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    Le présent travail marque les cinq personnages qui étaient selon moi les plus importants dans l’essor des relations internationales depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale. À part de mes opinions personnelles, je me suis appuyé sur des sources diversifiées telles que des ouvrages historiques, des statistiques, des articles de journal ou des documentaires entre autres.

                Je vais présenter les cinq personnages en ordre chronologique par rapport à leur phase la plus influente et puissante. Mon premier choix est l’homme d’État Charles de Gaulle. Selon moi, il a joué un rôle majeur dans les relations internationales de l’Europe de l’après-guerre à partir des années quarante jusqu’à sa mort.

    Le pasteur baptiste afro-américain Martin Luther King a largement influencé les dynamiques de la société américaine et le rôle des minorités visibles occidentales lors des années soixante.

    Par la suite, le politicien soviétique Mikhaïl Sergueïevitch Gorbatchev a joué un rôle considérable dans les événements des années quatre-vingt et quatre-vingt-dix ayant mené à la chute du communisme et à la fin de la guerre froide.

    Le terroriste islamiste Oussama ben Laden est devenu mondialement connu en lien avec les attentats du 11 septembre 2001 qui était peut-être la date la plus marquante de l’histoire de l’après-guerre à part de celle du chute du mur de Berlin.

    Enfin, Hu Jintao, le président actuel de la République populaire de Chine, est actuellement la personne la plus influente dans le monde selon le magazine Forbes et représente l’essor économique époustouflant de la Chine contemporaine.

     

    1.      Charles de Gaulle

    Ce général, homme politique et homme d’État n’a pas seulement été le personnage clé lors de la résistance et libération de la France de l’occupation de l’Allemagne nazie ainsi qu’un facteur important de la victoire des Alliés et de la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Il était aussi l’instigateur de la fondation de la Cinquième République en France et devint son président.

    Il a également joué un rôle important dans la reconstruction diplomatique d’une Europe dévastée. Avec Konrad Adenauer, il mettait par exemple en marche la réconciliation franco-allemande et aida l’Allemagne à s’intégrer dans la démocratie occidentale. La nouvelle amitié liant les anciens ennemis héréditaires devint le moteur de l’Union européenne contemporaine.

    Même au-delà de la politique européenne, ses discours charismatiques ont eu un impact considérable. L’exemple le plus connu est sans aucun doute sa phrase «Vive le Québec libre!» prononcée à Montréal lors d’un voyage en honneur du centième anniversaire du Canada. Pour De Gaulle, le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes était un principe universel «qu’il avait proclamé avant à Brazzaville en 1944 et répété à Phnom-Penh en 1966».[1] Cette phrase déclencha une crise diplomatique entre le Canada et la France, accéléra considérablement les mouvements indépendantistes au Québec et fit accidentellement connaître le Québec et sa situation politique à travers le monde.[2]

    De Gaulle était sans aucun doute un homme politique marquant, charismatique et unique à facettes multiples qui a énormément influencé les relations internationales de l’Europe de l’après-guerre notamment.

    2.      Martin Luther King, Jr

    Ce combattant pacifique contre le racisme et la suppression sociale aux États-Unis a bâti le chemin à l’acceptation et l’essor ou l’amélioration des conditions de la minorité afro-américaine et même des autres minorités visibles dans une société nord-américaine de plus en plus hétérogène. Le succès d’un Barack Obama à nos jours n’aurait jamais été possible sans la vision de King prononcée dans un des discours les plus marquants de l’après-guerre le 28 août 1963 qui était son «I Have a Dream».[3]

    Contrairement à d’autres révolutionnaires de l’après-guerre tels que Malcolm X ayant grandi dans un monde de racisme et de violence contre le peuple noir au Michigan qui poursuivit pratiquement les mêmes buts que King tout en ayant une vision plus radicale et musulmane[4], King a choisi la rhétorique, la religion et la manifestation pacifique comme armes principales contre les oppresseurs de la minorité nord-américaine.[5] Les clés de son succès étaient «l’approche non-violente et l’action directe» permettant une résistance contre le «racisme virulant» tout en faisant savoir au monde qu’«ils ne toléreraient pas plus longtemps la violation quotidienne de leur humanité par la société blanche dominante».[6] 

    Méritant du prix Nobel de la paix en 1964, sa victoire aux États-Unis a d’ailleurs également eu un impact sur l’amélioration des conditions des descendants du peuple africain vivant à l’étranger partout dans le monde et a ouvert la voie au multiculturalisme même si la cohabitation des différents peuples est toujours loin d’être parfaite dans les États-Unis d’Amérique modernes.

    3.      Mikhaïl Sergueïevitch Gorbatchev

    Cet avant-dernier Secrétaire général du Parti communiste de l’Union soviétique, dernier Président du præsidium du Soviet suprême, premier Président du Soviet suprême d’URSS ainsi que premier Président de l’Union soviétique fait selon moi clairement partie des cinq personnages les plus importants dans l’essor des relations internationales de l’après-guerre.

    Durant sa période la plus puissante, il était un réformateur se dirigeant vers la fin de la guerre froide et le moteur de la chute de l’Union soviétique et du rideau de fer malgré lui. Ses lancements de la libéralisation économique, culturelle et politique connues sous les noms de Perestroïka et Glasnost ont transformé tous les pays membres du Pacte de Varsovie profondément. Grâce à ses interventions, de nombreuses régions soumises au centralisme de l’Union soviétique ont trouvé leur liberté et il a été également un des responsables principaux qui ont rendu la chute du mur de Berlin et la réunification de l’Allemagne possibles. Gorbatchev avait la vision d’une «maison européenne commune» sur les ruines de l’Empire communiste sans toutefois trahir ses valeurs socialistes et athéistes comme beaucoup de gens le croient si fautivement.[7]

    Même après sa démission, Gorbatchev s’est davantage impliqué dans la politique en fondant plusieurs nouveaux partis politiques dont le Parti social-démocrate de Russie et le Parti démocratique indépendant de Russie. Il était aussi un visionnaire environnementaliste qui a fondé la Croix verte internationale.

    Sans ses décisions et interventions, la carte politique ne serait probablement pas la même à nos jours et la guerre froide n’aurait peut-être pas trouvé une fin aussi rapide, diplomatique et relativement paisible. Mépris par un bon nombre de personnes en Russie[8] qui a perdu son rôle de superpuissance mondiale, sa politique a été davantage appréciée par les nouveaux pays indépendants et les gouvernements occidentaux ce qui lui a mérité le Prix Nobel de la paix en 1990.

    4.      Oussama ben Laden

    Cet apatride islamiste était le fondateur et dirigeant d’Al-Qaida qui mena des «djihads» d’abord contre les Soviets qui s’en prenaient à l’Afghanistan et contre l’Iraq socialiste sous Saddam Hussein qui s’en prenaient au Koweït et enfin contre l’ensemble des pays occidentaux et particulièrement les États-Unis.[9] Il s’attaquait à ces pays par le biais d’attentats terroristes planifiés par lui et ses assistants, mais directement exécutés par d’autres. Depuis les attentats du 11 septembre 2001, ben Laden faisait partie de la liste des Dix Fugitifs les plus recherchés du FBI avec une récompense de 25 millions de dollars[10] et était sans aucun doute médialement la personne la plus connue sur cette liste. Il fut tué le 2 mai 2011 dans sa résidence et cachette ex exil près d’Abottabad au Pakistan lors de l’Opération Neptune Star par des forces spéciales des États-Unis ce qui a causé des réactions mouvementées dans les deux camps.

    Oussama ben Laden a eu une influence majeure sur les relations internationales car ses attentats terroristes ont provoqué une véritable chasse aux sorcières de la part des États-Unis qui a divisé le monde diplomatique en deux ou pour prendre les paroles de George W. Bush qui disait «ou vous êtes avec nous, ou vous êtes contre nous». Après la chute du communisme, c’étaient le terrorisme et aussi l’islamisme qui devinrent la nouvelle grande peur suggérée par le régime américain. Certains experts craignaient même l’éclatement d’une Troisième Guerre mondiale, cette fois pour des raisons purement religieuses.

    Les actions de ben Laden eurent un impact direct sur nos vies de tous les jours non seulement au niveau médiatique, mais aussi en ce qui concerne les mesures de sécurité aux aéroports et frontières, une renaissance de la xénophobie et de nouvelles politiques d’immigration dans un bon nombre de pays occidentaux.

    5.      Hu Jintao

    Sous le secrétaire général du Parti communiste chinois depuis 2002 et le président de la République populaire de Chine depuis 2003, la Chine a fait des progrès politiques, économiques et sociaux visibles. Sous le régime de la personnalité la plus influente du monde selon le magazine Forbes en 2010[11], la troisième économie mondiale est en route pour devenir une nouvelle puissance mondiale. Une nouvelle classe moyenne chinoise est en pleine expansion malgré une politique plutôt conservatrice et centraliste renouant avec les valeurs des anciens marxistes de la part de Hu Jintao.[12] Celui-ci a perfectionné le système du «capitalisme rouge» et une ère d’industrialisation accélérée amorcé sous la gouvernance de Deng Xiaoping déjà[13]. Cette vision demande les efforts, l’obéissance et la discipline de l’ensemble de la population du pays le plus peuplé dans le monde.[14]

    Sur le plan international, la Chine sous Hu Jintao s’est bien sortie de la crise économique de 2008 ou la Grande Récession et a joué un rôle important en soutenant financièrement plusieurs pays occidentaux et capitalistes comme les États-Unis. Elle poursuit également une série de coopérations avec plusieurs pays africain par le biais d’un fonds sino-africain de développement.[15] Le rôle que la Chine jouait durant la crise économique et la gestion ambitieuse de l’événement mondial qu’étaient les Jeux Olympiques de Pékin en 2008 ont prouvé que ce pays émergent dispose les capacités nécessaires pour jouer un très grand rôle dans les relations internationales contemporaines.

     

     

    Bibliographie

    Livres:

    ANDRÉSY, Agnès Who’s Hu: le président chinois Hu Jintao, sa politique, ses réseaux, Paris, Éditions L’Harmattan, 2008, 175 pages (Page 93)

     

    CONE, James H. Malcolm X et Martin Luther King: Même cause, même combat, Genève, Labor et Fides, 2008, 2008, 124 pages (page 22)

     

    HEROLD, Stefan L’unification allemande: des illusions à la réalité Liège, Éditions de l’ULG, 2004, 159 pages (page 64)

     

    GIGUÈRE, Monique La face cachée de la perestroïka, Ville de Québec, Presses de l’Université du Québec, 1990, 80 pages (page 17)

     

    MOLLA, Serge Les idées noires de Martin Luther King, Genève, Labor et Fides, 2008, 396 pages (page 7)

     

    NGUYEN, Éric Les 100 hommes du XXe siècle, Paris, Studyrama Perspectives, 2005, 274 pages (page 256)

     

    NOACK, Hans-Georg Der gewaltlose Aufstand. Martin Luther King und der Kampf der amerikanischen Neger, Stuttgart, Evangelische Buchgemeinde, 1965, 448 pages (page 9)

     

    PASQUET, Jean-Mée Oussama ben Laden: Icône du terrorisme islamiste, Sarrebruck, VDM / FastBook Publishing, 2011, 152 pages (page 7)

     

    PEYREFITTE, Alain De Gaulle et le Québec: des témoignages, Québec, Les Publications du Québec, 1997, 218 pages (page 17)

     

    RUMMEL, Jack et Heather Lehr WAGNER, Malcolm X: Militant Black Leader, New York City, Infobase Publishing, 2004, 102 pages (page 12)

     

    SCHWARTZENBERG, Roger-Gérard La politique mensonge, Paris, Éditions Odile Jacob, 1998, 494 pages (page 93)

     

    Articles: 

     

    PERLROTH, Nicole et Michael NOER, Les cents personnalités les plus influentes du monde, New York City, Forbes, 2010, nombre total de pages inconnu 

     

    ROUSSEAU, Yan Dans la crise, la Chine a renforcé son influence sur l’Afrique, Paris, France, Les Échos du six et sept novembre, 2009, nombre total de pages inconnu

    Documentaires:

    BAICHWAL, Jennifer et Edward BURTYNSKY Manufactured Landscapes, Toronto, Canada, 2006, 86 minutes

     

    CYR, Luc et Carl LEBLANC Le Chemin du Roy, Montréal, Télé-Québec, 21 novembre 1997, 53 minutes

     


    [1] PEYREFITTE, Alain De Gaulle et le Québec: des témoignages, Québec, Les Publications du Québec, 1997, 218 pages (page 17)

    [2] CYR, Luc et Carl LEBLANC Le Chemin du Roy, Montréal, Télé-Québec, 21 novembre 1997, 53 minutes

    [3] MOLLA, Serge Les idées noires de Martin Luther King, Genève, Labor et Fides, 2008, 396 pages (page 7)

    [4] RUMMEL, Jack et Heather Lehr WAGNER, Malcolm X: Militant Black Leader, New York City, Infobase Publishing, 2004, 102 pages (page 12)

    [5] NOACK, Hans-Georg Der gewaltlose Aufstand. Martin Luther King und der Kampf der amerikanischen Neger, Stuttgart, Evangelische Buchgemeinde, 1965, 448 pages (page 9)

    [6] CONE, James H. Malcolm X et Martin Luther King: Même cause, même combat, Genève, Labor et Fides, 2008, 2008, 124 pages (page 22)

    [7] HEROLD, Stefan L’unification allemande: des illusions à la réalité Liège, Éditions de l’ULG, 2004, 159 pages (page 64)

    [8] GIGUÈRE, Monique La face cachée de la perestroïka, Ville de Québec, Presses de l’Université du Québec, 1990, 80 pages (page 17)

    [9]  NGUYEN, Éric Les 100 hommes du XXe siècle, Paris, Studyrama Perspectives, 2005, 274 pages (page 256)

    [10] PASQUET, Jean-Mée Oussama ben Laden: Icône du terrorisme islamiste, Sarrebruck, VDM / FastBook Publishing, 2011, 152 pages (page 7)

    [11] PERLROTH, Nicole et Michael NOER, Les cents personnalités les plus influentes du monde, New York City, Forbes, 2010, nombre total de pages inconnu  

    [12] ANDRÉSY, Agnès Who’s Hu: le président chinois Hu Jintao, sa politique, ses réseaux, Paris, Éditions L’Harmattan, 2008, 175 pages (Page 93)

    [13] SCHWARTZENBERG, Roger-Gérard La politique mensonge, Paris, Éditions Odile Jacob, 1998, 494 pages (page 93)

    [14] BAICHWAL, Jennifer et Edward BURTYNSKY Manufactured Landscapes, Toronto, Canada, 2006, 86 minutes

    [15] ROUSSEAU, Yan Dans la crise, la Chine a renforcé son influence sur l’Afrique, Paris, France, Les Échos du six et sept novembre, 2009, nombre total de pages inconnu

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    Über den Roman


                Thomas Jason Smith ist ein junger schottischer Polizist, der einige schicksalhafte und schwere Jahre hinter sich hat. Da kommt ihm die Einladung des Direktors seiner ehemaligen Privatschule gerade recht. Direktor Wohlfahrt und seine Frau und Lehrerin Magdalena Osario laden den ersten Jahrgang ihrer Privatschule für fünf Tage auf die Privatinsel „Osario Island“ ein um in gemeinsamen Erinnerungen zu schwelgen, sich neu kennenzulernen und sich vom harten Alltag fernab jeglicher Zivilisation und Technik abzulenken. Doch kaum treffen die ehemaligen Schüler aus aller Welt aufeinander, da brechen die alten Wunden wieder auf und es kommt zu Rivalitäten und Spannungen. Als am ersten Abend auf der mittlerweile von einem heftigen Sturmtief isolierten Insel der erste ehemalige Schüler unter mysteriösen Umständen ums Leben kommt, glauben noch alle an einen Zufall oder Unfall.

    Doch Thomas Jason Smith entdeckt rasch, dass mehr dahinter steckt und merkt, dass fast jeder der Anwesenden ein Motiv hätte und ausnahmslos jeder ein düsteres Geheimnis verbirgt oder gar mit völlig falschen Karten spielt. Als es am nächsten Morgen den zweiten Todesfall gibt, wird dem jungen Schotten bewusst, dass eine Person unter ihnen ein teuflisches Spiel organisiert hat, bei dem an jedem Tatort bereits der Zeitpunkt des nächsten Todesopfers angedeutet wird. Der Täter scheint die Insel bestens zu kennen und schlägt auf vielseitige und überraschende Weise immer im unerwartesten Moment zu, um seinen perfiden Racheplan bis zum blutigen Ende auszuführen und die Todesinsel zu einem Massengrab zu machen.

    Während auf der isolierten Insel Panik ausbricht und die Anwesenden sich gegenseitig anfeinden und beschuldigen, muss Thomas Ruhe bewahren um die Dämonen seiner Vergangenheit zu bekämpfen und zu beweisen, dass er den gerissenen Täter entlarven kann bevor es zu spät ist.

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    Über den Autor


    Sebastian Kluth wurde am 21. August 1989 in Leverkusen geboren. Bereits in jungen Jahren begann er mit dem Schreiben und verfasste diverse Kurzgeschichten und Romanserien, die es aber nie zu einer Veröffentlichung schafften. Nach einem inspirationsreichen einjährigen Auslandsaufenthalt in der frankokanadischen Provinz Québec begann er an einem neuen und seriösen Anlaufversuch zu arbeiten und erarbeitete das Szenario für den Roman „Die Todesinsel“ Ende 2007. Er stellte den Roman Anfang 2009 fertig, korrigierte und verfeinerte ihn über die nächsten Wochen und Monate und versandte ihn an mehrere Verlage. Auf Grund mangelnden Interesses entschied sich der Autor mehr als ein Jahr später seinen Roman über das Internet und durch eine limitierte Eigenproduktion Freunden, Bekannten und Interessierten zugänglich zu machen, da er an die Qualität seines Werkes glaubte.

    In Zwischenzeit studiert Sebastian Kluth seit seinem erfolgreich abgeschlossenen französisch-bilingualem Abitur im Jahr 2009 für vier Jahre Geschichte und Erdkunde auf Lehramt in Chicoutimi, in der kanadischen Provinz Québec. Nach dem Erreichen des Bachelors will er als Lehrer in Kanada arbeiten und nebenher gelegentlich als Journalist oder Schriftsteller tätig bleiben.

    Sebastian Kluth interessiert sich besonders für Musik und Kino, er reist viel und gerne und mag Fußball, Volleyball, Badminthon und Eishockey. Er beherrscht drei Sprachen sehr fließend und hat zudem erweiterte Anfängerkenntnisse in drei weiteren Sprachen.

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  • Hallo liebe Leserinnen und Leser. Lange habe ich es angekündigt, nun geht es endlich los!

    Ich habe heute das Vorwort meines Romans "Die Todesinsel" veröffentlicht und werde in den nächsten Tagen und Wochen in recht regelmässigen Abständen Teile dieses Romans an dieser Stelle veröffentlichen. Je nachdem wie gross die Resonanz ist, werden die zukünftigen Auszüge schneller oder langsamer ins Internet gestellt.

    Macht euch bereit für eine Odyssee über insgesamt 109 Kapitel! Ich warte gespannt auf eure Reaktionen. Viel Spass und Lesevergnügen wünscht euch

    Sebastian Kluth

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    Vorwort

     

    Lang und unnütz sind sie meist, die Vorworte, aber in diesem Fall bitte ich die ungeduldige Leserin respektive den ungeduldigen Leser herzlich darum, sich vielleicht fünf Minuten Zeit zu nehmen, um ein paar Zeilen zu lesen, die mir aufrichtig am Herzen liegen.

    Nach über einem Jahr harter Arbeit und gut zwei Jahren Warte-, Reflektions-, und Produktionszeit ist es nun vollbracht. Mein erster richtiger und in deutscher Sprache verfasster Roman ist fertig gestellt worden. Die Arbeit hat sehr viel Konzeptpapier in Anspruch genommen, viel Ideenreichtum beansprucht und auch die ein oder andere schlaflose Nacht gekostet, denn gute Inspirationen kommen gewohnheitsgemäß meist dann, wenn man nicht damit rechnet. Ich habe sicherlich das Genre nicht neu erfunden und mich von vielen Dingen inspirieren lassen, bin aber auf das Gesamtwerk außerordentlich stolz, ob es nun von Kritikern und Leserschaft zerrissen wird oder nicht.

    Bereits zu Grundschulzeiten war es mein größter Traum, eines Tages Schriftsteller zu werden und in der Zeit schrieb ich auch schon allerlei Geschichten, zunächst kurze und handschriftliche Romane im Stil von Enid Blyton oder Jugendkrimireihen wie „Die drei Fragezeichen“. Später waren es dann auch Fantasy-Romane, angelehnt an die Bücher von Ralf Isau oder J.R.R. Tolkien. Auch diverse Filme und auch die Musik waren immer eine große Inspiration für mich. Ich verschickte die Manuskripte damals an diverse Verläge, erhielt dafür viel Lob, aber natürlich auch Absagen, denn im Alter von zehn oder elf Jahren war mein Schreibstil selbstverständlich noch nicht am Zenith des möglichen Niveaus angelangt.

    Seit dieser Zeit hatte ich immer wieder Ideen für Romane, fing an zu schreiben und war doch nie wirklich zufrieden und verwarf die Ansätze, manchmal nach zehn Seiten, manchmal auch nach einhundert Seiten. Ich war immer ein spontaner Schreiber, der zwar eine gute Grundidee im Kopf hatte, aber sich nicht Gedanken über die Details oder ein mögliches Ende machte.

    Erst durch mein Auslandsjahr im französischsprachigen Kanada im Jahr 2006 erhielt ich eine neue Motivation. Ich schrieb dort in der Zeit eine Kurzgeschichte, die sich alsbald unverhofft zu einem Epos ausweitete und immer komplexer wurde. Gedacht war zunächst in märchenhafter Form mit semi-autobiographischen Inhalten meiner kanadischen Freundin etwas über mein Leben, meine Kultur, meine Erfahrungen zu vermitteln. Inzwischen sind über 170 Seiten in französischer Sprache geschrieben worden und ich habe nach dem ersten Hauptteil des Epos einen Schnitt gesetzt, da der Schreibprozess manchmal entsprechend kräftezehrend war und zudem auch noch lange nicht beendet ist. So fand ich also zurück zum Verfassen deutscher Romane und schuf nach meiner Rückkehr nach Deutschland ab Ende 2007 erste Ideen für die „Todesinsel“. Erstmals erarbeitete ich hierfür auch ein konkretes Konzept, bei dem Anfang und Schluss des Romans schon einigermaßen fest standen.

    Als großer Fan des Krimigenres, aber auch des Horrorgenres, wollte ich versuchen beide Stile miteinander zu verknüpfen und eine möglichst beklemmende und düstere Atmosphäre zu erschaffen. Es war mir allerdings wichtig nicht mit übersinnlichen Phänomenen und Geisterwesen zu arbeiten, da dies zu sehr im Kontrast mit den Persönlichkeiten des Romans gestanden und das Ganze meiner Meinung nach degradiert hätte. Der Roman sollte auf eine gewisse Art und Weise einigermaßen realistisch bleiben, denn manche Menschen allein sind furchteinflößender, als alle von Autoren erdachten Kreaturen zusammen. Die besten Geschichten schreibt so gesehen meist immer noch das Leben.

    Als Fan klassischer Theaterstücke und Kammerspiele fand ich die Idee einer isolierten Menschengruppe auf einer Insel faszinierend. Da ich mich in der Schule sehr für Pädagogik und Sozialwissenschaften interessiere, fand ich es spannend mir zu überlegen, wie Menschen in solchen Extremsituation, wie sie in meinem Roman vorkommen, wohl reagieren könnten. Ich versuchte möglichst tiefsinnige, abwechslungsreiche Charaktere zu schaffen, vom misanthropischen Choleriker, über die schüchterne Gläubige, bis hin zu der undurchschaubaren Person mit düsterer Vergangenheit. Jede Person in meinem Roman sollte bestimmte Markenzeichen, eine bestimmte Aura haben, gleichzeitig aber wollte ich auch erst nach und nach genauere Details über die Personen ins Spiel bringen, überraschende Wendungen und verschiedene Arten von Gruppendynamiken, um die Spannung stets aufrecht zu erhalten. Dabei schuf ich bewusst Figuren, die sich entweder in ihrem Verhalten im Verlauf des Romans kaum änderten oder ganz im Gegenteil tiefere und begründete Wandlungen durchlebten. Natürlich bin ich kein Doktor der Psychologie und ein Experte mag manche Schilderungen als abstrus beurteilen, aber ich hoffe, dass meine Intentionen insgesamt ihren Sinn nicht verfehlen.

    Mein Roman sollte mehr sein, als ein typischer Krimi, in dem es lediglich darum geht den berühmten Mörder zu finden. Ich wollte viel mehr auch eine Charakterstudie schreiben und mit diversen Elementen der verschiedenen Genres experimentierten. So kommen in meinem Roman auch abenteuerliche, psychologische, erotische oder actionreiche Elemente vor, ohne dass der rote Faden verloren wird. Es ging mir nicht nur darum den geneigten Leser zu unterhalten, sondern ihn auch zum Denken anzuregen, ihn in eine andere Welt zu versetzen, ihn mit den Figuren mitfühlen zu lassen. Es sollte ein lebendiges Kopfkino entstehen, aber auch eine Art Spiegelbild der vielschichtigen und multikulturellen Gesellschaft, welches das Verhalten des Individuums in der Gesamtgruppe verdeutlichen soll. Zudem habe ich in dem Roman auch zahlreiche Hinweise auf den späteren Ausgang gezielt gestreut und ein aufmerksamer Leser könnte möglicherweise recht schnell erahnen, was hinter allem stecken könnte. Jedes Detail im Roman ist meist aus einem sehr guten Grund erwähnt worden. Die größte Stärke des Romans ist in meinen Augen die Detailverliebtheit und die erzeugte dichte Atmosphäre. 

    Trotz all der düsteren Elemente in meinem Werk steht aber auch bewusst das Positive im Vordergrund: Der Glaube an die eigene Stärke, der Glaube an die Liebe oder an eine göttliche Kraft, der Glaube daran, sich nach jedem noch so derben Rückschlag wieder zurückkämpfen zu können, der Glaube an das Prinzip Hoffnung und an das Lernen aus den eigenen Fehlern. Wichtig ist auch die Botschaft, dass man immer alles im Leben hinterfragen sollte und dass oberflächliche Dinge näher betrachtet meist ein ganz anderes Erscheinungsbild haben, als man vorher dachte. Somit ist dieses Werk auch als ein Plädoyer für die ureigene Meinungsbildung zu verstehen, ohne dabei jedoch den Blick auf die Alternativen zu verlieren.

    Lange habe ich versucht meinen Roman, in den ich viel Herzblut gesteckt und an dem ich über ein Jahr lang gearbeitet habe, diversen Verlagen anzubieten, doch die Manuskripte wurden nicht einmal angelesen, egal ob ich kurze Exposés verschickte oder gleich das ganze Werk. Man entschuldigte sich bei jedem Verlag, egal ob groß oder klein, mit dem Argument, dass man täglich eine Flut an Einsendungen bekommen würde, denen man kaum Herr werden könne. Nun, vielleicht kann man im fortschreitenden Kampf gegen die Arbeitslosigkeit ja zukünftig dort den Hebel ansetzen. Ich hätte den Roman auch bei einigen Verlagen mit hohen Eigenkosten selbst veröffentlichen können – vorausgesetzt, ich sei jederzeit für Treffen und Gespräche verfügbar und für Inspirationen und Kritik bereit. Da ich aber nunmehr im Ausland studiere und selten verfügbar bin, finanziell ebenfalls eingeschränkt bin und auch nicht einsehe mein einjähriges Werk von Außenstehenden gegen Bezahlung retuschieren zu lassen, präsentiere ich meinen Erguss ganz einfach zunächst hier im Internet. Ich bin nicht der erste Autor, der einmal auf diese Weise angefangen hat. In naher Zukunft möchte ich nun auch eine kleine Auflage meines Werkes drucken lassen, um es an Freunde, Verwandte, Bekannte und Interessenten weiterzugeben. Den Gewinn, den ich dabei erziele, ist kaum der Rede wert und deckt, sofern sich die Exemplare an den Mann bringen lassen, bestenfalls ein bisschen mehr als die Unkosten ab. Da nur ich selbst das Werk in akribischem Eifer Korrektur gelesen habe, könnten sich auch noch einige Fehlerteufel eingeschlichen haben. Wer etwas entdecken sollte, möge es mir bitte mitteilen, damit das Problem für zukünftige Versionen behoben werden kann. Aber immerhin kann ich nun endlich voller Stolz behaupten, dass ich mir den langjährigen Traum vom eigenen Buch verwirklicht habe, auch wenn dies nun etwa zwei Jahre später als gedacht passiert ist. Und wer weiß? Vielleicht bekomme ich ja doch ein paar positive Rückmeldungen und darf sogar noch ein paar weitere Exemplare für neue Leserinnen und Leser drucken lassen. Man wird ja wohl noch träumen dürfen. Und was lange währt, wird endlich gut – Aufgeben war noch nie meine Stärke.

    Abschließend sei allen, die dieses Werk in den Händen halten oder ganz einfach im Internet mitlesen, allen, die mich seelisch und moralisch unterstützt haben, allen, die nun daran mithelfen meine Geschichte unter das Volk zu bringen, herzlich gedankt. All diesen Menschen sei dieses Buch gewidmet.

    Für Rückfragen, positive wie negative Kritik, Bestellungen oder Produktionsnachfragen stehe ich gerne zur Verfügung. Da ich derzeit, wie bereits erwähnt, im Ausland studiere und daher keine feste Telefonnummer in Deutschland habe, muss leider die Variante des Internets vorerst zur Kontaktierung herhalten.

    Meine E-Mail-Adresse lautet: kluseba@hotmail.com.

    Wer unbedingt darauf beharrt mir zu schreiben, darf es unter folgender Adresse in Kanada gerne versuchen:

     

    Sebastian Kluth

    555 boulevard del’Université Est, bâtiment D, appartement 5, chambre D

    G7H 2B1 Chicoutimi (Qc)

    CANADA

     

    Dies soll nun als kurzer Einstieg auch genügen. Tauchen Sie nun tiefer in die Geschichte ein...

     

    Ein spannendes Lesevergnügen wünscht Ihnen

     

    Ihr Sebastian Kluth

     

     

     

    Leverkusen, den 27. Februar 2009 (zum ersten Ansatz)

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