• 14. Travail sur le rôle des NTIC dans l'enseignement (20/01/12)

    Par Sebastian Kluth
     
    Le rôle des NTIC dans l’enseignement


    Les nouvelles technologies de l’information et de la communication dans les médias jouent un rôle de plus en plus grand et important dans les centres d’enseignement du monde globalisé. Parmi tant d’autres exemples, il y a le fait que chaque élève d’une école primaire en Serbie a accès à un système d’exploitation technologique ainsi qu’à son mode d’application et à ses ressources en ligne en Serbie, les cours de rattrapage dans les écoles secondaires américaines ou encore les cours par vidéo-conférence entre l’UQAC et des universités en France.
     
    Les enseignants en for-mation et en auto-développement


    Selon moi, les élèves sont de plus en plus exposés à des nouvelles technologies dans leurs futurs métiers. Afin de les préparer adéquate-ment aux défis et aux réalités du monde du travail, il est en premier lieu important que les enseignants puissent eux-mêmes suivre des cours de base sur ces technologies lors de leur formation universitaire. Une fois sur le marché du travail, les jeunes enseignants devraient bénéficier de formations pratiques et théoriques pertinentes sur le sujet tout au long de leur carrière. Au-delà des cours et des formations, les enseignants devraient jeter un regard critique sur ces technologies afin de mieux comprendre les réalités sociales de leur clientèle.
     
    La sensibilisation à une exploitation raison-nable des NTIC


    Un travail important pour les jeunes enseignants n’est pas seulement d’exposer leurs élèves aux nouvelles technologies et de visualiser leur exploitation, mais de les sensibiliser comment les utiliser à leur avantage. Aussi utiles que ces technologies puissent être, elles constituent aussi des risques de distraction, d’isolation sociale et de pertes de la sphère privée. La cyberdépendance et d’autres risques sont encore sous-estimés et peu étudiés à nos jours.
     
    Le côté critique


    Personnellement, j’étais toujours critique envers les nouvelles techno-logies. Dans ma famille, lors de mon passage à l’école secondaire et même encore à nos jours à l’université, je vois souvent que la géné-ration C est devenue trop dépendante des nouvelles technologies. Lors des anniversaires en famille, mes cousines écrivaient de nombreux messages à leurs amis au lieu de se socialiser avec leur entourage direct, beaucoup d’amis dans ma classe au secondaire passaient leurs après-midi à jouer sur des consoles en cachette de leurs parents et négligeaient leurs études et la première chose que je peux même encore observer dans les cours d’université est le fait que les étudiants vont en premier lieu sur internet afin de se renseigner sur leurs amis, organiser leurs fins de semaine et mettre à jour leur profil en ligne au lieu de suivre les cours. C’est pour ces raisons-là que je n’ai pas de téléphone mobile, de console de jeux vidéo et de compte sur des réseaux sociaux tels que «Facebook» jusqu’à nos jours. C’est un des premiers défis de l’enseignant d’être un modèle et de montrer l’utilité des NTIC aux élèves. Il faut pourtant continuer à prôner la beauté des choses simples comme l’écri-ture d’une carte postale, les jeux de société ou une sortie sans téléphones portables.
     
    Le grand potentiel


    Pourtant, je trouve que certaines technologies de l’information et de la communication sont très pertinentes. Il faut que leur potentiel énorme soit bien exploité. Durant mes stages, j’utilisais par exemple régulièrement le logiciel de présentation «Power-Point» afin de faire de courtes présentations dans le but de visualiser certains concepts du monde contemporain. Seule, cette technologie ne permet pas toujours d’intéresser les élèves en classe, mais accompagné d’un enseignement dynamique, ce moyen est des plus efficaces. J’encourageais aussi mes élèves à exploiter plusieurs logiciels et notamment l’internet afin de trouver rapidement des sources pertinentes pour des travaux. J’utilisais souvent des petits films ou capsules sur internet afin d’intéresser mes élèves pour un nouveau sujet ou pour résumer un chapitre. Une bonne dose de ces moyens diversifie nos enseignements, mais comme toute bonne chose, il ne faut pas surexploiter ces technologies.

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