tristania? », se souvint le jeune prince allemand. Il avait lu d’une Tristania dans le journal intime de l’Australien qui avait e´té massacré d’une facon cruelle et dégoûtante dans ce monastère et dont le fils semblait être la dernière personne choisie à part de la belle fille mystérieuse que le prince avait vu chaque soir dans ses rêves.

    « Oui, la grande Tristania. Elle a été exclue de la famille royale des loups garous. Elle a renoncé à la famille noire et s’est échappé avec son fiancé, un simple être humain. Pendant les années, la famille royale et la famille dus eigneur européen des vampires avait essayer de nous assassiner. Ils ont réussi plusieurs fois, mais nous avons survécu. Nou nous sommes révoltés conte ces dangers et nous avons attendu le bon temps pour prendre maintenant ce qu’il nous appartient. On doit absolument éviter ce grand marriage de la princesse de cette terrible famille des loups garous. Ils nous onzt insultés, blessés et pris tout ce que nous nous étions établi. Cette nuit va être la nuit de la vengance. », expliqua la femme nue avec une voie remplie d’agressivité et d’espoir, même de certitude d’une réussite.

    « Je comprends. Tu as donc organisé ta plus grande armée afin d’envahir le château. Tu veux effacer ces deux familles en même temps et prendre le pouvoir. », remarqua le jeune prince.

    « Ce pouvoir a appartenu a Tristanie, c’est notre héritage qu’on nous a volé. Regarde ces créatures faibles. Le seigneur des vampires est mort, ses enfants ont peur de toi et s’échappent, il n’y a aucune stabilité dans la famille noire. Moi, je vais bientôt regner sur ce territoire et rétablir l’ancienne force, un système de gloire et stabilité. », anonca la femme nue.

     « Si tu es si forte, pourquoi tu as besoin de notre aide? », demanda le jeune prince qui s’était rétabli et se sentit plus courageux et clair dans la tête maintenant.

    Fabricia ne smbla pas aimer cette question, elle fit une grimasse et avait l’air de vouloir assassiner le jeune prince et son compagnon. Elle sentit que sa fierté fut attaqué par cette question moqueure du prince et elle perdit son arrogance et sa confiance en soi. Elle ne réagit plus d’une manière souveraine et arrogante, mais se mit en rage.

    « Pour qui est-ce que tu te prends de me parler de même. Tu me dois ta vie, j’aurais pu t’écraser comme un cafard! », cria-t-elle et c’était au tour du prince de sourire d’une facon méprisante et amusée.

    «  Tu n’as pas repondu à ma question. », remarqua-t-il tranquillement et son compagnon africain lui tapa sur l’épaule comme s’il voulait lui signaliser qu’il serait fier de lui.

    « J’ai une grande armée. Est-ce que tu penses que tu pourrais combattre toute la famille, tout les moines et tout les vampires dans ce monastère consacré au diable? Tu as besoin de mon aide. Et moi, j’ai besoin de toi, parce que tu possèdes la maudite croix d’Ézéchiel. »

    « Comment ca? »

    « La princesse des loups garous ne se laisse pas tuer d’une facon ordinaire. Les autres loups garous et servants d’elle, il n’y en a aucun problème, on va les écraser. Mais cette maudite princesse ne se laisse tuer que par une forte arme religieuse. C’est ta croix. »

    « Donc, on a besoin de l’autre. »

    « Exactement. »

    « Et tu me jures de ne pas vouloir me tuer après la fin de la mission? »

    « C’est sûr, tu pourrais utiliser la croix contre moi. », avoua Fabricia d’une air pressé et honteuse.

    « C’est vrai. », remarqua le prince avec un sourire et sa confiance en soi revint de plus en plus.

    « Donc, tu accepterais tu ce pacte pour cette nuit seulement? », demanda Fabricia.

    « Je n’ai pas le choix. », dit le prince alleamnd et la main de son vis-à-vis toucha la sienne. Le pacte était conclu. Le prince se sentit nerveux et mal à l’aise. S’il pourrait éviter le marriage et nuire aux deux familles démoniaques, cette femme fatale aurait quand-même l’intention de créer une puissance encore plus cruelle. Avec un danger effacé, un autre prit sa place. Le prince sut qu’un jour, il serait probablement obligé de se combattre contre cette femme fatale. Peut-être même beaucoup plutôt que prévu. Il pensait à rompre ce pacte vers la fin de leur mission. Il pourrait se débarasser de cette femme arrogante avec sa croix. Il aurait fait d’une pierre deux coups.

    Tout à coup, le trio reúni par le destin entendit des bruits affreux. Plusieurs personnes ou créatures firent des bruits et se proménèrent en proximité de la bibliothèque. Il s’approchèrent et quelque chose heurta la porte d’entrée de la bibliothèque tout à coup. Après, plusieurs autres corps se jettèrent contre la porte solide et firent une attaque rhythmique. La porte tréssaillit et ne put plus soutenir les forces unies qui se posèrent contre elle. La porte eut un crauqement et fut brisée par la prochaine attaque. Avec un bruit terrible elle se détacha du cadre et tomba par terre. La poussière cacha le regard sur ceux qui avaient produit tout cela.

    La femme nue sourit et ne sembla pas être inquiète et s’approcha même du trouble, malgré que sa vue était autant inffluencé par la poussière que celle de l’enfant choisi et son compagnon africain qui se tint encore le pied gauche qui lui fit mal depuis la chute de l’escalier duquel il a été poussé après avoir voulu attaquer le loup garous géant.

    Le jeune prince allemand vit ´plus clair après quelques instants et vit quaztre loups garous qui entourèrent un grand gars d’un mètre et au moins quatre-vingt-dix centimètres avec des cheveux bruns et longs et des yeux bleus. Il sembla être un commandant de ce troupeau de loups garous et il avait apporté un prisonnier qui a été captivé. Il essaya plusieurs fois de s’échapper en courant, mais il fut retenu par le grand qui lui poussa par terre.

    Le prince vit maintenant le visage du prisonnier, quand celöui-ci, regarda aux genous envers lui. C’était leur copmpagnon russe Andrej. Il remarqua la femme nue en avant de lui et réagit d’une facon irritée et impressionné comme le jeune prince l’avait vécu.

    « Lèves-toi mon beau. J’imagine que tu es le dernier des personnes choisies. Ne t’inquiètes pas, je viens de faire un pacte avec le prince allemand. Ce soir, on va combattre la future reine des loups garous et détruire et brûler ce maudit monastère. »

    Elle se tourna et laissa en arrière de lui un russe perplexe qui ne comprit plus rien. Fabricia sourit et s’approcha de mamadou et de l’enfant choisi.

    « On va aller dans une salle proche d’ici et planifier notre invasion. Venez avec moi. »

    Elle se tourna, prit la main du russe, lui regarda fermement dans les yeux, toucha son visage avec le bout des ses doigts, sourit d’une air espiègle et quitta la bibliothèque d’une facon majestueuse. Elle avait retrouvé sa confiance en soi et son arrogance.

    Andrej lui suivit, entouré par le garnd et les quatre loups garous et ne put résister à regarder la femme nue et mystérieuse en avant de lui. Il était même encore plus qu’impressionné. 

      

    Quarante-septième chapitre – L’invasion


    Le prince et Mamadou suivirent les quatre loups garous, ainsi que leur grand commandant qui s’occupa encore du russe et la belle descendante de Tristania qui se proména d’une facon arrogante et provocante en même temps. L’Africain et l’Allemand n’avaient pas l’occasion de parler avec leur ami russe jusqu’à ce qu’ils entrèrent dans une petite salle qui se trouva sur le même long couloir noir de la bibliothèque. La porte était ouverte et plusieurs d’autres loups garous s’y étaient rassemblés. Le prince se sentit nerveux et inquiet quand il réalisa que ces créatures étaient supposées d’être ses plus grands ennemies. Il était qunad-même content qu’il avait conclu ce pacte avec Fabricia, quand il vit qu’il s’agissait au moins d’une vingtaine de loups garous qui s’était mis autoour d’une simple table de bois et plusieurs chaises. Tristania s’assit au bout de la table, son commandant et andrej jsze à côté d’elle. Elle fit un signe au prince de s’asseoir et celui prit une chaise à côté de son compagnon russe et en face de Mamadou. Un loup garous referma la porte de la salle qui était seulement éclairée par plusieurs vieilles torches attachées aux murs de la salle qui mésurait peut-être sept fois six mètres. Le prince essaya d’avoir quelques informations de son compagnon russe, ais Fabricia les interromput d’une manière hectique et prit la parole. Le jeune prince fut fâché, mais remarqua avec une certaine inquiétude que son ami russe réagit d’un facon contraire. Il était vraiment impressionné par la femme fatale et lui regarda tout le temps. Son visage beau avec ses cheveux blonds et longs, sa belle poitrine qui se léva avec chaque respration, ses mains fragiles avec des ongles fins et assez longs…

    « On est rassemblé ici afin d’envahir ce monastère au complet. Cette nuit va être la nuit des décisions. Soit qu’on réussira à écraser cette maudite princesse des loups garous et sa famille qui se trouve déjà rassemblé dans les cavernes du monastère ou soit qu’on va perdre cette bataille décisif et être rejetté dans un trou noir sans retour. Je suis certain qu’on va gagner cette bataille, nos forces sont bien préparées et on a étudié la carte de ce bâtiment pour qu’on ne perde pas l’orientation. En plus, notre adversaire, l’enfant choisi et moi ont décidé de travailler ensemble pendant cette nuit. Notre but est le même et un petit service en vaut un autre. On va lui laisser tranquil après la fin de la mission. Il va nous laisser le pouvoir ici et on va lui laisser partir. », expliqua Patricia à ses compagnons.

    Certains loups garous regardèrent le jeune prince allemand d’une facon menacante et mécontente, ils grondèrent et bougèrent et n’acceptèrent pas vraiment la décision que leur maîtresse avait pris. Celle-ci demanda le silence complet et s’approcha de trois loups garous qui montrèrent leurs dents et voulurent courir envers le prince allemand et se rébeller. Patricia les calma avec quelques mots et leurs compagnons réagissèrent en obéissant leur belle maîtresse. Ils se retirèrent dans un coin funèste de la salle et continuèrent à fixer le prince, Mamadou et le russe captivé.

    Le jeune allemand fut surpris par la décision et les paroles claires de Patricia qui sembla vraiment bvouloir leur garantir une certaine sécurité en rassurant l’opposition dans son armée. En plus, elle avait encore une fois prouvé son importance et sa puissance. Aucun loup garous voulut se rebeller contre elle.

    « J’ai encore des informations importantes concernant la caverne de ce monastère. », s’impliqua Andrej et tout le monde lui regarda d’une facon surprise, car il a pris la parole sans avoir eu la permission de Patricia. Le grand commandant à côté de lui fut fâché et lui donna un coup de poing dans le ventre.

    « Sois moins agressif, mon Gianluigi. », s’adressa Patricia à son commandant et s’approcha

    d’Andrej et lui posa sa main sur l’épaule, approcha son visage du sien et lui questionna, s’il n’avait pas trop de douleurs. Elle toucha son menton pour un instant, retourna au milieu de la salle et donna la parole au russe qui fut encore plus fasciné par cette femme.

     « Bon, j’ai fait des recherches dans quelques bureaux du monastère. Je me suis rendu compte que les maîtres de ce monastère font des expériences cruelles dans une partie des cavernes. Ils prennent des visiteurs ou personnes kidnappés et les transforment dans une opération magique et spéciale. Ils ont pour but de créer une nouvelle race. Ils veulent mélanger les gènes d’un être humain, d’un loup garous et d’un vampire. Ils voudraient leurs donner la capacité de se transformer dans n’importe quel de ces caractères différents à n’importe quel endroit et à n’importe quelle heure. Donc, un loup garous serait capable de se transformer facilement, même s’il n’y a pas une pleine lune au ciel. Un vampire pourrait exister sans problèmes pendant la journée sans risquer d’être délabré en poussière. En plus, cette race va être résistante contre la plupart des armes religieuses comme l’eau bénite ou des boules d’argent d’un révolver ou pistolet. Cette race serait plus puissante que toutes les autres et si ces expériences vont apporter encore plus de suucès, les docteurs vont créer des monstres qui écrasèrent tout le monde et regnairent sur la planète. Certains documents m’ont donné l’impression qu’ils vont bientôt finaliser ces expériences. Le fils du seigneur des loups garous voulait présenter une de ces créatures, le premier prototype, pour le marriage avec la princesse Lorena Dragusz. À part de l’assassinat de celle-ci, on aurait encore une mission qui est au moins aussi importante. », s’expliqua le russe d’une manière inquiète.

    « Cela a l’air d’être un danger qu’on ne devrait pas sousestimer. On avait déjà supposé quelque chose de même d’après les informations d’un de nos agents. On n’a pas de temps à perdre. Merci, mon beau russe, pour tes informations. », fit-elle des compliments à Andrej qui rougit un peu et se sentit plus à l’aise maintenant.

    « Gianluigi, mon commandant, va nous expliquer la situatiion et tes idées stratégiques. », demanda Patricia la parole à son commandant. Celui se léva et Patricia prit la place à côté d’andrej qui ne put pas caché qu’il se sentit un peu heureux. Patricia lui fit un clin d’œil sans ambiguité et se concentra après sur le discours de son grand commandant avec sa voie sombre. Celui prit un petit table et un crayon noir et ésquissa quelques détails du bâtiment.

    « Vous voyez ici les cavernes qui sont séparés en deux parties importantes. Une partie est le secteur où se trouvent les résidences de la princesse des loups garous et du fils du seigneur des vampires. Ces secteurs sont bien surveillés, on ne pourrait même pas essayer à s’approcher à pas de loup. Il y a même un système de surveillance avec des caméras qui y sont établis.J’ai un agent secret qui travaille en cachet pour nous et qui est un des chefs de surveillance de la future reine des loups garous. Il pourrait nous procurer les clés pour la partie enfermée de la résidence du fils du seigneur des vampires européens. Il m’avait dit qu’il les déposera dans une câlisse précieuse qui se trouve dans la petite cathédrale du monastère. Mais il faudrait se combattre quand-même contre tout les loups garous, même si mon agent avait l’ordre de simuler une crise cardiaque et mettre un feu quelque part afin de tirer l’attention sur d’auttres affaires que nous. Il m’avait reconfirmé que cette action aura lieu autour de deux heures le matin. Je propose que deux tiers de notre armée vont envahir ce secteur-là. L’autre tiers s’occupera des laboratoires qui se trouvent dans l’autre secteur. Il y a un système de surveillance aussi, mais moins de gardiens. Il y a seulement un espèce de trésor avec tout les documents et produits chimiques importants dedans. Il est bien protégé et difficile à ouvrir. Même si on essayait de lui faire sauter avec du dynamite, cela ne fonctionnait pas. Il faut donc ouvrir ce trésor et brûler les documents après. C’est pour cela que j’ai amené un spécialiste avec moi. »

    Un homme assez gros, qui s’était jusqu’à date caché dans un coin noir de la salle sans avoir été remarqué par le jeune prince, s’approcha du commandant et regarda d’une air bizarre dans le vide avec ses yeux verts. Il avait peut-être presque cinquante ans et pas beaucoup de cheveux sur sa tête. Le commandant prouva l’idée que le jeune prince avait déjà dès les premières secondes quand il a vu cet homme.

    « Cet homme s’appelle Francis Daniel Parker. Il vient de l’Angleterre et connaissait un de mes amis de la mafia écosse par hasard. Il est un des meilleurs criminels au monde. Aucun trésor lui résiste. Il a été hypnotisé par mon ami, dans deux jours, il va se réveiller dans la forêt quelque part et ne se souviendra aucunement de ce qui s’est passé dans les sept derniers jours. Il est faible. », sourit le commandent et lui donna une petite claque sur l’épaule.

    Après, le commandant s’adressa aux loups garous et les partagea en deux équipes. Patricia décida que les trois personnes choisies devraient accompagner elle-même avec le deux tiers de l’armée des loups garous afin de combattre la future reine Lorena Dragusz. Elle libéra Andrej personnellement de ses chaînes et lui fit un beau sourire encore. Le jeune prince allemand se jura qu’il voudrait parler avec Andrej de son attachement à cette femme fatale, car il avait la peur réelle, que son compagnon russe pourrait se laisser diriger par ses sentiments et devenir un risque pour leurs futures missions. Le prince remarqua qu’Andrej, qui avait réagi d’une facon froide et insouciante quand ils s’étaient séparés pour faire l’escalade de la tour, avait changé d’un moment à l’autre quand il a rencontré cette femme. Le prince n’avait pas besoin d’explications, c’était visible pour tout le monde dans la salle. Les loups garous qui avaient voulu attaquer le jeune prince, se concentrèrent maintenant uniquement sur le russe et lui firent des grimasses et des regards méchants. Probablement qu’ils étaient jaloux ou qu’ils voulaient seulement protéger leur maîtresse avant que celle-ci pourrait débuter une relation amoureuse avec un être humain qui était en plus un de leurs adversaires principaux et un des meilleurs compagnons de l’enfant choisi qui voulait finalement détruire et écraser tout les êtres démoniaques.

    Le groupe quitta la salle et Andrej, Mamadou et le jeune prince allemand s’excusèrent pour un instant afin de chercher quelques armes dans la voiture louée d’Andrej. Cela leur fit du bien de sortir dehors et respirer l’air claire. La pleine lune éclaira le scénario. Ils s’équipèrent et retournèrent dans le monastère où le groupe des loups garous les avait attendu. Le commandent inspecta leurs armes et voulut se révolter contre Mamadou et son pistolet, mais Patricia lui demanda de se calmer et les pressa à continuer leur chemin. 

    Ils se proménèrent dans le château assez tranquillement au début en essayant de ne pas attirer l’attention de quelqu’un, mais ils réalisaient bientôt qu’il n’y avait plus personne dans la partie supérieure du monastère Saint Hubertus. Ils atteignirent les esclaiers après cinq minutes seulement, Patricia et Andrej étaient en tête de la groupe et inspectèrent les alentours, poursuivis par le grand commandant et le jeune prince allemand avec son compagnon africain après qui avait visiblement encore de la misère à se promener aussi vite que le reste du groupe. Il ne voulut par contre pas montrer aucune faiblesse et n’avait même pas osé à demander pour des médicaments ou un repos. Il était dynamisé par le but principal de se venger pour toutes les années qu’il avait vécu dans le monastère en Suisse. Le seigneur des vampires était mort, mais il voudrait aussi éliminer le reste de sa famille et éviter à tout prix le marriage. Il ne pensa même pas aux dangers dans une lutte armée avec son pied et résista à la douleur agressante.

    Patricia était la première et la plus courgeuse quand elle fit un saut en bas de l’esclaier et eut une mitarilleuse dans ses mains que son commandant lui avait donné après son discours. À part d’elle, seulement le commandant et le gros hypnotisé tinrent une telle arme dans leurs mains, les loups garous n’avaient aucune arme à part de leurs pattes et dents. Le prince eut sa croix d’Ézéchiel et avait aussi pris son épée magique, alors qu’Andrej avait son arbalète et Mamadou un simple pistolet avec des boules d’argent.  Dans le fond de l’escalier se trouva un seul couloir large et noir, seulement éclairé par quelques torches. L’air était mauvaise et tout le monde remarqua l’odeur de sang et de putréfaction. Le prince eut des frissons quand il pensa á toutes les victimes torturées dans ces cavernes.

    Ils poursuivirent le chemin et croisèrent des chambres délabrés d’une ancienne prison. Dans un coin, le prince remarqua une tête d’un mort et quelques rats qui s’y étaient rassemblés. Dans une autre chambre moins délabrée et fermé par une porte de fer solide, il vit un garnd autel couvert de tâches rouges. Il était certain que plusieurs visiteurs ont été sacrifiés au nom de Luciferius ou au nom du démon Azazel. Le prince vit aussi quelques insignes de ce démon dans quelques portes fermées. Il réfléchit et se demanda, si ce démon auquel le monastère sembla être dédié pourrait se trouver quelque part dans les cavernes aussi. Peut-être qu’il protegea le fils du seigneur européen des vampires dans le cas d’une grande offensive contre lui.

    Après deux minutes sans avoir rencontré quelqu’un, le chemin se doubla et le commandant se dirigea avec un tiers du groupe dans le couloir gauche afin d’atteidre les laboratoires secrets. Les deux autres tiers, sous le contrôle absolu de Patricia maintenant, se dirigea dans le couloir droit qui était encore plus sombre et petit que l’autre auparavant. Les murs étaient couverts de plusieurs ruisseaux d’eau et de tâches de moisissure. Patricia demanda l’heure à Andrej et celui remarqua qu’il était rendu une heure et quarante-sept minutes le matin. L’agent secret avait aprlé d’un feu qu’il voulait incendier vers deux heures le matin ainsi qu’une simulation d’une crise cardiaque. Ils attendirent dans un coi où le coulir fit un virage raide à gauche ets e dirigeaa encore plus en bas. La respiration était mauvaise, l’air était vieille et sec. Quelques chauve-souris s’échappèrent avec des cris sauvages. Le prince pensa à la légende que des vampires pourraient se transformer en chauve-souris, mais il était convaincu que cela n’était qu’un mythe inventé par des écrivains d’histoires d’horreur. Le prince regarda tout les loups garous en arrière de lui. Ils était tous peparer à attaquer à suivre l’ordre de Patricia immédiatement. Ils mirent leurs nez dans l’air pour sentitr l’odeur des vampires ou d’autres loups garous dans ces cavernes. Jusqu’à date, ils n’avaient rien senti ou remarqué. Ils fixèrent plus qu’une fois Andrej qui se tint proche de Patricia et non à côté de ses deux compagnons. Le jeune prince vit que les loups garous avaient de la grande misère à se retenir et ne pas attaquer le russe qui flirtait avec leur maîtresse. Celui ne semblait pas remarquer les dangers. Le jeune prince allemand eut au moins le temps de s’échanger de cette nnouvelle situation avec son compagnon africain qui ne reponda pas à sa question concernant le pied blessé. L’Africain avait l’air tranquille, mais attentive. Il était optimiste comme il l’était presque toujours, Le prince eut beaucoup de respect de ses points de vues, surtout après tout les horreurs qu’il avait vécu dans le château en Suisse. Il avait aussi remarqué la nouvelle attitude de leur compagnon russe, mais il n’était pas tant inquiet et reponda qu’Andrej savait bien ce qu’il faisait. Le jeune prince n’en était pas certain. La beauté d’une feme pourrait rendre des hommes aveugles. Il voulut approfondir ce sujet avec Mamadou, quand il entendit un bruit dans les profondeurs du couloir et une sirène d’alarme.

    Cela était le signal pour Patricia. L’agent avait mis un feu quelque part et voulut tirer toute attention sur lui-même uniquement. La femme nue prit sa mitraillette et fit un signe affirmatif à son armée d’une vingatine de loups garous. Elle se proména sans penser à aucun danger et atteint un autre virage droit. Elle s’arrêta, car elle avait remarque une caméra de surveillance. Celle-ci se tourna de gauche à droit afin de surveiller la plus grande partie du couloir. Patricia savait bein qu’ils n’auraient pas le temps de s’approcher sécuritairement, personne par personne du caméra et de poursuivre le chemin dangereux jusqu’àu prochain arrêt. Elle réagit d’une autre facon, prit sa mitraillette et trira au caméwra qui eplosa avec un éclair éléctrique. On entendit de nouveaux des sirènes, mais maintenant à cause du système de sdurveillance attaqué et interrompu. Il ne leurs resta que quelques instants avant d’être remarqué par les premiers gardiens et Patricia prit la mitraillette dans sa main droite, léva son arme et cria avec une voie enthousiaste:

    « La guerre a commencé. Ce soir, nos adversaires vont brûler dans le feu éternel de l’enfer sans retour! À l’attaque! »

    Elle courut en avant et les loups garous leur suivirent à grands pas. Andrej essaya de se tenir à

    côté de la belle femme nue et agressive, alors que Mamadou avait plus de misère à suivre et resta en arrière du groupe avec son ami allemand qui voulut l’attendre et s’occuper de lui. Mamadou secoua la tête et regarda son ami droitement dans les yeux.

    « Laisse-moi seul ici. Tu devrais de combattre avec les autres. Je vias m’organiser à survivre et rester ici en proximité. »

    « Mais, c’est trop dangereux de te laisser tout seul. », répliqua le jeune prince.

     « Aucune discussion. C’est toi, notre dernier sauveur. Est-ceq ue tu veux sauver le monde de ces créatures démoniques ou est-ce que tu veux tout risquer afin d’aider un vieux Africain blessé ? », insista Mamadou et lui fit un sourire otimiste et courageux.

    « Je retournerai te chercher. » ; dit le prince et sut qu’il ne pouvait pas discuter de la situation maintenant. Il courut après les loups garous qui se virent d’un moment à l’autre confronté avec les deux premiers gardiesn dans le fond du couloir qui était équipé avec deux épées seulement. Andrej assassina le premier avec un tir précis de son arbalète et le deuxième tressaillit sous le feu ouvert de la mitraillette de Patricia. Le premier obstacle était éliminé. Maintenant, le groupe s’approcha du point central du conflit. La soirée du destin avait trouvé son climax.

    Et le jeune prince regagna la distance, atteint les derniers loups garous et se proména en plein milieu de ses créatures affreux qui étaient ses complices pendant une nuit. Il se sentit dans ces moments comme un seigneur des loups garous. Il se sentit en sécurité. Il respira l’esprit de la guerre. Il ressentit son courage et sa résolution.

    La guerre avait commencé…pour de vrai!

    « La princesse de Shipshaw - Septième partie: Autriche (Chapitres 37 et 38)La princesse de Shipshaw - Neuvième partie: Liechtenstein II (Chapitres 48 à 50) »
    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks